Bon JEUDI dans LE SEIGNEUR
Sois le bienvenu dans la paix du Christ, toi qui es parvenu jusqu’au puits, par le Souffle de L’Esprit Miséricordieux.
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Textes liturgiques du jour
(cliquer sur Le Livre des Saintes Ecritures dans la main du Seigneur pour prendre lecture des textes choisis pour ce jour)
Saints du Jour :
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Notre Devoir est d’annoncer la parole de Dieu sur toute la terre. Cette vidéo est dite « choc »suite aux images ,mais en la visionnant nous avons été interpellés sur l’obligation d’annoncer la parole de Dieu. Ne gardons pas la vérité de l’évangile pour nous même mais partageons-la à tout le monde. Nous avons le devoir de prier pour les nations où l’évangile du salut est rejetée. Et que cette vidéo nous stimule à intercéder pour l’Inde.
Au nom du Père par le Fils dans le Saint Esprit – pour la gloire de Dieu et le salut des hommes Amen †
Seigneur, je ne suis pas digne de Te recevoir, mais dis seulement une Parole et mon âme sera guérie, prête à recevoir Ta Parole. Viens, Esprit Créateur, visite l’âme de tes fidèles, emplis de la grâce d’En-Haut les cœurs que tu as créés. Toi qu’on nomme le Conseiller, don du Dieu très-Haut, source vive, feu, charité, invisible consécration. Tu es l’Esprit aux sept dons, le doigt de la main du Père, L’Esprit de vérité promis par le Père, c’est toi qui inspires nos paroles. Allume en nous ta lumière, emplis d’amour nos cœurs, affermis toujours de ta force la faiblesse de notre corps. Repousse l’ennemi loin de nous, donne-nous ta paix sans retard, pour que, sous ta conduite et ton conseil, nous évitions tout mal et toute erreur. Fais-nous connaître le Père, révèle-nous le Fils, et toi, leur commun Esprit, fais-nous toujours croire en toi. Gloire soit à Dieu le Père, au Fils ressuscité des morts, à l’Esprit Saint Consolateur, maintenant et dans tous les siècles. Amen.
« Maintenant que vous avez été libérés du péché et que vous êtes devenus les esclaves de Dieu, vous y récoltez la sainteté, et cela aboutit à la vie éternelle. »
Romains 6,19-23
« Heureux est l’homme qui n’entre pas au conseil des méchants, qui ne suit pas le chemin des pécheurs, ne siège pas avec ceux qui ricanent, mais se plaît dans la loi du Seigneur et murmure sa loi jour et nuit ! »
Psaume 1
« Je suis venu apporter un feu sur la terre, et comme je voudrais qu’il soit déjà allumé ! Je dois recevoir un baptême, et comme il m’en coûte d’attendre qu’il soit accompli ! »
Luc 12,49-53.
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Nous approchons de la grande fête des Saints de L’Eglise Catholique et déjà le ton est donné, l’accent mis sur eux. L’Eglise invitent ses fidèles à fêter les grands Saints, à se souvenir de leurs existences et de leurs exemples de vie, tandis que dans le même Souffle nous percevons, nous ressentons vivement l’appel de Notre Seigneur à nous fêter nous aussi, nous, petits communs des mortels qui sommes appelés à devenir saints en notre quotidien routinier et sans grand intérêt: « Vous, soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait. » (Matthieu 5:48)
Parce que nous avons fait le choix de Le suivre et d’être Ses disciples sur la Terre, ce ‘Vous’ de notre Seigneur Jésus-Christ qui s’adressait à chacun de ceux qui Le suivait, s’applique aussi à nous aujourd’hui.
En chacun de Ses disciples et la foule qui l’accompagnait toujours là où Il se rendait, Il a su déceler une fidélité, un rare désir animé de purification intérieure comme extérieure, une réelle envie de foi qui grandissait au fur et a mesure qu’ils L’écoutaient parler en les enseignant.
