prendre les devants

« le bon grain, ce sont les fils du Royaume ; l’ivraie, ce sont les fils du Mauvais.»

Mt 13,36-43.

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J’entends ce matin que selon Le Maître, il n’y a pas de problème à ce que, dans la maison paternelle, les bons fils soient élevés et grandissent au côté des fils du mauvais. Toutefois il arrivera un moment où il faudra les séparer : les  fils du mauvais devront brûler en enfer tandis que les bons, resplendiront comme le soleil dans la maison du père.

Imaginant ce moment, je ne peux m’empêcher de penser à la souffrance de mon Bon Papa des Cieux à qui cela coûtera de devoir faire cet exercice là !

Et si je prenais les devants Seigneur ? Si je séparais dès aujourd’hui l’ivraie du bon grain, que je la jetais moi-même au feu, afin que mon Bon Papa n’ait pas à souffrir pour le faire ? Crois-Tu Seigneur qu’Il sera content de voir dès maintenant, resplendir comme le soleil, les Fils de Sa Maison ?

« Yavhé te consacrera et bénira toutes tes entreprises. »

(Dt. 28)

Dans ce cas… prendre les devants ne me coûtera pas.

Amen +

à Christ et Christ en Dieu

petite croix tau

votre soeur, en Christ et Christ à Dieu

Doris +/ Fraternité Dieu Miséricorde

 

 

fleurminirosec

« Ne croyez pas que je nage dans les consolations, oh non ! ma consolation c’est de n’en pas avoir sur la terre. Sans se montrer, sans faire entendre sa voix, Jésus m’instruit dans le secret, ce n’est pas par le moyen des livres, car je ne comprends pas ce que je lis, mais parfois une parole comme celle-ci que j’ai tirée à la fin de l’oraison (après être restée dans le silence et la sécheresse) vient me consoler : « Voici le Maître que je te donne, il t’apprendra tout ce que tu dois faire. Je veux te faire lire dans le livre de vie, où est contenue la science d’Amour. » La science d’amour, ah oui ! cette parole résonne doucement à l’oreille de mon âme, je ne désire que cette science-là, pour elle, ayant donné toutes mes richesses, j’estime comme l’épouse des sacrés cantiques n’avoir rien donné…»

Thérèse de L’Enfant Jésus et de la Sainte Face

(Extrait de « Œuvres Complètes » aux Ed. du Cerf P 548, LT 195)


dieu vous benisse

petite croix tau

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