Il est vivant Le Dieu
devant qui je me tiens
pour tous
Il m’a libéré pour aimer
« Courage ! Le témoignage que tu m’as rendu à Jérusalem, il faut que tu le rendes aussi à Rome. »
(Actes des Apôtres 22)
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Quand l’année dernière, j’ai reçu cette Parole, Elle m’a interpellée à tel point que j’ai ressenti le désir d’écrire au pape Benoit XVI à Rome. Ceci afin de plaider auprès de lui la cause des fidèles divorcés-remariés qui se sentent exclus et rejetés de L’Eglise à cause des interdits aux sacrements, de L’Eucharistie, de la Réconciliation et des Malades notamment, que leur inflige les lois de l’Eglise. Cette lettre je l’ai envoyée peu de temps avant l’annonce de la démission de Benoit XVI – le 11 octobre 2012 plus précisément – et aujourd’hui encore, La Parole revient et m’interpelle de nouveau : « Courage ! Le témoignage que tu m’as rendu à Jérusalem, il faut que tu le rendes aussi à Rome » Comme pour m’inviter à récidiver, à écrire de nouveau, à témoigner de nouveau et cette fois, au vin nouveau – au pape nouvellement installé à Rome – et à qui, selon L’Evangile, il faut outres neuves (Mc :2,22) !
A quelques détails près, voici donc notre requête :
« Seigneur ouvre mes lèvres et ma bouche publiera Ta louange !
Cher pape François,
Soyez béni en ce jour et jusqu’à la fin de vos jours terrestre et que Son Saint Esprit vous gracie d’autant de force et de courage dont nous avons été nous aussi graciés pour vous adresser, afin qu’ensemble, en humbles bénéficiaires de Sa Parole, nous honorions Sa Sainte Volonté.
« C’est la miséricorde que je veux et non les sacrifices » !
Que La Parole éternelle de notre Seigneur Christ Jésus vous accompagne et vous éclaire en ce que vous devez faire, comme Elle nous a accompagnés et éclairés durant ces longues années passées en épreuves et en combats, sans oublier les souffrances endurées … grâce aux interdits !
Grâce… oui … car ‘tout est grâce’ !
Jamais notre Bon Dieu ne permettra que le mal gagne Son combat, car ce combat, n’est pas le nôtre, cher pape, mais Le Sien, et nous, vous comme nous, sommes à juste titre, par notre foi en Christ, Ses enfants. A ce titre, jamais Il ne permettra que notre emprisonnement dure. Il ne l’a pas permis dans le passé, Il ne le permet pas aujourd’hui, car IL EST ce qu’Il est : Le « JE SUIS » qui dit OUI à l’amour ! A cause de cela, la parole de l’homme passera, mais Sa Parole d’Amour ne passera pas … car indissoluble, immortelle, éternelle !
« C’est la miséricorde que je veux et non les sacrifices. Allez apprendre ce que cela veut dire » !
« L’heure vient, et c’est maintenant » que nous devons apprendre à « adorer » notre Père qui est aux Cieux… en «esprit et en vérité » … en union d’esprits en paix !
« L’heure vient, et c’est maintenant » que nous devons sanctifier Son nom, comme il se doit : tous ensemble en Eglise, en frères et sœurs unis dans une même foi…
« L’heure vient, et c’est maintenant » que nous devons tout faire pour que Son règne vienne, que Sa Volonté soit faite sur la Terre comme au Ciel : « C’est la miséricorde que je veux et non les sacrifices », parce que les péchés furent rachetés sur la Croix du sacrifice, et le Pardon accordé devant le tombeau vidé, libéré de ses ténèbres : A Marie Il a dit : « Va plutôt trouver mes frères, pour leur dire que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu ». Ainsi nous sommes ‘tous frères’ – un désir que vous avez-vous-même souhaité et exprimé.
« L’heure vient, et c’est maintenant » que le pain quotidien doit nous être donné au même titre que nos frères et sœurs en communauté, au même titre ‘d’enfants de Dieu’ – héritiers et cohéritiers en Christ par la foi. En cette unité généreusement accordée, ne restons pas en ces interdits imposés, un peuple divisé – déjà nos églises se sont dévidées et leurs portes se ferment ! Avant que nous nous écroulions, réagissons !
