Bon Mardi

5 Juin 2012

«A César, rendez ce qui est à César, et à Dieu, ce qui est à Dieu. » 

Matthieu 28

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Notre Père qui es aux Cieux, que Ton nom soit santifié, que Ton règne vienne, que Ta Volonté soit faite sur la Terre comme au Ciel.  Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour… Rassasie-nous de Ton amour au matin, que nous passions nos jours dans la joie et les chants. Fais connaître Ton œuvre à Tes serviteurs et Ta splendeur à leurs fils.

Un jour viendra où sur la Terre comme aux Cieux, une seule monnaie sera mise en circulation ! Un jour viendra où sur la Terre comme dans les Cieux, des hommes et des dieux seront nets et irréprochables et vivront dans la Justice et dans la Paix .

Croyez toutefois que ce ne sont pas là de simples réflexions humaines lancées au gré du vent, mais une Promesse Divine faite il y a seulement 2000 et douze années de cela au gré de L’Esprit de Dieu : Car ce que nous attendons, selon la promesse du Seigneur, c’est un ciel nouveau et une terre nouvelle où résidera la justice. Dans l’attente de ce jour, frères bien-aimés, faites donc tout pour que le Christ vous trouve nets et irréprochables, dans la paix.

En attendant ce jour là, entre la Terre et les Cieux, entre César et Dieu, il n’y a qu’un pas, qu’un jour, qu’une nuit qui les sépare ! Or pour César ce décompte est devenu une éternité – il sait ses jours comptés et avec eux l’envol inévitable de son âme vers la mortalité. Car César est trop occupé à soigner sa propre effigie, son petit ego ! César est trop attaché à sa légende, à sa petite réputation humaine, qu’il ne voit pas combien il se détruit tout doucement la santé, et se sape toutes les chances de jouir un jour de L’Eternelle Santé.

Malgré les siècles qui passent et toute la patience que montre Dieu, César refuse toujours de jouer Son jeu.  Et tant qu’il n’aura pas compris que l’enjeu ne l’engage pas seulement, mais toute une multitude de gens, lui et ceux qui croient et agissent comme lui, seront renvoyés à leur propre sort, renvoyés à leur mort !

«A César, rendez ce qui est à César, et à Dieu, ce qui est à Dieu.»

L’entêtement de César et de tous ces romains dont il a la charge, explique bien non seulement le règne de la faim, mais aussi celui de l’impatience, de l’inquiétude, de l’angoisse, de la peur, de la détresse, du désespoir, de l’avidité à combler par la menue monnaie que l’on mendie à ses frères, le vide qui  tiraille, le manque que l’on ne peut expliquer alors qu’en vérité on ne manque de rien car tout fut accompli un jour sur une Croix quand un homme, un seul, a ouvert Ses bras  et s’y est laissé épinglé des 4 côtés afin que tous soient sauvés.

Ah César, malgré ton beau titre d’empereur, quel égoïste tu fais ! Comment t’aimer ? Sinon pour toi, prier !

De grâce ! Seigneur, libère César et avec lui, Rome !  Au nom de L’Amour qui te lie à lui, et nous unis aussi, Toi et moi, Toi le Dieu qui m’a fait miséricorde, fais le revenir à Toi et il reviendra. Renouvelle ses jours comme aux temps anciens !  Toi le bienveillant, le juste, Toi qui garde les gens simples, souviens-Toi combien quand j’étais faible, Tu m’as sauvée et mon âme a retrouvé le repos.  Fais pour lui comme Tu as fais pour moi. Amen + Quant à toi César, trésaille devant Le Maître – Lui qui change le roc en étang, et le granit en fontaine ! Ton éfigie et ta légende, ton Trésor désormais seront Lui. 

