RÉFLEXION
selon les SAINTES ÉCRITURES pour ce Jour
Voici une parole digne de foi : si quelqu’un aspire à la responsabilité d’une communauté, c’est une belle tâche qu’il désire. Le responsable doit être irréprochable, époux d’une seule femme, un homme sobre, raisonnable, équilibré, accueillant, capable d’enseigner, ni buveur ni brutal mais bienveillant, ni querelleur ni cupide. Il faut qu’il dirige bien les gens de sa propre maison, qu’il obtienne de ses enfants l’obéissance et se fasse respecter. Car si quelqu’un ne sait pas diriger sa propre maison, comment pourrait-il prendre en charge une Église de Dieu ? Il ne doit pas être un nouveau converti ; sinon, aveuglé par l’orgueil, il pourrait tomber sous la même condamnation que le diable. Il faut aussi que les gens du dehors portent sur lui un bon témoignage, pour qu’il échappe au mépris des hommes et au piège du diable. Les diacres, eux aussi, doivent être dignes de respect, n’avoir qu’une parole, ne pas s’adonner à la boisson, refuser les profits malhonnêtes, garder le mystère de la foi dans une conscience pure. On les mettra d’abord à l’épreuve ; ensuite, s’il n’y a rien à leur reprocher, ils serviront comme diacres. Les femmes, elles aussi, doivent être dignes de respect, ne pas être médisantes, mais sobres et fidèles en tout. Que le diacre soit l’époux d’une seule femme, qu’il mène bien ses enfants et sa propre famille. Les diacres qui remplissent bien leur ministère obtiennent ainsi une position estimable et beaucoup d’assurance grâce à leur foi au Christ Jésus.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 7,11-17.
En ce temps-là, Jésus se rendit dans une ville appelée Naïm. Ses disciples faisaient route avec lui, ainsi qu’une grande foule. Il arriva près de la porte de la ville au moment où l’on emportait un mort pour l’enterrer ; c’était un fils unique, et sa mère était veuve. Une foule importante de la ville accompagnait cette femme. Voyant celle-ci, le Seigneur fut saisi de compassion pour elle et lui dit : « Ne pleure pas. » Il s’approcha et toucha le cercueil ; les porteurs s’arrêtèrent, et Jésus dit : « Jeune homme, je te l’ordonne, lève-toi. » Alors le mort se redressa et se mit à parler. Et Jésus le rendit à sa mère. La crainte s’empara de tous, et ils rendaient gloire à Dieu en disant : « Un grand prophète s’est levé parmi nous, et Dieu a visité son peuple. » Et cette parole sur Jésus se répandit dans la Judée entière et dans toute la région.
Ne pleure pas
Jésus n’aime pas nous voir pleurer. Un jour Il m’a dit qu’Il recueillait toutes nos larmes, et les déversait dans un grand Océan qu’Il a appellé : OCEAN DE MISÉRICORDE ! Et moi j’ai compris qu’Il parlait de Son Grand Cœur ! ❤️
Le Cœur de Jésus-Christ – ce Mystère insondable de compassion, dont l’Homme ne peut mesurer la profondeur, la hauteur, la largeur. Alors il reste loin, il craint de s’en approcher, par crainte de faire un faux pas, et d’y sombrer, … jusqu’à s’y perdre!
J’imagine que si j’avais à Te peindre à nouveau Seigneur, ce n’est pas un Visage que je peindrai cette fois, mais un Océan, en forme de coeur, et je le remplirai de gouttes d’eau – de gouttes d’eau qui auraient la forme de larmes ! Ou alors de larmes en forme de gouttes d’eau – se reposant calmement en surface. Et s’il devait s’élever une grande tempête, – que mes pinceaux se mettraient à faire des vagues, Toi Seigneur Tu les calmerais.* N’est-ce pas?
Et Le Saint-Esprit dit:
Et Dieu mènera ton affaire à bonne fin *
Oui ! Il terminera Lui-même ton dessin.
Oh ! Merci Esprit-Saint +