« L’heure vient, et c’est maintenant » où vous à présent, cher pape Francois, ne devait plus vous soumettre à la tentation de refuser au Bon Dieu ce qu’Il vous réclame depuis si longtemps : la libération de tous Ses enfants divorcés-remariés, malheureux parce qu’enchaînés, révoltés, rejetés, égarés, perdus, parce qu’isolés de leur Eglise, isolés de leur communauté, isolés de leurs frères et sœurs… plus malheureux sont ceux qui se sont isolés de Lui… parce qu’ils ne croient plus en leur Père des Cieux … parce que leur mère L’Eglise les a déçus en son jugement et en sa condamnation !
« L’heure vient, et c’est maintenant » où L’Eglise sera délivré d’un mal qui la ronge depuis trop longtemps : son manque de MISERICORDE envers les divorcés-remariés.
« L’heure vient, et c’est maintenant » que vous devez laisser venir à Lui Ses petits enfants…
« C’est la miséricorde que je veux et non les sacrifices. Allez apprendre ce que cela veut dire. Car je ne suis pas venu appeler les justes mais les pécheurs » !
Nous sommes tous pécheurs. Aucun de nous n’est digne de s’approcher du Fils de Dieu. Ce n’est pas notre dignité que nous revendiquons auprès de vous, ce n’est pas notre péché que vous devez examiner, ni notre état, mais la foi qui nous pousse en avant – la foi qui rend tout possible quand deux ou trois sont réunis en Son nom– la foi qui rend possible d’expulser Satan de son territoire – Le voir tomber du ciel comme l’éclair – s’écraser sur la Terre en s’écriant : Je sais fort bien qui Tu es : le Saint, le Saint de Dieu.
Oui ! Dieu nous aime TOUS à ce point cher pape Francois – au point de nous avoir donné Son propre Fils afin que tous, nous recevions par notre foi en Lui, le pouvoir d’expulser en Son nom nos propres démons, et choisir ainsi de faire le Bien !
L’Amour est le Seul Bien – La Seule Loi – et il est venu le temps de croire en La Puissance de L’Amour – il est venu le temps de faire miséricorde. Il suffit d’aimer.
‘Aime et ce que tu veux, fais le !’ « Sois miséricordieux comme ton Père est miséricordieux. Ne juge pas, et tu ne seras pas jugé ; ne condamnes pas, et tu ne seras pas condamné. Pardonne, et tu seras pardonné. Donne, et tu recevras : une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans ton tablier ; car la mesure dont tu te serviras pour les autres servira aussi pour toi. » A cela nous pouvons ajouter : car ce n’est pas dans le pouvoir de l’homme de ‘sonder les reins et voir la profondeur des cœurs’. Le seul qui lui ait été gratuitement donné est celui d’aimer, d’aimer Dieu en aimant son prochain. Alors tout ce qu’il fera sera toujours selon le dessein de Dieu, pour Sa gloire et le salut de ses frères et sœurs de la Terre.
Tout homme libéré de la soumission à la loi des hommes, réussi sa foi.
C’est donc en Son Nom – au nom du Père – au nom de L’Amour – de la seule Loi qui est et fait miséricorde – et par Jésus-Christ Le Fils notre Frère, Seigneur et Sauveur, et dans Le Saint Esprit qui les uni, que nous venons frapper à votre porte notre indignité de Le recevoir en Eucharistie ; plaider notre cause par ces humbles paroles, pour que nous soit donné ce droit à cause de notre foi ; demander votre MISERICORDE car Dieu nous l’a déjà accordée parce qu’en recherchant l’amour, nous sommes demeurés en Son Amour. Sinon nous ne serions pas là, à vous adresser, avec l’audace que seul L’Esprit Saint a le pouvoir de transmettre aux pauvres affamés du Royaume.
Quand un membre du Corps souffre, tous les autres membres de ce Corps souffrent avec lui. Cher pape, notre foi nous demande de croire que de vous aussi, les divorcés-remariés ont obtenu miséricorde, et, avec eux, celle de tous les autres membres du Corps du Christ.
Il est certain qu’il n’y a rien en cette réflexion que vous ne sachiez déjà, cher pape. Toutefois, il était de notre devoir de vous en transmettre le message comme nous l’avons reçu. Nous vous remercions du fond du cœur d’avoir pris le temps de l’entendre jusqu’au bout.