« Qui lira ce témoignage en action de grâce et sentira sa foi renforcée, rendra grâce à Dieu pour Son Esprit qui l’a inspirée ; qui hésitera, continuera à chercher ; qui doutera reviendra et la reprendra. Ainsi, pas à pas, nous marcherons ensemble dans les sentiers de La Vérité. » Merci Seigneur

Message de Notre Seigneur Jésus-Christ à soeur Josefa de La Société du Sacré-Cœur, le 6 avril 1921. Message reçu en ce puits aujourd’hui à travers le livre ‘Un Appel à L’Amour’.Nous rendons grâce pleinement à Dieu pour Jésus Miséricorde en la vie de nos soeurs et pour notre frère Maurice qui nous a offert ce livre.

«Croyez en mon Amour et en ma Miséricorde. Vous m’avez offensé : Je vous pardonne.  Vous M’avez persécuté : Je vous aime. Vous M’avez blessé par vos paroles et vos oeuvres : Je veux vous faire du bien et vous ouvrir mes Trésors !« Ne pensez pas que J’ignore comment vous avez vécu jusqu’à présent : Je sais que vous avez méprisé mes Grâces, peut-être même profané mes Sacrements. Mais Je vous pardonne !… « Et si vous voulez vivre heureux ici-bas et assurer en même temps votre éternité, faites désormais ce que Je vais vous dire : « Etes-vous pauvres ? Ce travail qui vous est imposé par la nécessité, accomplissez-le avec soumission et sachez bien que, Moi aussi, J’ai vécu trente ans assujetti à la même loi, car J’étais pauvre et même très pauvre ! « Ne considérez pas vos maîtres comme des tyrans. Ne nourrissez pas contre eux des sentiments de haine. Ne désirez pas leur malheur, mais faites valoir leurs intérêts et soyez fidèles. « Etes-vous riches ? Avez-vous à votre charge des ouvriers, des serviteurs ?.. N’exploitez pas leur travail, rémunérez leur labeur selon la justice et prouvez-leur votre affection avec douceur et bonté. Car si vous avez une âme immortelle, eux aussi; si vous avez reçu les biens que vous possédez, ce n’est pas seulement pour votre jouissance et votre bien-être personnels, mais afin que, les administrant sagement, vous puissiez exercer la charité envers ceux qui vous entourent. « Après avoir, les uns et les autres, accepté avec soumission cette loi du travail, reconnaissez humblement l’existence d’un Etre au-dessus de tout ce qui est créé. Cet Etre est votre Dieu en même temps que votre Père. « Comme Dieu, Il exige que vous accomplissiez sa Loi divine. Comme Père, Il vous demande de vous soumettre en fils à ses Commandements.»

Pensée de Petite Thérèse trouvée sur le site internet de Jean-Marie : ‘Foi et Compassion’ – Nous rendons grâce à Dieu pour la vie de notre petite soeur et pour ses pluies de roses déposées en ce puits chaque jour pour l’encenser de leur parfum céleste, et pour Jean-Marie qui nous l’offre gratuitement chaque jour.

« Il me semble que l’amour peut suppléer à une longue vie… Jésus ne regarde pas au temps puisqu’il n’y en a plus au Ciel, Il ne doit regarder qu’à l’amour. Demandez-lui de m’en donner beaucoup aussi à moi, je ne demande pas de l’amour sensible mais seulement senti de Jésus. Oh ! L’aimer et le faire aimer, que c’est doux ! »

Les images et belles reproductions exposées en ce puits ont été trouvées par la Grâce de Dieu sur le net au gré de L’Esprit de Générosité qui l’anime. Ceci dans le seul but d’embêlir et rendre agréable à s’y promener, cet espace réservé à la dévotion à notre Père des Cieux – DIEU MISERICORDIEUX en Christ Sauveur de tous les hommes. Notre Fraternité tient à remercier chaleureusement leurs frères et soeurs qui en leur générosité de coeur offrent ce qu’ils ont eux-mêmes reçus en grâces. Que Dieu soit glorifié en eux.