Ce matin pendant l’oraison j’ai reçu cette Parole : « Il était resté dans le silence depuis toujours, mais aujourd’hui Il s’est manifesté… pour amener toutes les nations à l’obéissance de la Foi » (Romains 16)
Je suis reconnaissante au Seigneur pour cette Parole qui vient confirmer que le Chemin de la sainteté est en effet et sans conteste celui que choisit de prendre tout disciple de La Vérité. Aucun autre ne mène à la promesse de LIBERTE qu’est LA VIE ETERNELLE au bout de toute vie sainte vécue dans la simple obéissance et la foi. Tous les grands saints l’ont reconnu et le Seigneur nous demande aujourd’hui de le reconnaitre aussi car Il sait mieux que nous Son importance dans chacune de nos vies. N’est-ce pas Sa grande Obéissance et Sa Fidélité à la mission qui Lui avait été confiée et totalement accomplie sur la Croix, qui ont libérées L’ESPRIT DE SAINTETE qui a rejaillit sur le monde entier le jour de la Pentecôte ?
La Croix de Notre Seigneur est ce qui nous rappelle que Dieu est un Père qui sait reconnaitre d’entre tous, Ses enfants qui Lui obéissent et Lui sont demeurés fidèles malgré, envers et contre tous. Et Sa Reconnaissance va jusqu’au bout de Sa Puissance : Sur la Croix tout s’est accomplit ! Il n’y avait rien d’autres qui devait s’accomplir qui ne s’est pas accomplit là – au moment du dernier Soupir ! Tout ce qui est venu après la mort de Jésus : La Résurrection et La Pentecôte (La Venue de L’Esprit Saint) – n’ont été que bienfaits pour toute l’Humanité de la part d’un Dieu d’Amour reconnaissant et compatissant.
Grâce à l’Obéissance d’un seul Homme, le monde fut sauvé ! Jésus est venu pour que le Ciel s’ouvre pour chacun des Enfants du Bon Dieu qui Le prie avec ferveur et foi tout en continuant à Lui demeurer fidèle malgré persécutions et obstacles.
Comment rester indifférents devant un tel Don ? Comment résister à Le suivre quand tout ce qu’Il désire c’est notre soumission à Son désir : faire de chacun de nous des saints – non par nos grandes œuvres reconnues et anoblies par la reconnaissance des hommes – mais par la fidélité et l’obéissance de la Foi que nous posons dans chacune de nos actions, en chacune de nos prières, en nous disant en notre for intérieur : ‘c’est pour Toi Jésus que je le fais, car si c’était pour moi, je Te répondrai : excuse moi, mais je ne suis pas prêt à Te rencontrer.’ Car on peut attendre toute une vie et se rendre compte, quand le moment arrive de la rendre à Celui de qui nous l’avons reçue, que l’on est toujours au point de départ, toujours pas prêt à la sainteté qui nous est demandée. Or celui qui a donné sa vie à Jésus-Christ, sait que sa vie ne lui appartient plus dès le moment de sa consécration ! Il sait que désormais c’est Jésus qui décide pour Lui : Suis-moi (Mat. 9.9) ; c’est encore Lui qui dit : O homme, tiens toi debout et Je te parlerai ’ (Ezékiel 2.1) ou encore Lui qui interpelle : ‘Combien de temps encore me feras-tu attendre ?’ (Jésus à Joseph-Marie Verlinde) et Lui encore qui finit par avouer : ‘Tu deviendras sainte le jour où tu accepteras la Fidélité de Dieu dans ta vie.’ (Jésus à votre humble servante par l’intermédiaire du Père Hebditch !)
La consécration à suivre Jésus est certes une exigence, car toute purification demande un effort à s’ouvrir et à se repentir ; mais au bout de toute exigence de la part du Seigneur, il y a promesse de délivrance et de liberté assurées pour l’âme qui Lui répond OUI en tout temps ! Toutefois elle devra apprendre à discerner et reconnaitre Sa Voix qui vient pour lui donner la Paix et la Joie, de l’autre qui vient pour la troubler, la diminuer, la perdre par une constante dévalorisation d’elle-même, de ses capacités, et une culpabilité excessive, maladive et infondée qui n’a de but que l’entraîner dans le gouffre du néant! Toute approche de Jésus, tout appel de Sa part, doit être discerné dans la Foi en qui Il Est : L’Etre Obéissant qui est venu sur Terre pour donner à tous les hommes et à toutes les femmes, Sa Parole de Vérité libératrice et rédemptrice ! C’est donc La Parole de Dieu qui lui dit La Vérité, soutenue par la prière et le dévouement au culte, qui libèrera l’âme prête à L’entendre malgré ses blessures qui s’ouvriront de nouveau en vue de guéririson définitive.
