la foi : la vraie Communion !

Dieu, je te cherche dès l’aube : mon âme a soif de Toi …

 

RÉFLEXION
selon les SAINTES ÉCRITURES pour ce Jour

    • Lettre aux Hébreux 12,4-7.11-15.
    • Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 6,1-6.

Viens en moi Père des pauvres… Que je dise au monde Ta Volonté et non la mienne.

« ils étaient profondément choqués à son sujet »

« Et là il ne pouvait accomplir aucun miracle », rapporte saint Marc qui fut témoin de ce triste épisode dans la vie de notre Maître et Seigneur. Ce fut quelque part, comme une bonne leçon qu’Il avait reçu de Dieu Son Père des Cieux, Lui qui « corrige tous ceux qu’il accueille comme ses fils », souligne saint Paul, Apôtre de Jésus-Christ – venu après Lui, converti par Lui.

Certes, ce fut un moment très triste dans la vie de notre Seigneur, étant donné que non seulement, selon saint Paul, « quand on vient de recevoir une leçon, on n’éprouve pas de la joie mais plutôt de la tristesse », mais aussi parce que « là Il ne pouvait accomplir aucun miracle ; Il guérit seulement quelques malades en leur imposant les mains. Et Il s’étonna de leur manque de foi», souligne saint Marc.

C’est surtout le manque de foi de Son propre peuple qui a du l’attristéer le plus ! Bien plus que l’humiliation d’être questionné et douté ! D’où d’ailleurs, Sa remarque à ceux qui se posaient des questions sur Lui et sur Sa parenté, – voulant dire que le charpentier, le fils de Marie, et le frère de Jacques, de José, de Jude et de Simon,  et Ses sœurs qui étaient de chez eux, ne pouvait pas avoir de tels pouvoirs et être un enseignant – : « Un prophète n’est méprisé que dans son pays, sa parenté et sa maison. »

Ce qui m’emmène à penser que si Lui, notre Seigneur Jésus, Sauveur des Hommes et tout Fils de Dieu qu’Il était, a pu accueillir une leçon pareille de Dieu sans pour autant se décourager, se révolter et baisser les bras, qui sommes-nous pour nous décourager, nous révolter et baisser les bras quand de notre propre famille nous sommes rejetés ?

Combien de fois ai-je du personnellement subir la même chose ? Dieu seul sait la tristesse que j’ai portée en moi pendant bien des années, à cause du rejet et du manque de foi de ma famille tant biologique que spirituelle ! Jusqu’au Jour béni où, pendant la communion à la messe, j’ai eu la Grâce d’être consolée par Jésus Lui-même ! En me voyant pleurer et sans aucun doute triste Lui-même, de voir combien je souffrais parce que je ne pouvais pas communier en espèces, a parlé à mon cœur et dit :  » « Cesse de pleurer ! Viens Me rejoindre dans L’Hostie mon petit ! Car toi aussi, comme Moi, tu es un agneau que l’on sacrifie. »

Depuis ce Jour, et parce que j’ai cru profondément que c’était bien Jésus-Christ qui m’avait parlé et invité, la tristesse en mon coeur s’est changée en joie parfaite, comme à Cana où l’eau fut changé en vin par Son intervention et l’intervention de Marie sa mère ! Dès ce moment où je suis sortie du banc qui était devenu pour moi une prison à cause de l’interdit de m’approcher de Lui, et que je L’ai rejoins dans le Tabernacle où est conservée L’Hostie consacrée, c’était comme si je L’avais posé comme un Sceau sur mon coeur meurtri par le jugement des Hommes ! Je savais dès lors, que plus personne ne pouvait me toucher, me juger, m’interdire parce que j’avais dorénavant La Protection Divine !

Ce Jour-là, Jésus m’a libéré ! Il S’est placé Lui-même en bouclier devant moi ! Et Il m’a confié La Mission de Le donner à ceux et celles qu’Il m’envoie ! C’est comme cela que depuis, chez nous, dans la pièce la plus retirée de notre maison qui est devenue La Maison de Dieu, Maurice et moi recueillons et conservons Ses Paroles qui sont Vérité et Vie, dans un beau calice réservé à cet effet. À ces âmes, assoiffées et affamées, qui  viennent nous trouver de Sa part pour être elles-mêmes libérées du poids du monde et de ses questions, nous les offrons en Communion avec Lui. 

Et pourtant, malgré que nous portons le Nom, ni Maurice ni moi ne sommes de la lignée du roi David ! Ni Maurice ni moi ne sommes frère et sœur de Jésus-Christ par le sang! Simplement en esprit, et en vérité, comme Lui-même l’a demandé à la femme Samaritaine rencontré un jour au bord d’un puits! Il lui avait dit ceci :  «Femme, crois-moi : l’heure vient où vous n’irez plus ni sur cette montagne ni à Jérusalem pour adorer le Père. Vous, vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs. Mais l’heure vient – et c’est maintenant – où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et vérité : tels sont les adorateurs que recherche le Père. Dieu est esprit, et ceux qui l’adorent, c’est en esprit et vérité qu’ils doivent l’adorer. » (Jean 4:21-24)

De ce Moment d’éternité qu’a vécu la Samaritaine, est né  un autre puits, bien bien des années après  : Le Puidamour ! Là est la véritable Parenté, la véritable Communion que nous avons avec notre Seigneur Jésus-Christ, notre seul Directeur ! C’est La Volonté de Dieu Lui-même, et nous l’exécutons avec grande foi ! Ainsi nous sommes de Sa lignée! Et nous portons des fruits. 

  • N’est-ce pas Ô Saint-Esprit ? N’est-ce pas là la véritable communion ? Celle qui ne nécessite pas de permission de qui que ce soit, pour faire le bien ? Celle qui est librement partagée, et a pour effet de libérer et donner La vraie Vie à celui/celle qui l’a reçoit avec foi ?

Et Le Saint-Esprit répondit répondit :

« C’est pourquoi, je vous dis : À propos de votre vie, ne vous souciez pas de ce que vous mangerez, ni, à propos de votre corps, de quoi vous allez le vêtir. En effet, la vie vaut plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement. Observez les corbeaux : ils ne font ni semailles ni moisson, ils n’ont ni réserves ni greniers, et Dieu les nourrit. Vous valez tellement plus que les oiseaux ! Observez les lis : comment poussent-ils ? Ils ne filent pas, ils ne tissent pas. Or je vous le dis : Salomon lui-même, dans toute sa gloire, n’était pas habillé comme l’un d’entre eux. Si Dieu revêt ainsi l’herbe qui aujourd’hui est dans le champ et demain sera jetée dans le feu, il fera tellement plus pour vous, hommes de peu de foi ! Là où est votre trésor, là aussi sera votre cœur.» Jésus de Nazareth ~(Luc 12:23~34)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Oui, réjouissez-vous toi et ton époux de la Terre ? Exultez de Joie d’avoir trouver votre trésor ! Le Nom de Jésus,  comme un sceau, s’est inscrit sur vos coeurs unis par Dieu dans L’Amour !  Vous l’avez vous-mêmes inscrit par la foi que voys avez eue en Lui, et Il vous a donné La Vie ! Grâce à votre foi, vous êtes devenue roi et reine dans Le Cœur de Jésus ! À la prochaine occasion, Tu nous en feras un beau Dessin, n’est-ce pas petit cœur ? À présent va et fais comme tu dois ! Ta Joie est parfaite.  Je suis est avec toi.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour la gloire de Dieu et le salut des Hommes.