Bon MARDI dans LE SEIGNEUR
Sois le bienvenu dans la paix, toi qui es parvenu jusqu’au Puits, par le Souffle de L’Esprit Miséricordieux. Si tu es là c’est bien parce que, comme ses gérants, tu te reconnais ‘petit et démuni’. Alors, fais toi une place dans ce grand jardin qui l’entoure et restes y le temps qu’il te faudra. Tu es le bienvenu et sera traité en enfant roi du seul Roi qui est – en Dieu Créateur qui a fait le Ciel et la Terre, reconnu ici en JESUS-CHRIST, Son Fils, Verbe fait chair, Sauveur de L’Humanité entière. Pieux séjour parmi nous. Amen +
Accueil Pourquoi ce puits ? Qui nous sommesLa cruche t’y conduira
Méditation de la Semaine (Le vieil homme)
COMMUNION DU JOUR
« Si quelqu’un, jouissant des biens de ce monde, voit son frère dans la nécessité et lui ferme ses entrailles, comment l’amour de Dieu demeurerait-il en lui ? Petits enfants, n’aimons ni de mots ni de langue, mais en actes et en vérité »
(1 Jn 3, 16-18).
(cliquer sur Le Livre des Saintes Ecritures dans la main du Seigneur pour prendre lecture des textes choisis pour ce jour)
Au nom du Père par le Fils dans le Saint Esprit – pour la gloire de Dieu et le salut des hommes Amen †
Seigneur, je ne suis pas digne de Te recevoir, mais dis seulement une Parole et mon âme sera guérie, prête à recevoir Ta Parole. Viens, Esprit Créateur, visite l’âme de tes fidèles, emplis de la grâce d’En-Haut les cœurs que tu as créés. Toi qu’on nomme le Conseiller, don du Dieu très-Haut, source vive, feu, charité, invisible consécration. Tu es l’Esprit aux sept dons, le doigt de la main du Père, L’Esprit de vérité promis par le Père, c’est toi qui inspires nos paroles. Allume en nous ta lumière, emplis d’amour nos cœurs, affermis toujours de ta force la faiblesse de notre corps. Repousse l’ennemi loin de nous, donne-nous ta paix sans retard, pour que, sous ta conduite et ton conseil, nous évitions tout mal et toute erreur. Fais-nous connaître le Père, révèle-nous le Fils, et toi, leur commun Esprit, fais-nous toujours croire en toi. Gloire soit à Dieu le Père, au Fils ressuscité des morts, à l’Esprit Saint Consolateur, maintenant et dans tous les siècles. Amen.
« Nous aussi, nous crions en nous-mêmes notre souffrance ; nous avons commencé par recevoir le Saint-Esprit, mais nous attendons notre adoption et la délivrance de notre corps. »
Romains 8, 18-25
« Qui sème dans les larmes moissonne dans la joie. »
Psaume 125
« A quoi le règne de Dieu est-il comparable, à quoi vais-je le comparer ? Il est comparable à une graine de moutarde qu’un homme a jetée dans son jardin. Elle a poussé, elle est devenue un arbre, et les oiseaux du ciel ont fait leur nid dans ses branches. »
Luc 13, 18-21.
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les oiseaux du ciel
Qui sont les ‘oiseaux du ciel’ dont parle Notre Seigneur en Son Evangile ce matin ? (Luc 13, 18-21)
Ne sont-ils pas ceux qui reconnaissent en la graine de moutarde semée devenu un arbre, un abri sur pour y faire leurs nids et abriter leurs petits ?
Quand le règne de Dieu arrive en soi, c’est la paix qui se ressent en premier, la paix qui nous dit que nous avons bien fait et qu’il n’y a rien d’autre à faire de plus que maintenir la pose : se reposer, faire son nid, dans l’assurance que là où Dieu nous met, c’est là que nous devons être et fleurir, donner de bons fruits ; c’est aussi la paix qui invite à continuer sur Le Chemin à faire la Volonté de Dieu, à La discerner selon Sa Parole.
Aujourd’hui Elle nous dit que règne de Dieu est en soi, car c’est Son désir que la création aspire de toutes ses forces à voir cette révélation des fils de Dieu.