Dès l’aurore, demander la Parole de Dieu pieusement, en toute honnêteté et reconnaissance de ses faiblesses ; prendre son temps pour La lire avec prière et en cherchant l’aide de ceux qui l’expliquent fidèlement, est la démarche qu’elle devra entreprendre, avant de s’engager pour la vie à demeurer greffée à la Croix de Jésus-Christ. Car c’est sur cette Croix – feu sur la terre – que tout s’est accomplit pour son bonheur ainsi que le bonheur de tous à travers elle ! C’est par la ferme Foi en cette Croix ‘Feu’, que l’impatience du Fils de l’homme a été durement éprouvée ! Pouvant déjà voir l’accomplissement de Sa mission qui devait se faire à travers Elle, Il lui tardait de La voir s’allumer et s’accomplir, se propager pour toucher les cœurs, ramener les brebis vers l’enclos. Mais Jésus a su dominer Sa patience car Il savait qu’avant de sortir du silence pour commencer Sa mission, Il Lui fallait avant tout donner l’exemple : recevoir le baptême de purification. C’est à partir de ce moment, quand La Voix de Son Père du haut du Ciel s’est fait entendre alors qu’Il se faisait baptiser par Jean : « Celui-ci est Mon Fils bien aimé, en qui J’ai mis toutes mes complaisances ! » (Matthieu 3,17) qu’Il put se rendre au désert pour rencontrer l’ennemi et le combattre, car Il était désormais prêt, armé, fort pour L’assumer pleinement. Alors commença La Grande Oeuvre Rédemptrice sur la Terre par la Croix de feu !
Quel bel exemple d’humilité que nous donne ici notre Seigneur : Lui sans péché s’est soumis au baptême de purification ! Quel bel exemple pour ceux qui sont appelés, chacun selon son rang, chacun selon son don, chacun selon ses mérites intérieures, à administrer une partie du Royaume de Dieu afin que TOUS soient rassemblés sous un seul chapiteau, en une seule assemblée à glorifier Le Seul Dieu !
Notre Seigneur a reçu du Père le pouvoir de rendre forts CONFORMEMENT A LA PRATIQUE DE L’EVANGILE ceux qu’Il appelle à Le proclamer. Que ceux-là Lui demandent avec grande humilité, puisque Lui-même s’est fait serviteur de tous, la purification nécessaire avant de se rendre sans crainte vers les assemblées qui les attendent. Qu’ils prennent la résolution de fuir comme la peste, la maladie des questions et des disputes de mots, d’où naissent envie, querelles, paroles injurieuses, mauvais soupçons, violentes disputes. Et qu’ils demeurent endormis dans la piété, la justice, la foi, l’amour, la patience, la douceur d’esprit. (1 Tim.6.11) en murmurant Sa loi jour et nuit ! Que leur seul orgueil soit la Croix de Notre Seigneur. C’est Elle qui donne la force aux martyrs de se relever après chaque coup reçue pour qu’Elle demeure debout et toujours élevée au dessus de TOUS, au dessus de TOUT ! Alors ils seront prêts à devenir ces arbres qui donnent du fruit en Son temps, et dont jamais ne meurt le feuillage.
Père, nous Te louons, nous Te bénissons, nous Te rendons grâce pour Ton immense gloire qui se fait en chacun de Tes enfants obéissants, prêts à recevoir de Toi, l’onction de Sainteté. Que cette communion donne le courage aux chrétiens de vivre leur sainteté en acceptant simplement de tendre l’autre joue. Nous Te demandons Seigneur, de canoniser dès aujourd’hui tous ceux qui sont persécutés pour Jésus dans le monde entier et tout spécialement pour les chrétiens de l’Inde.
Seigneur, donne-nous des saints :
pas seulement des hommes dévoués et généreux
mais des hommes de Dieu,
des hommes pour qui Dieu est tout.
