Le mercredi de la 30e semaine du temps ordinaire
LES SAINTES ECRITURES AU QUOTDIEN
« Prête l’oreille, arrête-toi et considère les merveilles de Dieu. »
Job :37,14
«conduisez-vous comme des esclaves du Christ qui accomplissent la volonté de Dieu de tout leur cœur, qui font leur travail d’esclaves volontiers, pour le Seigneur et non pour les hommes. Car vous savez bien que tout homme, esclave ou libre, recevra du Seigneur sa récompense selon ce qu’il aura fait de bien.»
Ephésiens 6
«Que tes œuvres, Seigneur, te rendent grâce et que tes fidèles te bénissent : ton règne, un règne éternel, ton empire, pour les âges des âges.»
Psaume 145
«Quelqu’un lui demanda : « Seigneur, n’y aura-t-il que peu de gens à être sauvés ? » Jésus leur dit : Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer et ne le pourront pas. »
Luc 13
Ta Parole Seigneur est Vérité ; en cette Vérité, consacre-nous, qui ne sommes pas dignes de nous en approcher… consacre Ton Eglise. Amen +
Chers frères et sœurs, chers pèlerins,
Selon la pensée de notre Bienheureux JPII – Apôtre de La Miséricorde – qui veille sur notre Fraternité, prions : « si la Vérité est en nous, elle doit éclater. Nous ne pouvons la nier, au risque de nous nier nous-mêmes. » Amen
La Vérité est qu’au dernier jour de chacun, qu’il soit de l’orient ou de l’occident, qu’il vienne du nord ou du midi, Dieu le jugera pour ce qu’il a fait ! Dieu jugera et le juste et le méchant, et l’esclave et l’homme libre, parce que Dieu ne fait pas de différence entre les hommes !
A l’un Il dira simplement : ‘aujourd’hui même tu seras avec Moi au Paradis’, et à l’autre : ‘Je ne te connais pas ! Je ne sais même pas d’où tu viens ! Tu as fais le mal alors éloigne toi de Moi qui suis Le Bien ! Va maintenant grincer des dents et pleurer dehors car avec tout l’argent que tu as possédé, et tu n’as possédé que cela, tu n’a pas pu Me suivre ni Me servir – tu ne t’es donné que du bon temps ! Pour Moi, tu n’as rien fait, au contraire tu M’as fait baver le plus que tu pouvais, envers Moi tu t’es conduit en maître – à manger, tu ne M’as pas donné, ton pain, tu ne l’as pas multiplié, ton pardon tu ne M’as pas accordé alors que Je te suppliais : tu n’as pas quitté ton petit confort de vie pour Me faire une petite place en ta maison alors que J’étais dans la détresse, sans toît, quelques fois même sans loi !
Seigneur, quand est-ce que j’ai agi comme cela envers Toi ?
Quand tu l’as fait à plus petit que toi – à ton prochain ! Ton prochain c’est Moi insensé car Je vous ai tous créés ! Ne le savais-tu pas ?
Comment l’aurais-je su Seigneur ?
Bien entendu. Toute ta vie tu as ignoré la porte étroite que Je t’indiquais, le joug que Je te proposais. Toute ta vie tu as dénigré et dédaigné Mes instructions, tu n’as pas agis selon Ma Volonté – au contraire, en tout ce que tu faisais et partout où tu allais, tu as voulu être le juge, le premier… maintenant tu seras le dernier et c’est Moi ton Dieu qui te juge! Pas la peine de venir Me supplier de t’épargner si ton cœur ne regrette pas ton ignorance. Tu seras jeté dehors où tu devras subir le sort du malfaiteur car c’est ainsi que tu t’es conduis alors que Je t’avais envoyé Mon propre Fils pour t’enseigner comment bien faire pour mériter de passer le reste de ta vie à Mes côtés à jouir de la Vraie Vie – L’Eternelle Vie. Au lieu de passer tes journées à être uni à Moi et te gaver de Mes Paroles, tu as préféré plaire aux hommes, idôlatrer leurs pensées, faire tout ce qu’ils te proposaient. Tu as choisi de leur donner plus d’importance que Moi alors que tu savais que Je suis L’Eternel ton Dieu, alors que tu savais combien l’homme est mortel, tout comme toi, que demain il passerait sur l’autre rive, tout comme toi, pour Me rendre compte, tout comme toi aujourd’hui ! Va maintenant grincer des dents et pleurer dehors ! Insensé !
