« Le Fils de l’homme est maître, même du sabbat. »

Marc 2

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Je ne peux expliquer pourquoi mais ‘sabbat’ pour moi rime avec ‘liberté’ – le sabbat étant le jour de repos pour l’homme, c’est donc son jour de liberté, ce jour là il se repose et fait ce qu’il veut, une fois que ce qu’il fait est selon La Volonté de Dieu.

Si donc ‘sabbat = liberté’, alors la Parole de Dieu se lirait comme ceci : « La liberté a été faite pour l’homme, et non pas l’homme pour la liberté ! »

Quelle belle œuvre en effet : un homme libre – un homme maître de sa liberté – qui sait la gérer pour son bien et celui des autres ! Un tel être est comblé de bénédictions Divines.

Malheureusement, certains ont du mal à reconnaitre et à jouir pleinement de cette liberté qui est la leur par don de Dieu, parce qu’ils vivent leur présent dans le passé, à regretter, à se remémorer sans arrêt de mauvais souvenirs et à en souffrir. Ces personnes là vivent dans la détresse et l’inquiétude, et finalement, il est mieux pour elles de ne pas avoir de mémoire.

Ce que je dis est dur je le sais, mais si je le dis c’est parce que jadis j’étais comme elles, j’étais inquiètes pour un oui et pour un non ! Mais j’ai remarqué depuis que je me suis rapprochée du Ciel, j’ai changé d’attitude ! Je fais confiance au ‘pain quotidien’ en me rappelant que le reste, c’est-à-dire le présent et le futur, ne m’appartiennent plus, ne m’appartiennent pas !

« Ne vous inquiétez pas, dit Jésus, votre Père sait ce dont vous avez besoin. Cherchez plutôt le royaume de Dieu, et toutes choses vous seront données par-dessus. » (Lc.12) Cela est bien vrai, car quand on recherche les choses d’en haut, on ne s’inquiète plus des choses d’en bas! (Col.3) C’est automatique pour la bonne et simple raison qu’on n’en a plus le temps ! J’en fais l’expérience chaque jour, et même en cet instant où j’écris cette réflexion : je suis avec le Ciel et le Ciel est avec moi, alors je n’ai pas le temps de m’inquiéter des choses de la terre !

Ceux qui me connaissent disent que ma ‘nouvelle philosophie’ est du au fait que j’ai un bon mari qui m’aime et qui fait tout pour me rendre heureuse et alléger ma vie. C’est vrai, c’est absolument vrai, et ces mêmes personnes savent aussi que cela n’a pas toujours été le cas pour moi, mais que c’est grâce au Ciel que je dois aujourd’hui ce grand bonheur et cette ‘nouvelle philosophie’. Elles peuvent en témoigner car, des preuves, Dieu en a données et continue à en donner et j’en témoigne à chaque occasion qui m’est donnée.

« Venez à moi »  – cette invitation du Bon Dieu s’adressent à tous les hommes et les femmes de la Terre : « Venez à moi vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. » (Mt.11) et la question est : combien de personnes y répondent favorablement ?

Sans doute j’ai du être du nombre qui as dit OUI. Et Dieu a vu, Dieu a entendu mon OUI. Il S’est souvenu de son alliance, S’est émut selon son grand amour. (Ps 106)

Chers amis, croyez qu’à ceux qui viennent à Lui, Dieu donne de voir et d’entendre ce que d’autres ne voient pas, ce que d’autres n’entendent pas, et d’en faire leur profit !

Pas plus tard qu’hier soir, au moment d’aller me coucher, alors que j’étais un peu nerveuse à cause du temps qui est à l’orage en ce moment, et que je peinais pour m’endormir, instinctivement, j’ai pris mon chapelet dans ma main et je me suis réfugiée dans la prière : « Père éternel et tout puissant, je t’offre le corps et le sang de ton Fils bien aimé, notre Seigneur Jésus-Christ… » Et bien vite j’ai entendu Sa Voix: « Allez il est temps de te reposer maintenant, car j’ai à travailler ! »

Je soupçonne Le Ciel d’être entrain, en ce moment même et depuis quelques temps déjà, de faire un gros travail dans mon petit cerveau pendant que je suis au repos ! Je crois qu’Il est entrain de remplacer tout ce qui est mauvais, tout ce qui est gâté, tout ce qui ne fonctionne pas bien et tout ce qui est inutile aussi, par Ses bonnes Paroles à Lui. Parce que là est un vieux rêve que jadis j’avais fait, quand Le Seigneur m’instruisant de ma mission, m’a dit : « Depuis le sein de ta mère je t’ai consacrée ! J’ai fais de toi un prophète… Je mets mes Paroles dans ta bouche, dispense les avec droiture ! » !

Voyez-vous, j’ai une cervelle d’oiseau, et je me suis bien vite rendue compte que je n’allais pas pouvoir faire ce qu’Il me demandait avec un tel outil !

Mais j’ai quand même obéi ! J’ai cru que s’Il me le demandait, Il se débrouillerait aussi pour me donner un meilleur outil, comme une mémoire d’éléphant par exemple, afin que je puisse retenir Ses Paroles et les dispenser au bon moment, pour ne pas perdre de temps car L’Heure est là, et c’est maintenant !  – c’est encore Lui qui le dit !

Le Bon Dieu est un ‘Boss’ formidable ! A ceux qui viennent chercher avec Lui du travail, Il dit : « Demandez et vous recevrez » ! Et croyez qu’Il donne ce qu’Il promet, mais en temps voulu ! Il faut savoir attendre et espérer dans la foi, comme Abraham qui par sa persévérance, a obtenu ce que Dieu lui avait promis : bénédictions et une multitude de descendants, alors que sa femme était stérile !

La foi est un choix, comme la fidélité, la liberté !

« Je t’aime depuis toujours c’est pourquoi je te reste profondément attaché. »

(Jérémie 31 :3)

Merci Abba, Père ! Car il est vrai que je n’ai pas toujours été ‘fidèle’ dans le passé. Mais Toi Tu l’as été, et quand je T’ai rencontré, quand je T’ai retrouvé, la première chose que Tu as faite pour moi a été de semer deux petites graines en moi : celle de la foi et celle de la fidélité. Grâce à elles, je suis aujourd’hui une femme LIBRE. Et pour cela je Te serai éternellement reconnaissante, fidèle à jamais. Merci Papa !

Et toi petite sœur du Ciel, mon âme sœur, ma douce amie, qu’en penses-tu ?

« Quelle douce joie de penser que le Bon Dieu est juste, c’est-à-dire qu’il tient compte de nos faiblesses, qu’il connaît parfaitement la fragilité de notre nature. De quoi donc aurais-je peur ? »

Merci petite sœur ! Alors tout est dit !
Amen +

pour la gloire de Dieu et le salut de mes frères et soeurs

** Pensée du jour de Thérèse de L’Enfant Jésus