Pas seulement des hommes fraternels,
attentifs à toutes les misères
mais des hommes qui ne vivent que pour toi,
des hommes qu’on ne pourrait regarder sans te voir,
qu’on ne pourrait écouter sans t’entendre.
Aie pitié de nous, Seigneur.
Nous avons besoin de saints.
Seigneur, donne-nous des saints.
* (Prière trouvée sur le site prier.be)
Oui nous avons besoin de saints qui touchent les coeurs les plus durs et les inspirent à se donner totalement à Jésus, même dans le martyr. Chers pèlerins que vos chapelets montent aujourd’hui vers Marie Consolatrice des Affligés pour nos frères et soeurs indiens. Au nom du Père par le Fils dans le Saint Esprit Amen †
communion humblement partagée en Jésus Miséricorde, par votre soeur Doris, en union bénie par L’Amour avec votre frère Maurice, en la maisonde David, Ses serviteurs, pour la gloire de Dieu et le salut des hommes.
Aux pélerins lecteurs :
«Nous, qui sommes insensés, avec la médiocrité de notre intelligence, et avec l’aide de Dieu, avons écrit cela comme un rappel à nous-mêmes et aux autres qui partagent un esprit similaire… S’il se trouve ici quelque chose qui ne plaise pas à Dieu et qui ne soit pas utile aux âmes, à cause de ma bêtise et de mon ignorance, qu’il n’en soit pas ainsi, mais que la volonté de Dieu rende cela parfait et agréable. Je vous demande pardon ou vous prie, si quelqu’un trouvait autre chose de plus pratique et de plus utile, alors de le laisser faire et nous serons heureux et récompensés. Si quelqu’un doit trouver à partir de ces écrits un peu d’aide, qu’il prie pour moi pécheur afin que je puisse obtenir grâce devant Dieu »
Saint Nil Sorsky
CADEAU DE PETITE THERESE
20 octobre
Si Notre-Seigneur et la Sainte Vierge n’étaient pas allés eux-mêmes à des festins, jamais je n’aurais compris l’usage d’inviter ses amis pour des repas. J’ai eu grande pitié des personnes qui servaient dans les grands dîners. Si, par malheur, il leur arrivait de laisser tomber quelques gouttes sur la nappe ou sur l’un des convives, je voyais la maîtresse de maison les regarder sévèrement, alors ces pauvres gens rougissaient de honte, et je me disais, toute révoltée intérieurement : Oh ! comme cette différence qui existe ici-bas entre les maîtres et les serviteurs prouve bien qu’il y a un ciel où chacun sera placé selon son mérite intérieur, où tous seront assis au festin du Père de famille. Mais alors quel Serviteur sera le nôtre, puisque Jésus a dit » qu’il irait et viendrait pour nous servir » ! Ce sera le moment pour les pauvres et les petits surtout, d’être récompensés amplement de leurs humiliations.
STEJ (Extrait de « Œuvres Complètes » aux Ed. du Cerf P 1085, 8-8-97 4)
CADEAU DU BIENHEUREUX JEAN PAUL II
« Nous ne sommes plus les premiers disciples, témoins oculaires de la vie de Jésus. Nous sommes aujourd’hui ces « Thomas », qui peinons à croire sans voir. Et le Ressuscité nous adresse cette béatitude : « Heureux ceux qui croient sans avoir vu. » II nous faut, comme Thomas, croire en la parole de ceux qui ont vu, car la foi et la mission de l’Église reposent sur le témoignage des Apôtres. Elles reposent aussi sur l’Écriture. Dans la vision de l’Apocalypse (deuxième lecture), le Ressuscité demande à Jean : « Ce que tu vois, écris-le dans un livre. » L’évangéliste rappelle que les signes accomplis par Jésus ont été mis par écrit dans son livre pour que nous croyions, et qu’ainsi nous ayons la vie. En Église, aujourd’hui, nous ouvrons le Livre, dans la foi nous reconnaissons que Jésus est là, dans l’Esprit nous recevons sa parole. Heureux sommes-nous d’avoir été choisis pour annoncer dans toute notre vie les merveilles de Dieu! »
En 2001, le pape Jean-Paul II, lors de la Fête de la Divine Miséricorde
