«réfléchissez à votre situation… à ce que vous devez faire »

« Je verserai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés. De toutes vos souillures, de toutes vos idoles je vous purifierai. Je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau. J’enlèverai votre cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair. Je mettrai en vous mon esprit : alors vous suivrez mes lois, vous observerez mes commandements et vous y serez fidèles. Vous habiterez le pays que j’ai donné à vos pères. Vous serez mon peuple, et moi, je serai votre Dieu. »

Ezékhiel 36

« Et moi, en ma terre d’exil, je Lui rends grâce, je montre Sa Force et Sa Grandeur face à un peuple de pécheurs  »

Tobi 13, 2-9
Pourquoi ce puits ? Qui nous sommesLa cruche t’y conduira te guidera

BON JEUDI !

méditation de la semaine – sujet : le diable !

clique sur la cruche et elle t’y conduira

BIENVENU CHER PÉLERIN LE PERE LE FILS LE SAINT ESPRIT T’ACCUEILLE  EN CETTE HALTE SPIRITUELLE OÙ TU TROUVERAS AU QUOTIDIEN EN COMMUNION PARTAGEE EN FRATERNITE

PAIN DE VIE & EAU VIVE

« L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. »

Luc 4,4

COMMUNION DU JOUR

Icônes de Christ en gloire de soeur Jacqueline Poirier, r.m

préparons-nous à recevoir la Parole de Dieu

«Revenez, pécheurs,
et agissez selon ce qui est juste devant Lui.
Qui ne le sait : Il vous aime et vous fera grâce !»

Tobi 13, 2-9

souvenons-nous d’une sainte âme, inspirons-nous d’elle

SAINT MAURICE

et ses compagnons

Martyrs

(† 286)

Maurice et ses compagnons, se rappelant qu’il vaut mieux obéir à Dieu qu’aux hommes, se virent dans la triste nécessité de désobéir.

« Empereur, nous sommes vos soldats ; nous sommes prêts à combattre les ennemis de l’empire ; mais nous sommes aussi chrétiens, et nous devons fidélité au vrai Dieu. Nous ne sommes pas des révoltés, nous aimons mieux être des victimes que des bourreaux : mieux vaut pour nous mourir innocents que de vivre coupables. « 

©Evangelizo.org 2001-2010

invoquons L’Esprit qui vient de Dieu

Viens Esprit Saint embraser mon coeur du feu de Ton Amour

Viens Esprit Saint éclairer mon intelligence d’un rayon de Ta Lumière

louons le Père en Esprit en reconnaissant la vérité

Avec bonté Seigneur, Tu nous invites à communier ! Merci de nous lancer cet appel et de nous faire prendre conscience de la course folle dans laquelle nous sommes entraînés. Aide-nous à nous arrêter, pour respirer, regarder, écouter, faire silence… Te rencontrer et Te prier. Apprends-nous l’essentiel : non pas la course à l’argent et au bonheur futile, mais une confiance éperdue en Ton amour et en Ta miséricorde.  Par Ton Eau Vive Seigneur, purifie nos coeurs afin qu’ils soient dignes de Te recevoir en Ta Parole.  Amen+

lisons la Parole de Dieu pour ce jour

« Et pour vous, est-ce bien le temps d’être installés dans vos maisons luxueuses, alors que ma Maison est en ruines ? Et maintenant, ainsi parle le Seigneur de l’univers : Réfléchissez à votre situation : vous avez semé beaucoup, mais récolté peu … »

Livre d’Aggée 1,1-8.

« Car le Seigneur aime son peuple, Il donne aux humbles l’éclat de la victoire.»

Psaume 149

« Hérode, prince de Galilée, apprit tout ce qui se passait, et il ne savait que penser »

Luc 9,7-9

« Poussés par le Souffle de l’Esprit Saint qui souffle où Il veut » 

Au nom du Père du Fils du Saint Esprit. Amen †

Ce matin pendant l’oraison, j’ai reçu cette Parole de la part du Seigneur :

« Nous n’avons pas besoin de ces choses – les Livres Saints qui sont entre nos mains sont en effet notre consolation. » (1.Maccabées 12.9)

Et cela m’a fait repenser à ce qu’hier notre sainte Patronne Thérèse nous disait : ‘Pour moi je ne trouve plus rien dans les livres, si ce n’est dans l’Évangile. Ce livre-là me suffit.’

