‘Ma vie n’est qu’un instant, une heure passagère. Ma vie n’est qu’un seul jour qui m’échappe et qui fuit. Tu le sais o mon Dieu, pour T’aimer sur la Terre, je n’ai rien qu’aujourd’hui’ … et ce puits… ce puits où je dis Ton amour.

Méditation selon >>Les Lectures du Jour

« Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu avoir faim et soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ? ‘ ? »

Mt 25,31-46

Il y a une pauvreté qui se vit à l’extérieur de l’être, une pauvreté visible.

C’est la misère des mal nourris, la souffrance des sans abris, des prisonniers, de l’étranger…

Certes cette pauvreté là n’est pas être dédaignée.

Mais il y a une autre qui ne peut se voir à l’œil nu. C’est la pauvreté cachée, enfouie, dissimulée au plus profond de l’être ; et si l’on est peu sensible à l’autre, si l’on n’est pas ouvert à l’autre, si l’on a tendance à se concentrer plutôt sur ce que l’on voit ou que l’on peut toucher du doigt, alors on peut passer facilement à côté d’elle sans jamais la remarquer.

Et pourtant, cette pauvreté là est là bien réelle, et somme toute, la plus à plaindre parce que la plus dure à vivre. Somme toute la plus importante, la plus essentielle des pauvretés dont on ne donne pas assez priorité.

C’est la pauvreté de l’âme – l’âme qui est appelée à vivre l’éternité – l’âme que Jésus est venu sauver – l’héritière du Royaume préparé depuis la création du monde – Le Royaume de L’Esprit en Vérité… *

L’Heure est arrivée et c’est maintenant *, aujourd’hui même, que La Terre doit s’occuper de son âme… Demain il sera trop tard…

Seigneur prend pitié.

 *Jean 4, 1-30

Doris & Maurice David +/ Fraternité Dieu Miséricorde

témoins de La Miséricorde devant tous les hommes

« Ta Fidélité Seigneur est sur nous comme notre espoir est en Toi ! »

« …Comme le dit saint Paul – :  » Dieu a pitié de qui il veut et il fait miséricorde à qui il veut faire miséricorde. Ce n’est donc pas l’ouvrage de celui qui veut ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde.  » (Ep. aux Rom. chap. IX, v. 15 et 16). Longtemps je me suis demandé pourquoi le Bon Dieu avait des préférences,… J’ai compris que si toutes les petites fleurs voulaient être des roses, la nature perdrait sa parure printanière, les champs ne seraient plus émaillés de fleurettes….» (Pensée de Sainte Thérèse de L‘Enfant Jésus et de la Saint Face – Extrait de « Œuvres Complètes »)

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