Accueil Pourquoi ce puits ? La cruche t’y conduiraau service de nos frères
Cher pèlerin,
Nous te souhaitons la bienvenu en ce puits où la Grâce est secondée par la contemplation de La Parole, le jeûne de la communion Eucharistique, et la prière confiée en oraison solitaire. Que L’action bienfaisante de L’Esprit Saint en ce puits, se fasse en toi pour ton bien, celui de ton prochain et la plus grande gloire de Dieu.
La Fraternité DIEU MISERICORDE, chrétienne catholique & apostolique, au Puidamour, Ile Maurice, est née d’un désir profond reçu en appel de Notre Seigneur Jésus et longuement discerné dans L’Esprit Saint par ses membres fondateurs, doris & maurice David, à s’engager dans le monde et pour le monde, sur le chemin de L’Amour Miséricordieux qui se veut pour TOUS ~ afin de montrer à tout homme qu’il est aimé de Dieu et sauvé.
L’Esprit de Grâce souffle où Il veut. Laissons Le agir, sans jamais Le devancer ni Le ralentir. Vivons de la Grâce et la Grâce vivra en nous. Nous te souhaitons une pieuse visite pleine de grâces.
BON SAMEDI
COMMUNION DU JOUR :
SAINT DU JOUR
« Une émotion profonde, m’étreignait le cœur à la vue de cette assemblée. Certains malades avaient perdu les doigts des pieds, d’autres ceux des mains ; d’autres encore avaient les jambes terriblement enflées. Quelques-uns, atteints à la langue, ne pouvaient plus parler ; tous pouvaient à peine marcher »
Pierre Donders naquit en 1809 à Tilburg (Pays-Bas) dans une modeste famille de tisserands. Tout jeune, Pierre désirait déjà devenir prêtre. Sa famille ne pouvant assurer les frais de telles études, c’est le curé du village qui l’instruisit et, à l’âge de 22 ans, Pierre rejoignit le petit séminaire à l’étonnement de tous. En 1839, il entra au grand séminaire de Haaren où il fera la rencontre de Mgr. Grooff, vicaire apostolique du Surinam. Pierre fut ordonné prêtre en 1841 et, nommé missionnaire apostolique, il partit aussitôt au Surinam en Amérique du Sud. Il s’occupa d’abord des esclaves des plantations. Peu après, Mgr. Grooff l’emmena avec lui à la léproserie gouvernementale de Batavia, au milieu de la forêt. Pierre fut bouleversé par la vision de ces malades délaissés de tous : « Une émotion profonde, m’étreignait le cœur à la vue de cette assemblée. Certains malades avaient perdu les doigts des pieds, d’autres ceux des mains ; d’autres encore avaient les jambes terriblement enflées. Quelques-uns, atteints à la langue, ne pouvaient plus parler ; tous pouvaient à peine marcher ». A partir de 1856, cette léproserie sera le lieu de sa mission principale. En 1866, les Rédemptoristes arrivèrent au Surinam afin de prendre en charge la mission, et Pierre Donders demanda à être admis dans la congrégation. Il continua à s’occuper avec un dévouement extrême des lépreux, aussi bien matériellement que religieusement, mais il partit aussi évangéliser les Indiens de la tribu des Caribes, population encore sauvage et cannibale. Il apprit les langues indigènes et instruisit les autochtones dans la foi chrétienne. Il fut l’apôtre intrépide et infatigable des indiens et par-dessus tout des lépreux. Pierre naquit au ciel le 14 janvier 1887.
TEXTES LITURGIQUES DU JOUR
Méditation
« Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je suis venu appeler non pas les justes, mais les pécheurs. »
Jésus, Le Christ, médecin des âmes, roi des rois, saint des saints, fils de Dieu, clame en une Parole, Son autorité divine et fais de ceux qui se croient forts par leur propre moyen ou le moyen des hommes, des faibles, des démunis, des pécheurs !
De cet humble ‘médecin’ né sur un lit de paille souillée, même les plus grands rois de la Terre, les plus grands chefs des nations de la Terre, même les plus grands riches, les plus puissants de la Terre, en ont besoin. Car c’est Lui qui a le pouvoir de rendre forts tous ceux qu’Il touche. (Romains 16) Mais beaucoup ne le savent pas encore, ne le reconnaissent pas !