Oh Seigneur, prends pitié de moi, je ne veux pas être celui-là, subir cette sanction là ! Instruis-moi je T’en supplie ! Que je sache tout ce que je dois savoir pour venir de nouveau à Toi et finir mes jours avec Toi.
Alors prie ! Prie et veille pour ne pas entrer en tentation. Prie pour Me demander à présent la force de t’éloigner de ce monde qui t’as marqué de son fer rouge ! Prie pour Me supplier de te mettre à l’écart, t’éviter de redevenir l’insensé que tu étais ! Tu sais à présent le sort que tu mériteras si Tu ne changes pas de comportement. Veille ainsi à ce que Je t’obtienne la force de multiplier tes ardeurs, tes propres efforts à Me connaitre et Me faire connaitre – courir au secours de tes frères et soeurs embarqués dans la tempête de ce monde récalcitrant et peu prudent ! Tu découvriras alors combien, loin du monde et ses fardeaux trop lourds à porter, tu seras léger, et combien alors il te sera facile de passer par la porte étroite que tout ce que temps Je te proposais. Tu sauras enfin combien Mon joug est léger. N’aie de crainte à Me le demander chaque jour et Je te l’obtiendrai. Il soufflera sur toi et tu seras rempli de Ma puissance – jamais plus tu n’auras à ramer pour arriver là où tu dois aller, mais tu marcheras sur les eaux, tu glisseras – à dépasser même ceux qui ont sur toi pris une longueur d’avance ! Jamais plus tu n’auras à t’inquiéter de ce que tu devras aujourd’hui produire – Mon souffle multipliera tes données et tu seras comblé. Prie et aies foi désormais rien qu’en Moi – ce que J’ai fait tu feras, tu feras même plus ! Car là est Ma Volonté. Amen+
Merci Seigneur. Que Ton œuvre en moi désormais Ton serviteur, Ton esclave, te rende grâce éternellement. Que tous Tes enfants de la Terre d’âge en âge sachent combien pour moi, malgré mes nombreux péchés, Tu as usé de Miséricorde, combien Tu m’as pardonné quand devant Ton jugement j’ai craqué et me suis repenti amèrement. Merci Seigneur, de m’avoir invité en me grondant, à accepter enfin de passer par la porte étroite de la foi en Toi et obtenir le joug léger que Tu proposes ouvertement à tous Tes enfants : mes yeux et mes oreilles se sont ouverts, et mon cœur s’est dilaté, ma langue s’est déliée et mes jambes jusqu’ici paralysées se sont mises à gambader, tandis que le Malin en moi, sortait de mon esprit, confus et Gros-Jean comme devant ! Merci Seigneur de m’avoir suscité de nouveau pour naitre de nouveau et devenir enfin ce pourquoi Tu m’as créé en m’aimant Le Premier : Ton enfant ! Permets que, fort du nouveau Souffle qui m’habite, je T’appelle fièrement et dès à présent : Abba, Papa !
Amen + Va Mon petit, Tu as été obéissant. Que ton visage demeure ‘tout rayonnant de sa nouvelle clarté céleste’ ! Voici que Je fais de toi aujourd’hui un témoin pour les peuples. *
Amen +
La Vérité d’aujourd’hui chers tous, est que OUI nous serons tous jugés et punis sévèrement si nous avons mal agi, et par cette connaissance, nous le sommes dès à présent !
Toutefois La Vérité nous dit aussi que ce n’est pas le vœu de Dieu notre Père qui est aux Cieux, qu’aucun de Ses enfants ne sois puni aussi sévèrement ! Ce n’est pas Son vœu que quiconque soit renvoyé de Sa Maison, ni ne passe pour le dernier des derniers et son temps à pleurer ni à grincer des dents. Dieu veut que chacun de Ses enfants de la Terre soit instruit clairement de ce qu’il fait déjà et de ce qu’il doit faire à présent, afin de vivre pleinement comme un de Ses fils, une de Ses filles, car l’Heure est venue de profiter de L’Héritage qu’Il nous a donné car L’Alliance, sur la Croix, est accomplie : L’Ainé est là en Son Saint Esprit pour éclairer L’Instruction déjà donnée. Celui qui n’en use pas, restera ‘Gros-Jean comme devant !’