En tant que fils et filles, héritiers et héritières du Royaume, il est important de savoir où se poser en ce Royaume, bien se positionner afin qu’en soi et en notre prochain, ce soit Son règne qui arrive et non le nôtre, Sa Volonté qui se fasse et non la nôtre.
Un petit témoignage en passant pour illustrer humblement ce positionnement !
Quand nous sommes venus habiter la nouvelle maison que nous avons entièrement dédiée au Seigneur, la première chose que nous avons désiré faire, était de fixer La Grande Croix au mur de l’Oratoire, et y mettre un spot dirigé sur le centre. Quelques jours après quand tout fut fin prêt, je suis descendue à L’Oratoire pour l’oraison, et j’ai pris place dans un des fauteuils que nous avions disposés de chaque côté de la Croix. Soudain je ne me suis pas sentie bien. Je n’aimais pas la place que j’avais choisie, c’est-à-dire à droite de la Croix. J’ai donc changé de côté et je me suis sentie tout à fait confortable. Depuis je l’ai adoptée ! Quelques semaines après, la Sainte Face de Notre Seigneur a commencé par se dessiner dans le creux du bois de la Croix, juste en Son milieu. De plus elle n’est visible qu’à cette unique place et seulement si on allume le spot qui se dirige sur Elle.
Ce matin, pendant l’oraison, j’ai compris pourquoi je m’étais sentie plus à l’aise de ce côté que de l’autre, quand Le Seigneur me fit le beau cadeau des Paroles du psaume 121/122, entre autres : « Le Seigneur est Ton gardien et Ton ombrage. Il est à Ta droite… Quelle joie quand on m’a dit : Allons à la maison du Seigneur ! »
Aller à la Maison du Seigneur a toujours été pour moi une grande joie. Pendant longtemps je me suis rendue à la messe chaque matin, jusqu’au jour où l’interdit est venu me toucher profondément : une personne m’ayant vu aller prendre l’Eucharistie alors que j’étais divorcée et remariée, m’a rapportée au curé qui l’a fait à l’évêque, qui lui a son tour a envoyé une lettre au curé pour être lue en chair le dimanche suivant afin de rappeler aux divorcés-remariés que l’Eucharistie leur est interdite… Et la joie en mon cœur d’aller à l’église et d’y assister à la messe, peu à peu s’est estompée, puis s’est tue… jusqu’à mourir !
Ce n’est que dans cette maison que nous avons consacrée à Yahweh, ce n’est que quand je suis assise à la droite de Sa Croix, à la place qu’Il a choisi pour moi, afin que chaque matin fidèle au rendez-vous donné, je vienne recevoir de Son fils Jésus L’Instruction, que La Joie revient, que ma joie est complète, ma paix entière, ma pose assurée.
C’est là, à cet endroit, à cette place, que j’ai fais mon nid; que j’aspire de toutes mes forces à voir cette révélation de fille de Dieu se faire en moi. C’est là que mon âme a gardé l’espérance d’être, elle aussi, libérée de l’esclavage, de la dégradation inévitable, pour connaître la liberté, la gloire des enfants de Dieu. ( Romains 8, 18-25).
C’est encore là, dans l’état libre du petit oiseau blessé mais combien reconnaissant et fidèle jusqu’à sa mort, que je me fais servante. Alors mes larmes sèchent, mes blessures se cicatrisent, la force m’est redonnée, ma joie déborde.
C’est aussi là que je me donne à Jésus toute entière, que je deviens Son Epouse, héritière du Royaume.
C’est donc aussi là que le diable me tente le plus, me demande de douter de ce que je vois, de ce je reçois. C’est là que vient me surprendre l’épreuve de la foi. Mais c’est surtout là, alors que je tiens mon chapelet serré entre mes mains, que j’entends Sa Voix me redire encore et encore: ‘Ne crains rien de ce que tu auras à souffrir. Sois fidèle jusqu’à la mort et je te donnerai la couronne de la vie.’ (Ap. 2,9-10)
Cet endroit est ouvert à tous. Cette place est proposée à tous. Cet état est demandé à tous. Mais ce n’est pas tous qui s’engageront à l’occuper pleinement ! Seulement les plus pauvres et les plus démunis qui n’ont rien à perdre en ce monde matériel, mais tout à gagner au Ciel qui répondent : OUI ! Que Ta Volonté se fasse en moi, je suis Ton humble servante/serviteur.
