Aujourd’hui c’est la fête de sainte Thérèse, notre petite patronne, qui chemine avec nous et veille sur notre petite et humble Fraternité dans la Miséricorde de Dieu.
Alors nous sommes allés à la messe au monastère du Carmel.
Pendant la célébration, qui en passant fut très belle, et où les plus beaux poèmes de Thérèse furent magnifiquement chantés, je me suis adressée silencieusement dans mon cœur à ma petite soeur : « Thérèse ma petite sœur, toi qui connais mon cœur uni au Sacré Cœur de Jésus, toi qui connais ma souffrance de ne pouvoir Le recevoir en Eucharistie à cause de la loi de L’Eglise qui nous l’interdit, donne moi un petit signe de ta présence, et fais moi la grâce de jeter du Ciel, ne serait-ce qu’une petite pétale de rose en ma faveur. »
Et elle l’a fait !
Ce n’est pas une pétale de rose qu’elle m’a envoyée mais une pluie de roses, car au moment de la ‘communion’, voilà que l’hostie vient à manquer !, et pas moins de 50 personnes ont dû retourner à leurs bancs ‘gros jean comme devant’.
Bien entendu, à toutes ces personnes, on a promis une ‘communion’ différée après la messe, car un curé fut vite dépêché pour en chercher ! Toutes ces personnes ne rentreront pas chez eux ‘gros jean comme devant’, comme nous rentrons chez nous à chaque fois que nous nous rendons à la messe.
Nous, les divorcés-remariés de L’Eglise Catholique, sommes comme ces ‘étoffes bien tendues sur le métier attendant pour être brodées et puis personne ne vient pour les broder’ !
Mais, nous ne perdons pas espoir… Dieu est grand et miséricordieux et si je me suis consacrée à Lui c’est pour être au sein de mon Eglise, La Miséricorde.
Nous attentons ! Nous attendons !
Merci petite sœur ! Merci Seigneur Jésus.
Amen +
Doris David +/ Fraternité Dieu Miséricorde
témoin de La Miséricorde devant tous les hommes
«A Sœur Marie du Sacré-Cœur qui lui disait : » Quelle peine nous aurons quand vous nous quitterez ! » Oh ! non, vous verrez, ce sera comme une pluie de roses. Je ne crains pas le Voleur… Je le vois de loin, et je me garde bien de crier : Au voleur ! Au contraire, je l’appelle en disant : Par ici ! par ici ! – Je me fais l’effet d’une étoffe tendue sur le métier pour être brodée ; et puis personne ne vient pour la broder ! J’attends, j’attends !.» Pensée du jour de Thérèse de L’Enfant Jésus, (Extrait de « Œuvres Complètes »)
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