« Comment l’homme serait-il juste contre Dieu ? » s’exclamait le Job de l’Ancien Testament ! « Recourir à la force ? Il est La Puissance même ! », a été sa réponse ! Le Christ, venu bien longtemps après sur la Terre, pour naître et vivre parmi les hommes, a accompli cette parole, devant tous les hommes avec la puissance de L’Esprit de Son Père en criant du haut de Sa Croix : « Père pardonne leur, ils ne savent ce qu’ils font ! »
Certes, le Dieu de Job était un puissant et sa force ne se mesurait pas contre les géants de la Terre. Il se manifestait à travers la nature qu’Il a Lui-même créée. On ne Le voyait pas agir de la main de l’homme, mais on L’entendait souvent rugir par le vent et l’ouragan !
Le Dieu de Jésus Christ, est aussi un Dieu puissant et fort, mais dont la puissance et la force se manifestent par l’amour miséricordieux qu’Il a pour l’homme, Sa Créature, à travers celui de l’homme pour son prochain.
Certes, Dieu est Tout Puissant … en toutes les choses, en tous les êtres vivants et en tous les temps ! Il est Le même Dieu pour tous et pour tout, en tous et en tout !
Celui qui croit en Jésus-Christ, Son Fils, et Le suis, est habité par cet unique Dieu qui gère tout l’Univers. Il est lui-même, à cause de cet état, un roi parmi tous les rois : il est le roi de sa propre existence, car il est capable de la gérer entièrement selon les enseignements qu’il reçoit du plus fort et du plus grand des maîtres de tous les temps ! Il est un roi, que l’obéissance et la fidélité, la foi en ce Maître Roi d’entre les rois, ont consacrées. Il est oint par l’onction divine de l’Humilité qui l’habite, et qui fait de lui un fils dans le Ciel et sur la Terre – un capable de produire d’autres fils, non pour gérer leurs vies, mais pour les rassembler, les garder unis dans un seul esprit, faire d’eux d’autres ‘rois’ capables de faire la même chose que lui, selon l’Esprit de L’Unique Père !
Et Lui, Le Père Tout Puissant, voit ce que ce fils fait et ce qu’il dit pour le bien de ses frères. Alors Il le déclare : ‘bien portant’, et le confie une autre charge, bien plus important que la précédente. Il lui confie la charge d’autres fils – les égarés et les perdus – à les ramener au troupeau, avec cette instruction : « Prends avec toi l’un des serviteurs, et pars à la recherche des ânesses !»
La tâche est grande, en effet, et les rois à qui elle a été confiée, se plaignent de plus en plus du manque de serviteurs pour les aider ! Toutefois, qu’ils demeurent dans la vérité, et interrogent leur conscience : Combien de bons et loyaux serviteurs sont venus frapper aux portes de nos palais, répondant fidèlement à l’Appel de Dieu – le cœur débordant de servir leurs frères malades, perdus, égarés – que nous avons faillis de reconnaitre, que nous avons renvoyés sans même leur avoir accordé un simple regard d’amitié ?
Et que les serviteurs à leur tour interrogent la leur : Avons-nous perdu la foi en Dieu quand nous avons perdu la foi en l’homme ?
Quand je me trouve ainsi confrontée, je suis tentée de Te demander Père, qui, entre ces rois et ces serviteurs, sont justes et pécheurs ? Qui d’entre eux sont malades et qui sont bien portants ?
Et puis je me dis : à quoi bon chercher les réponses sur cette Terre ! Toi seul a les réponses car Toi seul est Juste, Toi seul est Saint, Toi seul est Le Seigneur, L’Infaillible Dieu ! Entre Tes mains, alors je remets ces âmes et la mienne. Fais en elles selon Ta Sainte Volonté. De toutes les façons, tout est Grâce en ce monde, et Ta grâce Père, aujourd’hui, Elle me suffit amplement !
Je continue donc ma marche Seigneur, sur le petit bout de chemin tantôt rocailleux et épineux, tantôt plat et moelleux, que Tu m’as confié, tout en Te rendant grâce chaque jour de m’y donner un endroit où reposer ma tête, et un bon compagnon pour aimer. Je continue à arroser de l’eau vive de ma cruche, les herbes, de mêmes que les ronces, les pierres de même que les semences, qui s’y trouvent en abondance, sans trop penser qui demain jeté au feu ou qui fleurira pour l’éternité ! Cela est Ton droit, et là est mon destin Seigneur et je ne dois pas le combattre.