Père
« Je lève les yeux vers les montagnes : d’où le secours me viendra-t-il ?
Le secours me viendra du Seigneur qui a fait le ciel et la terre.
Qu’il empêche ton pied de glisser, qu’il ne dorme pas, ton gardien !
Non, il ne dort pas, ne sommeille pas, le gardien d’Israël.
Le Seigneur, ton gardien, le Seigneur, ton ombrage, se tient près de toi.
Le soleil, pendant le jour, ne pourra te frapper, ni la lune, durant la nuit.
Le Seigneur te gardera de tout mal, il gardera ta vie.
Le Seigneur te gardera, au départ et au retour, maintenant et à jamais.
Quelle joie quand on m’a dit : allons à La maison du Seigneur ! »
(Psaumes 121/122)
Au nom du Père par le Fils dans le Saint Esprit Amen
communion humblement partagée en Jésus Miséricorde, par votre soeur Doris, en union bénie par L’Amour avec votre frère Maurice, en la maison de David, Ses serviteurs, pour la gloire de Dieu et le salut des hommes.
* un grand merci et toutes nos bénédictions à une fidèle lectrice pour cette magnifique prière recue via email*
Chers pèlerins, nous avons besoin de saintes âmes qui touchent les coeurs les plus durs et les inspirent à se donner à leurs frères et soeurs dans le don total d’eux-mêmes à Jésus. Que nos chapelets montent aujourd’hui encore vers Marie Consolatrice des Affligés pour nos frères et soeurs persécutés dans le monde entier à cause du Saint Nom de JESUS. Que Marie nous garde toujours miséricordieux les uns envers les autres. Au nom du Père par le Fils dans le Saint Esprit Amen †
Aux pélerins lecteurs :
«Nous, qui sommes insensés, avec la médiocrité de notre intelligence, et avec l’aide de Dieu, avons écrit cela comme un rappel à nous-mêmes et aux autres qui partagent un esprit similaire… S’il se trouve ici quelque chose qui ne plaise pas à Dieu et qui ne soit pas utile aux âmes, à cause de ma bêtise et de mon ignorance, qu’il n’en soit pas ainsi, mais que la volonté de Dieu rende cela parfait et agréable. Je vous demande pardon ou vous prie, si quelqu’un trouvait autre chose de plus pratique et de plus utile, alors de le laisser faire et nous serons heureux et récompensés. Si quelqu’un doit trouver à partir de ces écrits un peu d’aide, qu’il prie pour moi pécheur afin que je puisse obtenir grâce devant Dieu »
Saint Nil Sorsky
CADEAU DE PETITE THERESE
25 octobre
On sait bien que la Ste Vierge est la Reine du Ciel et de la terre, mais elle est plus Mère que reine, et il ne faut pas dire à cause de ses prérogatives qu’elle éclipse la gloire de tous les saints, comme le soleil à son lever fait disparaître les étoiles. Mon Dieu ! Que cela est étrange ! Une Mère qui fait disparaître la gloire de ses enfants ! Moi je pense tout le contraire, je crois qu’elle augmentera de beaucoup la splendeur des élus.
STEJ (Extrait de « Œuvres Complètes » aux Ed. du Cerf P 1103, 21-8-97 3)
CADEAU DU BIENHEUREUX JEAN PAUL II
Les commandements représentent donc la condition de base de l’amour du prochain ; en même temps, ils en sont la vérification. Ils sont la première étape nécessaire sur le chemin vers la liberté, son commencement : « La première liberté, écrit saint Augustin, c’est donc de ne pas commettre de péchés graves… comme l’homicide, l’adultère, les souillures de la fornication, le vol, la tromperie, le sacrilège et toutes les autres fautes de ce genre. Quand un homme s’est mis à renoncer à les commettre — et c’est le devoir de tout chrétien de ne pas les commettre —, il commence à relever la tête vers la liberté, mais ce n’est qu’un commencement de liberté, ce n’est pas la liberté parfaite… » (23).
LETTRE ENCYCLIQUE – VERITATIS SPLENDOR