REFLEXION
Grâce et Paix de la part de Dieu, Le Père…
En Son Evangile aujourd’hui notre Seigneur donne des directives à Ses disciples.
Il leur dit : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. Allez ! Voici que je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups. Ne portez ni bourse, ni sac, ni sandales, et ne saluez personne en chemin. Mais dans toute maison où vous entrerez, dites d’abord : “Paix à cette maison.” S’il y a là un ami de la paix, votre paix ira reposer sur lui ; sinon, elle reviendra sur vous. Restez dans cette maison, mangeant et buvant ce que l’on vous sert ; car l’ouvrier mérite son salaire. Ne passez pas de maison en maison. Dans toute ville où vous entrerez et où vous serez accueillis, mangez ce qui vous est présenté. Guérissez les malades qui s’y trouvent et dites-leur : “Le règne de Dieu s’est approché de vous.” Mais dans toute ville où vous entrerez et où vous ne serez pas accueillis, allez sur les places et dites : “Même la poussière de votre ville, collée à nos pieds, nous l’enlevons pour vous la laisser. Toutefois, sachez-le : le règne de Dieu s’est approché.” Je vous le déclare : au dernier jour, Sodome sera mieux traitée que cette ville. (Luc 10,1-12)
Celle qui m’interpelle le plus aujourd’hui est : « Guérissez les malades qui s’y trouvent et dites-leur : “Le règne de Dieu s’est approché de vous.” »
En effet, Jésus n’a pas dit à Ses disciples de dire d’abord aux malades que le règne de Dieu s’est approché d’eux, et ensuite de les guérir ! Il leur a dit : « Guérissez les malades qui s’y trouvent et dites-leur : “Le règne de Dieu s’est approché de vous.” »
Ainsi nous comprenons que toute âme doit d’abord guérir avant que L’Esprit Saint (Le Règne de Dieu) ne puisse S’approcher d’elle et venir faire en elle, Sa demeure ! Car L’Esprit Saint ne peut habiter une âme qui n’a pas été lavée de sa souillure et purifiée ! Le pécheur doit d’abord avouer sa faute afin qu’il puisse recevoir l’absolution, et avec elle, la force de ne plus recommencer et la purification de son âme par L’Esprit de Sainteté qui viendra alors avec joie pour l’habiter !
N’est-ce pas petite sœur ?
« A Sœur Marie du Sacré-Cœur qui lui disait : » Quelle peine nous aurons quand vous nous quitterez ! » Oh ! non, vous verrez, ce sera comme une pluie de roses. Je ne crains pas le Voleur… Je le vois de loin, et je me garde bien de crier : Au voleur ! Au contraire, je l’appelle en disant : Par ici ! par ici ! – Je me fais l’effet d’une étoffe tendue sur le métier pour être brodée ; et puis personne ne vient pour la broder ! J’attends, j’attends ! »
Pensée de Thérèse de L’Enfant-Jésus et de La Sainte Face
Merci petite sœur !
Ainsi est le pécheur pardonné : il est comme une étoffe tendue sur le métier, qui se tient prêt pour être brodée par L’Esprit de Dieu. Ainsi est le pécheur que Dieu a pardonné : il est tendu vers Lui, prêt à être instruit par Lui, transformé, transfiguré en Lui !
Puisque nous devons mourir, mourrons pour cela !
Amen, Alleluia !
Pour la gloire de Dieu et le salut de mes frères et soeurs de la terre
*Pensée de Thérèse de L’Enfant-Jésus et de La Sainte Face
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… Et les Cieux proclament Sa Justice : Le Juge c’est Dieu !