Je peux entièrement souscrire à cette pensée car je me considère en ce monde, une pauvre âme illettrée qui n’a jamais fait d’études supérieures, n’ayant aucune intelligence ni de mémoire pour cela !  A l’école, je me souviens admirer mes amies et ma sœur – toutes intelligentes et toujours dans les premiers rangs, tandis que moi je devais bûcher dur pour arriver à passer mes grades.  N’ayant pas une bonne santé je devais souvent manquer l’école.  De ce fait j’étais toujours un peu en retard sur les autres.  Mais aujourd’hui je comprends le sens de tout cela.  Le Seigneur m’avait réservé pour une toute autre étude – celle de la ‘connaissance spirituelle’.  St Paul a confirmé cette pensée qui m’habitait déjà depuis un moment : au terme nous parviendrons tous ensemble à l’unité dans la foi et la vraie connaissance du Fils de Dieu, à l’état de l’Homme parfait, à la plénitude de la stature du Christ.

L’arbre de La Connaissance – Le Créateur n’a jamais désiré que l’homme goûte de son fruit pour la bonne et simple raison que La Connaissance de toute chose Lui appartient.  C’est de Son Esprit Saint que l’homme doit vivre, se laisser guider, mener, corriger, parfaire et non par ses propres moyes si limités sans les dons de L’Esprit qui vient de Dieu.

Ce matin Jésus m’a dit : Laisse-toi guider par ton instinct.  Regarde les bêtes, les oiseaux, sèment-ils ?  Pourtant ils sont nourris.  Et bien c’est pareil pour les humains.  Faites confiance à La Connaissance et Il vous La donnera selon vos besoins et vos dons. Tout vient de Dieu – Le Créateur !  Si l’homme devait se fier plus à son instinct uni à son Créateur, il réussirait sa vie sans soucis, sans guerres, sans luttes, sans maladies.  La mort lui viendrait en temps décidé et il le saurait bien à l’avance, son instinct le lui dirait.

Merci Jésus.

Nous voilà bien lotis avec nos petites connaissances humaines, nos grands certificats et nos exigences.  Nous voilà bien installés dans nos maisons luxueuses et nos richesses que nous trimbalons avec nous là où nous allons, mais ne pouvons emporter avec nous quand la fin nous surprend plus tôt que nous n’avions prévu selon nos petites sciences.  Nous voilà bien informés par les médias de tout ce qui se passe dans le monde, et pourtant nous voici égarés comme perdus devant une importante décision à prendre pour nous-mêmes.  Nous voilà poursuivant nos passions mondaines, courant derrière le plaisir du moment, obéissant à nos instincts sauvages nous rendant aveugles et irresponsables, délaissant l’important pour satisfaire avant tout notre je me moi, sans nous soucier qu’autour de nous le monde fout l’ camp, la terre se réchauffe, les saisons changent, et que nos enfants récolteront certainement ce que nous avons semé avec notre petite connaissance du moment !

J’ai été cette personne, j’ai souffert pendant trop d’années de cette cuirasse que je m’étais imposée par ignorance de la Vraie Connaissance. Du fruit interdit, j’en ai voulu goûter moi aussi, et je m’en suis voulu à en mourir pendant de longues années de ma pauvre existence, tant son goût était amer.  Et c’est bien pour cette raison que le Seigneur Dieu un jour, dans Sa Grande Miséricorde, s’est penché sur ma pauvre âme découragée et murmuré à l’oreille des Paroles d’amour et de tendresse dont une que je désire partager de nouveau en ce puits : « Je t’aime depuis toujours, c’est pour cela que je te demeure profondément attaché. » (Jérémie 31 :3)

Dieu nous aime, nous a aimés LE PREMIER !  Ce n’est pas peu dire !  De Lui, tout nous vient.  De Lui, nous devons tout attendre et recevoir.  Premièrement la Vraie Connaissance.

O Père, je n’ai dans ma bouche ce matin que louanges pour Ta Grandeur et Ta Toute Puissance, que pauvre de Toi, Tu T’évertues à révéler aux sourds et aux aveugles ; à ceux de Tes enfants qui ne savent pas marcher et se voient déjà courir ; à ceux qui disent Te connaitre quand ils ne se connaissent pas eux-mêmes ; à ceux qui croient posséder la Terre et tous ses habitants, en oubliant bien vite en leurs maisons luxueuses que leur vie ne tient qu’à un fil entre Tes puissantes mains.  O Père, je n’ai dans ma bouche ce matin que paroles de grandes et infinies reconnaissances pour Ta Bonté Ta Générosité Ta Grande Miséricorde envers le plus petit de Tes enfants.  O Père, je n’ai dans mon cœur qu’un amour pur et simple de petit enfant qui ne demande qu’à être le Tien pour toujours.