L’Esprit Saint est La Vérité de notre temps ! En La Vérité, est La Grâce (Le Chemin), est La Liberté (La Vie). Par respect pour Dieu qui nous L’a envoyé et par respect pour Christ qui S’est sacrifié afin qu’Il naisse de nouveau en chaque âme qui se convertie à Lui, soyons Le soumis ! Il est notre unique Parent – grâce à Lui nous ne serons jamais ‘orphelins’ : c’est Lui que nous devons honorer car en la Sainte Trinité, c’est Lui qui fait La Volonté du Père ! ‘C’est l’Esprit-de-Vérité, que le monde (qui ne fait pas La volonté de Dieu) ne peut pas recevoir parce qu’il ne Le voit pas et qu’il ne Le connaît pas. Mais qui demeure en l’amour, demeure en Christ qui demeure en Dieu qui est Amour. Ceux-là peuvent donc voir et recevoir L’Esprit qui vient de Dieu, car L’Esprit prie et agit pour et à travers eux ! Ceux-là Le connaissent et sont connus de Lui – ‘à eux Il se manifeste ‘! Alors La Puissance de Dieu est avec eux… Alors ils se mettent à marcher sur les eaux et à multiplier les pains et les poissons… à faire des guérisons, ressusciter les morts et délivrer les âmes des multiples démons … ils font même plus que cela : ils perpétuent L’Amour !
Ainsi nous pouvons dire et conclure que, celui qui agit ainsi, agit selon L’Esprit Saint ! Dans la simplicité de son cœur, sans chercher à se faire remarquer des hommes, il vit dans la crainte de Dieu, et n’a de souci que Lui faire plaisir ! Celui-là, qu’il soit de l’orient ou de l’occident, qu’il vienne du nord ou du midi, passera le Jugement et sera dans les premiers rangs : il aura droit à prendre place au festin dans le royaume de Dieu.
‘Notre secours est dans le Nom du Seigneur, qui a fait le Ciel et la Terre… Notre Joie en Son Verbe incarné, Jésus-Christ… Notre Salut, dans le Saint Esprit.’
Fraternité Dieu Miséricorde
Pro Deo cum Misericordia
Réf. BiBlique :
L’Ecclésiaste 3:17*Luc 23 :43*Luc 13 :22-30*Matthieu 25 :40*Exode 20 :2*Matthieu 11:25-30*Matthieu 26 :41*Marc 6 :30-52* Luc 11,42-46*Jean 20, 18-21* Jean 14 :12*Marc 2,7&8* Matthieu 9*Jean 20 :1-9*Jean 3 :1-17*1 Jean 4*Romains 8 :15*Isaïe 55 :4*Jean 14
« Jésus m’a fait sentir qu’en obéissant simplement je lui serais agréable ; d’ailleurs je ne vais faire qu’une seule chose : commencer à chanter ce que je dois redire éternellement – » Les Miséricordes du Seigneur !!! »»
Sainte Thérèse de L’Enfant Jésus et de la Sainte Face
L’EGLISE SE SOUVIENT de
SAINT ALPHONSE RODRIGUEZ
Frère coadjuteur de la Compagnie de Jésus
(1531-1617)
Saint Alphonse Rodriguez, fils d’un riche marchand drapier, naquit à Ségovie, en Espagne. Après avoir fait ses études au collège d’Alcala, sous la direction des Pères de la Compagnie de Jésus, il retourna à Ségovie à cause du décès de son père et dut s’occuper de l’administration des biens familiaux. Après avoir essuyé des revers de fortune, perdu sa femme et sa fille en l’espace de quelques mois, Alphonse Rodriguez abandonna le soin des affaires et se retira dans une chambre avec son fils à peine âgé de trois ans. Plein de sollicitude pour l’âme de son enfant, il pria Dieu de l’appeler à Lui s’il devait un jour L’offenser. Le Seigneur ravit ce petit ange à sa tendresse quelques jours après sa fervente prière. Durant six ans, saint Alphonse pratiqua dans le monde toutes les vertus chrétiennes. À l’âge de trente-sept ans, de plus en plus absorbé dans la pensée de la mort et de son salut éternel, il ne songea plus qu’à entrer dans un Ordre religieux. Sur le conseil d’un Père de la Compagnie de Jésus, il commença à étudier le latin, mais le succès ne répondit pas à ses efforts. Laissant ce projet de côté, il pensa à se retirer auprès d’un ermite de Valence, mais son confesseur l’en dissuada. Âgé de trente-neuf ans, Alphonse entra au noviciat de la Compagnie de Jésus… lire + en cliquant sur l’image qui le représente …
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Que le Seigneur vous bénisse et vous garde! Que le Seigneur fasse briller sur vous son visage, qu’il se penche vers vous! Que le Seigneur tourne vers vous son visage, qu’il vous apporte la paix!
Amen