« Domine jusqu’au cœur de l’ennemi. »

Psaume 110 (109)

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En Jésus-Christ qui est La Parole de Dieu, Dieu Lui-même s’est incarné. A travers Les Saintes Ecritures – La Bible – Les Evangiles – Dieu Se révèle et Se dit. Il Se dit Père de tous et de chacun – Père de L’Humanité – Père de tous les hommes et des femmes de la Terre. Ainsi nous sommes tous frères et sœurs.

Malgré nos indifférences et nos mépris, nos caricatures de Lui, Dieu continue à nous aimer comme un Père – c’est-à-dire avec le même amour dont Il a usé quand Il nous a créés, donnés la vie – Son propre Souffle. Jamais Il ne cessera de nous aimer. Dans Sa quête de l’homme, jamais Dieu ne S’arrêtera car Il l’aime plus que tout, plus que Lui-même, pour l’avoir créé, lui avoir donné Sa vie et accordé une part d’héritage à Son Royaume.

Jamais Dieu ne cessera de nous inviter – chacun indistinctement et sans faire de différence entre nous – à Le rejoindre, afin de faire de nous, par une instruction particulière, Ses fils, Ses filles, Ses héritiers, disciples de L’Amour, ‘prêtres’ à Sa manière ! Nous serons tous instruits par Dieu Lui-même, les prophètes l’ont prédit. (Jn.16) Ceci afin que tous ait la vie éternelle, en Le connaissant, Lui le seul vrai Dieu, et celui qu’Il a envoyé, Jésus Christ. (Jn.17)

Ainsi est La Grandeur de L’Amour de notre Dieu, notre Père qui est aux Cieux, pour touts et chacun, pour toi aussi, toi qui passe par ce puits aujourd’hui, toi qui lis cette réflexion. Que tu sois homme ou femme, Dieu t’appelle à être Son fils, Sa fille, Son prêtre, Son représentant sur la Terre, Sa Joie, Sa Paix, non pas à la manière humaine – selon une exigence légale de filiation humaine – mais à Sa manière à Lui – par la puissance d’une vie indestructible.

Père, au nom de Jésus de Nazareth, je Te demande la guérison d’une âme en particulier – une âme qui hier m’a blessée. Ce n’est pas pour moi Papa mais en me blessant, en portant contre moi de fausses accusations, je sais qu’elle a blessé profondément le Cœur de Jésus Ton Fils bien aimé auquel le mien est uni pour la vie. C’est pour consoler Son cœur que je suis là à Te prier. Prend pitié de cette âme Père, et pardonne son manque de foi, son mépris, son dédain, pardonne la caricature qu’elle fait de Toi par ses blessures si injustement infligées. Je n’oublie pas Papa, que je T’ai promis d’être miséricordieuse au sein de L’Eglise, et je tiens aujourd’hui encore, non seulement à respecter cette promesse mais à travers cette supplication, à la renouveler de nouveau devant Toi et devant mes frères et sœurs. J’implore donc Ton pardon pour cette âme perdue, qu’elle ait le courage, en lisant cette réflexion, de se repentir, de venir à Toi en étendant sa main vers Toi afin que Tu la purifies de Ton pardon, que Tu Te réconcilies avec elle. Pardonne lui Père pour tout le mal qu’elle a fait au Cœur sacré de Jésus. Qu’Il soit consolé et qu’elle redevienne Ton enfant bien aimé. Merci Papa. Amen +

A cette supplication, Le Ciel s’ouvrit pour laisser passer La Parole du Père qui vint Se reposer sur le rebord de ce puits, et cette Parole disait :

« Debout ! Resplendis ! Car voici ta lumière, et sur toi se lève la gloire du Seigneur.

Que le Dieu de l’espérance vous comble de joie et de paix dans la foi, afin que vous débordiez d’espérance par la puissance de l’Esprit. »

Isaïe : 60,1 * Romains : 15,13

 

Amen ALLELUIA, Merci Abba, Papa ! Je savais que je pouvais compter sur Toi. Mon coeur brûle de joie et mon âme déborde déjà de la paix de Ta promesse ! Oui Papa, j’espère en Toi – par ces Paroles je sais que cette âme guérira. Fais lui la grâce, par une Parole de Toi, de lui dicter Ta Volonté. Merci Père. Amen +

Et Le Ciel s’ouvrit de nouveau pour laisser passer une autre Parole de Vérité qui vint se reposer sur le rebord de ce puits, et cette Parole disait :

« Le Maître est là et Il t’appelle. »

Jean : 11,28

Merci Père. Je transmettrai. Amen +

Et toi petite sœur du Ciel, mon âme sœur, ma douce amie, que dis-tu ?

« … O mon Dieu ! votre amour méprisé va-t-il rester en votre cœur ? Il me semble que si vous trouviez des âmes s’offrant en victimes d’holocaustes à votre Amour, vous les consumeriez rapidement, il me semble que vous seriez heureux de ne point comprimer les flots d’infinies tendresses qui sont en vous… »

Merci petite sœur ! Alors tout est dit !
Amen +

pour la gloire de Dieu et le salut de mes frères et soeurs

** Pensée du jour de Thérèse de L’Enfant Jésus