A cette louange, le Père s’est réjouit.  D’un grand geste Il a ouvert Ses bras et je m’y suis réfugiée,  en vous emportant tous avec moi.  Que de monde j’y ai retrouvé là, je ne vous dis pas !  Certains que je connaissais déjà, d’autres pas, mais ils n’étaient guère des étrangers pour moi à ce moment là.  L’un d’eux est venu vers moi et s’est présenté en disant : « Moi, l’Écclésiaste, j’ai été roi d’Israël à Jérusalem, et j’ai appliqué mon coeur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux. C’est une occupation pénible à laquelle Dieu impose aux enfants des hommes de se livrer. »

Puis il m’a soufflé cette Parole que j’ai retenu d’instinct dans mon cœur, afin de la partager avec vous, car le Père m’avait fait un petit clin-d’œil me faisant comprendre qu’Il L’avait sous pesé et qu’elle valait Son pesant d’or : « J’ai examiné toutes les oeuvres qui se font sous le soleil: et voici, tout est vanité et poursuite du vent. Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté. Je me suis dit en moi-même: voici que j’ai accumulé et amassé de la sagesse, plus que tous ceux qui ont été avant moi à Jérusalem, et mon coeur a possédé amplement sagesse et science. J’ai appliqué mon esprit à connaître la sagesse, et à connaître la sottise et la folie; j’ai compris que cela aussi est poursuite du vent. Car avec beaucoup de sagesse on a beaucoup de chagrin, et celui qui augmente sa science augmente sa douleur… »

voici l’Eau Vive, communions

Chers pèlerins, chers frères et sœurs, chères petites cruches qui attendaient l’Eau Vive, chères petites âmes, Le Père nous demande aujourd’hui de REFLECHIR A NOTRE SITUATION !  Si avec toute cette Eau Vive qu’Il nous donne chaque jour en ce puits, nous n’arrivons pas, alors c’est que quelque part il y a une force qui nous retient ailleurs.  Et nous ne nommerons pas ici son nom afin de ne pas lui donner plus d’importance qu’il croit avoir en ce monde.  Mais nous vous demanderons bien humblement, comme nous vous l’avons demandé hier sans savoir qu’aujourd’hui le sujet serait sur le tapis par la puissance de L’Esprit qui vient de Dieu, de faire l’exercice d’examen de conscience si vous ne l’avez pas encore fait !

Croyez que si le Père devient si insistant, c’est parce qu’il y a URGENCE.  N’attendons pas que nous soyons courbés par le poids des années pour entreprendre une action qui nous est demandée depuis hier, aujourd’hui renouvelée par Sages Paroles venues d’en Haut, pour relever ensemble la Terre et tous ses habitants qui penchent dangereusement du côté du néant d’où elle est sortie.

Elle ne doit pas y retourner ! 

Réfléchissons ensemble et ensemble trouvons une solution.  L’erreur humaine a été de se croire déportée du Ciel, quand le Ciel et la Terre ne font qu’Un en Celui qui Les a créés UN seul UNIVERS. 

La solution a tous ses problemes, elle est là à portée de nos mains levées vers le Ciel, quand nous Le rejoignons en nos louanges, exaltations, danses et chants nouveaux, tambourins et cithares que nous faisons raisonner en nos maisons de louanges.  Elle est là dans nos Alléluias, nos cries de joies qui proclament la Gloire de Dieu en faisant Ses éloges.  Elle est dans la fierté de nous savoir petits, humbles et doux entre nous.  Elle est dans l’orgueil de déclarer au monde entier que nous sommes tous enfants d’un même Dieu et qu’Il compte sur nous pour venir à Lui, chercher en Son Esprit Saint, les Paroles qui éclaireront notre chemin et celui que la Terre doit désormais emprunter.