Notre secours est dans le Nom du Seigneur… qui a fait le Ciel et la Terre !
Amen +
Fraternellement en Jésus et Marie,
Vos dévoués serviteurs en Eglise,
Doris & Maurice DAVID
pro Deo cum misericordia’
+
Chers frères et sœurs, chers pèlerins, que La Volonté du Père et Sa Glorification soient faites en cette demande et l’action qui suivra.
Ce n’est pas de la dignité que nous réclamons mais l’égalité à cause de notre foi, reconnue par Dieu qui nous a unis en Son Amour parce que nous étions demeurés dans l’amour.
L’erreur est humaine et Dieu le sait pour nous avoir créés ! C’est pourquoi Il ne juge pas Ses enfants selon la loi qui exclue dans la différence, mais selon leur foi qui ranime l’amour et refait l’unité dans l’amour.
C’est parce que nous croyons en l’amour que nous sommes sauvés par L’Amour ! C’est parce que nous croyons que nous savons que ce que nous avons demandé, nous l’avons déjà reçu ! Car rien ne peut être interdit à ceux qui croient en L’Esprit qui, pour avoir passé par les supplices de la Croix a obtenu La Grâce de la Ressurection, est DON et point interdiction !
Dieu notre Père voit notre foi, notre fidélité, notre amour pour Lui et notre profonde obéissance à L’Esprit Saint. Le pape et son collège de cardinaux, d’évêques et de prêtres, verront aussi !
C’est pourquoi nous nous permettons de nous adresser à toi de nouveau ô Eglise, afin que sans juger qui que ce soit, et par les moyens que t’a suggérés L’Esprit Saint, Tu donnes Le Christ à tous, également ! Là est ton devoir envers Lui, et ta responsabilité envers nous, les divorcés-remariés.
Car…
Eglise ô mon Eglise, ne vois-tu pas qu’en maintenant tes interdits, tu commets une grave injustice contre le peuple de Dieu, contre Dieu Lui-même ? Car au lieu d’unir, tu divises – Lui qui veut l’unité entre tous Ses enfants ne peut être satisfait de ce que tu fais !
Eglise ô mon Eglise, ne vois-tu pas qu’il ne peut y avoir d’UNITE sans EGALITE !? Ne vois-tu pas Tu ne peux donc pas continuer à donner Son Fils à l’un et L’interdire à l’autre ? Ne vois-tu pas que cette pratique n’est pas en accord avec Sa Volonté – Lui qui a créé chacun de manière différente afin que chacun vive ce qu’il doit selon Sa Volonté – mais que toutefois, tous soient à Sa Ressemblance, travaillant pour L’Unique Royaume, utilisant la même arme : L’Amour ?
Eglise ô mon Eglise, ne vois-tu pas que c’est l’union en Christ, avec nos différences, qui nous fera ressembler au Père ? qu’alors La Parole s’accomplira : Qu’ils soient un en nous, eux aussi, pour que le monde croie que tu m’as envoyé ?
Eglise ô mon Eglise, ne vois-tu pas que tu es entrain de retarder le Plan de Dieu ?
Eglise ô mon Eglise, examine donc ta conscience et reviens vers Ton Ancien Amour de toujours !
Si tu ne le fais pas maintenant que l’heure est là, à quoi aura servi La Passion de notre Seigneur Jésus-Christ ? A quoi aura servi Son Sang versé pour la multitude ? A quoi sert L’Esprit Saint envoyé, si tu ne Lui donnes pas Sa Raison d’Etre ? Si tu ne te mets pas en position d’être saisie par Lui ?
Eglise ô mon Eglise, le temps presse, tu dois agir ! Tu dois faire MISERICORDE.