Et le reste ? Le reste n’est plus rien… puisque Toi, Tu es tout !
Toutefois, j’aimerai ajouter pour le bien de ceux qui viendront après, que, de la vie que Tu m’a donnée de vivre, j’ai compris une chose. J’ai compris que celui qui parvient à vivre sa vie terrestre jusqu’au bout, sans avoir abdiqué ni de Dieu ni des hommes, est certain de sa propre sainteté. Car une seule chose compte : ici ou ailleurs, demeurer en Tes Paroles – demeurer en Ton amour – demeurer en état de Ta grâce – fleurir là où Tu nous mets, sans nous soucier !
J’ai compris cela, et j’ai compris aussi que j’ai un bon bout de chemin à parcourir avant d’arriver à ce stage là ! Néanmoins je sais, que je suis sur la bonne voie. Je sais qu’à force de demeurer en Toi et Toi en moi, cher Christ mon fiancé, j’arriverai à ma petite sainteté… comme ma sainte petite patronne Thérèse me l’a confiée !
Oh oui, puisque Dieu est en tout, le reste n’est plus rien !
Gloire soit au Père, au Fils et au Saint Esprit, comme il était au commencement, comme il est maintenant et comme il sera dans les siècles et les siècles.
Bénis soit le monde entier.
Au nom du Père, par le Fils, dans le Saint Esprit, T.’
Pro Deo cum Miséricordia.
LA PLUIE DE ROSES DE PETITE THERESE
«… dans les plus petites choses comme dans les grandes, le Bon Dieu donne le centuple dès cette vie aux âmes qui pour son amour ont tout quitté.»
(Ste Thérèse de L’Enfant Jésus et de la Sainte Face)
(Extrait de « Œuvres Complètes » aux Ed. du Cerf P 208, § 1) – source : Foi et contemplation
LE MESSAGE POUR DEMAIN RECU AUJOURD’HUI DU BIENHEUREUX JEAN PAUL II
« La justice est une exigence préalable essentielle au pardon et à la réconciliation ; elle trouve son fondement ultime dans la loi de Dieu et dans Son plan d’amour et de pitié pour l’humanité. Si on la comprend ainsi, la justice ne se borne pas à l’instauration de ce qui est équitable entre des parties en conflit, mais cherche avant tout à rétablir des relations authentiques avec Dieu, avec soi-même et avec les autres. Il n’y a donc aucune contradiction entre pardon et justice. Le pardon n’élimine ni ne diminue le besoin de réparation qu’exige la justice, mais cherche à réintégrer les individus et les groupes dans la société, et les Etats dans le concert des nations. Aucune sanction ne peut supprimer l’inaliénable dignité de ceux qui ont commis le mal. La porte doit toujours rester ouverte à la repentance et à la réhabilitation. »
LE MESSAGE DE JESUS A SR JOSEFA HIER RECU AUJOURD’HUI EN CE PUITS
«Si tu as faim de Me recevoir, Moi aussi, J’ai faim d’être reçu par mes âmes ! J’ai tant de joie à descendre en elles »
MERCI SEIGNEUR, ALLELUIA AMEN !
communion humblement partagée en Jésus Miséricorde, par votre soeur Doris, en union bénie par L’Amour avec votre frère Maurice, en la maison de David, Ses serviteurs, pour la gloire de Dieu et le salut des hommes.
« Passe par le milieu de la ville, par le milieu de Jérusalem, et marque d’un Tau le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s’y commettent. »
(Ezekiel 9:4)
Par Ta Croix Seigneur Jésus, par qui le monde a été crucifié, et nous pour le monde, Tu nous appelles à être des ‘crucifix vivants’ dans le monde et des âmes miséricordieuses en Eglise, reflétant comme en un miroir, la bonté divine. Reçois notre joie de n’être rien d’autre que cela. Amen
Cher pèlerin,
« Que le Seigneur te bénisse et te garde. Qu’Il te montre Sa face Et te fasse Miséricorde. Qu’il tourne vers toi Son visage et te donne la Paix. »
Amen.
Nous remerçions ceux qui sur leur site donnent gratuitement accès aux visiteurs à leurs photographies et images diverses//nous en avons usées librement sur ce blog //merci de nous informer si par pur hasard nous en avons abusées sans votre consentement
POUR LA PRESERVATION DE LA VIE
CONTRE L’AVORTEMENT ?
LEVE TA MAIN ET AGIS
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