La solution est en Dieu.  En Ses Paroles de Vérité qu’Il nous livre en adoration de Son Esprit de Sainteté.  La preuve nous est ici donnée.  Laissons Dieu faire… enfin !  Laissons Le agir, nous enseigner ce que nous devons connaitre en commencer par le commencement des commencements : en redevenant petits enfants ignorants, tout à fait ordinaires qui ne recherchent que d’être soulevés de Terre pour nous retrouver bien au chaud dans Ses grands Bras – Lui notre Père, et le Ciel, notre seule famille !  ALLELUIA – AMEN +

louons Dieu en Sa Miséricorde

Rendons-Lui grâce ouvertement en ce puits et en d’autres que nous construirons peu à peu.  Venons humblement Lui demander grâce en nos louanges, pour avoir pendant si longtemps manqué de Le louer dans les murs de nos maisons luxueuses appelées à passer.  Demandons Lui pardon pour avoir trop longtemps recherché à dominer la Terre et tous ses habitants et manquer ouvertement de Le laisser faire.  Déposons enfin devant Lui et devant tout le Ciel assemblé, nos bourses trouées et nos sagesses mal élevées.

Au nom du Père, du Fils, du Saint Esprit

communion humblement partagée en Jésus Miséricorde, par votre soeur Doris, en union bénie par L’Amour avec votre frère Maurice, en la maison de David, Ses serviteurs, pour la gloire de Dieu et le salut des hommes !

           


Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face, notre sainte patronne, disait que sa confiance en Dieu était si grande qu’Il ne pouvait l’abandonner.  (Lt 32) Il ne le L’a jamais fait ! Du Ciel, comme elle l’avait désiré, Il l’a exaucé – elle continue à faire pleuvoir des pluies de roses sur la Terre.  Sur ce puits, nous recevons quotidiennement une pétale qui contient un message de sa part. Aujourd’hui, elle nous dit :

‘ Théophane Vénard me plaît encore mieux que St Louis de Gonzague, parce que la vie de St Louis de Gonzague est extraordinaire et la sienne toute ordinaire. Puis c’est lui qui parle, tandis que pour le saint, c’est un autre qui raconte et qui le fait parler ; alors on ne sait presque rien de sa  » petite  » âme ! Théophane Vénard aimait beaucoup sa famille ; et, moi aussi, j’aime beaucoup ma  » petite famille « . Je ne comprends pas les saints qui n’aiment pas leur famille… Ma petite famille de maintenant, oh ! je l’aime beaucoup ! [et P 1005, 27-5-97 10] St Louis de Gonzague était sérieux, même en récréation, mais Théophane Vénard, il était gai toujours. ’

(Extrait de « Œuvres Complètes » de Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face)

Merci petite soeur, de combler ainsi nos petites âmes, ainsi que celles de tous nos frères et soeurs qui ont soif de miséricorde.


S’il te plait !
C’est à toi, Jésus, que je m’attache
C’est en tes bras que j’accours et me cache…

Merci !
Plus rien ne m’inquiète,
Rien ne peut me troubler.
Plus haut que l’alouette
Mon âme sait voler…

(Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face)

La Miséricorde Divine est LA LUMIERE de nos vies.  Elle est représentée au sanctuaire de la Fraternité par des petites flammes allumées ici et là.  Signe d’Espérance, elles clignotent sans arrêt – ainsi elles convient les pèlerins à s’arrêter un moment et à déposer une intention de prière pour un frère ou une soeur ou pour un étranger… Il n’y a pas de limites à la prière que l’on offre ni de limites aux bienfaits qui pleuvent sur l’orant comme sur le ‘recevant’, car nous avons affaire à un Dieu dont la Miséricorde est infinie ! Si donc le coeur vous en dit de déposer une intention en ce puits, cliquez sur la flamme, et envoyez nous un email.  La Fraternité priera pour vos intentions à l’heure de la Miséricorde pendant laquelle Jésus a promis beaucoup de grâces.  

Que la Grâce de L’Esprit d’Amour du Père en union avec celui de notre Sauveur Jésus-Christ Miséricordieux,  nous bénisse tous qui passons par ce puits !  Amen †

Nous remerçions ceux qui sur leur site donnent gratuitement accès aux visiteurs à leurs photographies et images diverses//nous en avons usées librement sur ce blog //merci de nous informer si par pur hasard nous en avons abusées sans votre consentement.

©  Fraternité DIEU MISERICORDE
chrétienne catholique & apostolique, au Puidamour, Ile Maurice
pour la gloire de Dieu et le salut des hommes