Chers frères et sœurs, chères petites cruches, chers pèlerins, prions maintenant, prions notre Père qui est aux Cieux avec la même ferveur et les même paroles de L’Esprit priant Lui-même en notre Frère Seigneur et Sauveur JESUS-CHRIST, Fils du Dieu Vivant et Agissant. Prions pour nos frères les écclésiastiques qui font les lois de l’Eglise… Qu’ils viennent et voient la gloire de Dieu en Ses enfants – ces mêmes divorcés-remariés qu’ils rejettent, et à qui Il a pardonné les erreurs passées et obtenu Le Salut par La Grâce de l’amour ! Qu’ils viennent et qu’ils voient combien Lui, ne les a pas abandonnés lors du rejet de leurs frères et sœurs, en demeurant présent là où ils allaient (2S,7,9). Qu’ils viennent et ils verront que Le Seigneur a rassasié leurs âmes avides de Lui et affamées de Ses Paroles, et combien Il les a comblés de bienfaits (Ps,107,9), et, selon Sa Volonté, pardonnés, afin qu’à son tour l’Eglise leur fasse MISERICORDE ! (Mc :11,25)
« Père saint, Père juste…, ceux que Tu nous as donnés, (le pape et son collège, les cardinaux, évêques et prêtres), nous voulons que là où nous sommes, eux aussi soient avec nous, et qu’ils contemplent notre gloire, celle que Tu nous as donnée parce que Tu nous as aimé avant même la création du monde. Que tous, nous soyons un, comme toi, Père, Tu es en nous et nous en Toi… pour que le monde croie que Tu nous as envoyé. Que leur unité soit parfaite ; ainsi, le monde saura que Tu nous as envoyé, et que Tu les as aimés comme Tu nous as aimés. »
Votre sœur en Christ et Chris à Dieu
Elizabeth-Marie de La Miséricorde et de la Sainte Face
Fraternité Dieu Miséricorde
pour la gloire de Dieu et le salut des hommes
Je bénis le Seigneur qui me conseille : même la nuit mon cœur m’avertit. Je garde le Seigneur devant moi sans relâche ; Il est à ma droite : je suis inébranlable.
« Céline, Pendant les COURS INSTANTS qui nous restent ne perdons pas notre temps… sauvons les âmes… les âmes, elles se perdent comme les flocons de neige, et Jésus pleure, et nous… nous pensons à notre douleur sans consoler notre fiancé… Oh ! Ma Céline, vivons pour les âmes… soyons apôtres… sauvons surtout les âmes des prêtres, ces âmes devaient être plus transparentes que le cristal… hélas ! combien de mauvais prêtres, de prêtres qui ne sont pas assez saints… Prions, souffrons pour eux, et au dernier jour Jésus sera reconnaissant. Nous lui donnerons des âmes !… Céline, comprends-tu le cri de mon cœur ? »
(pensée de sainte Thérèse de L’Enfant Jésus et de la Sainte Face)
« Fais nous revenir vers Toi Seigneur et nous reviendrons
Renouvelle nos jours comme dans l’ancien temps »
(Lamentations 5:21)
(Cette prière fut reçue du Saint Esprit,provenant du Bienheureux Jean-Paul II, lors d’une action de grâce. Adressons là quotidiennement au Seigneur Dieu car là est Son voeu. Amen +)
Coeur Sacré de Jésus, Vous qui avez manifesté à Sainte Marguerite-Marie le désir de régner sur les familles chrétiennes, nous venons aujourd’hui proclamer votre Royauté la plus absolue sur la nôtre. Nous voulons vivre désormais de votre vie ; nous voulons faire fleurir dans notre sein les vertus auxquelles Vous avez promis la paix dès ici-bas ; nous voulons bannir loin de nous l’esprit mondain que Vous avez maudit. Vous régnerez sur nos intelligences par la simplicité de notre foi. Vous régnerez sur nos coeurs par l’amour sans réserve dont ils brûleront pour Vous, et dont nous entretiendrons la flamme par la réception fréquente de votre divine Eucharistie. Daignez, ô Divin Coeur, présider nos réunions, bénir nos entreprises spirituelles et temporelles, écarter nos soucis, sanctifier nos joies, soulager nos peines. Si jamais l’un de nous avait le malheur de Vous affliger, rappelez-lui, ô Coeur de Jésus, que Vous êtes bon et miséricordieux pour le pécheur pénitent. Et quand sonnera l’heure de la séparation, quand la mort viendra jetter le deuil au milieu de nous, nous serons tous, et ceux qui partent, et ceux qui restent, soumis à vos décrets éternels. Nous nous consolerons par la pensée qu’un jour viendra où toute la famille, réunie au Ciel, pourra chanter à jamais vos gloires et vos bienfaits. Daigne le Coeur Immaculé de Marie, daigne le glorieux Patriarche Saint Joseph, Vous présenter cette consécration, et nous la rappeler tous les jours de notre vie !