« Il guérit beaucoup de gens atteints de toutes sortes de maladies »
Certaines personnes disent que la souffrance est le moyen que Dieu utilise pour Se rapprocher de nous ! Je ne crois pas, car il ne faut pas oublier que nous avons à faire à un Bon Dieu qui n’a pas besoin de moyen pour attirer Ses enfants à Lui – Ses enfants Lui appartiennent de toutes les façons. Je crois plutôt que la souffrance devient, par Son intervention, un moyen pour nous de nous rapprocher de Lui.
Dieu ne veut pas de la souffrance – Il nous aime trop pour nous voir souffrir ! Nous sommes responsables de nos propres souffrances. Dieu Lui est L’Eternel Papa qui attend patiemment la visite de Ses enfants pour leur donner Son Amour et leur procurer Le Bonheur Eternel. Or quand nous nous éloignons de Lui pensant que ce bonheur est ailleurs, c’est alors que nous souffrons.
La souffrance n’est que le résultat de l’éloignement d’avec Dieu ! Revenons à Lui et tout redeviendra comme avant – comme quand nous étions tranquillement assis sur Ses genoux, goûtant paisiblement du Bonheur Eternel d’être aimé de Lui.
Qu’allons-nous chercher dans ce monde fou qui ne peut que nous offrir de l’éphémère et avec lui, le malheur, alors que le Bonheur Eternel est à portée de nos mains, par Jésus-Christ notre Sauveur – Lui qui a vu notre souffrance et qui nous as guéris de toutes sortes de maladies – Lui qui en lavant nos péchés par Son sang, as fait de nous des fils et des filles de Dieu – les héritiers directs de La Vie Eternelle ?
Faut être bien stupide pour rechercher et préférer les plaisirs du monde à ceux que Le Bon Dieu offre gratuitement, alors que dans le monde, tout est payant !
Et toi que dis-tu petite sœur ?
« Au lieu de me faire du mal, de me porter à la vanité, les dons que le Bon Dieu m’a prodigués (sans que je les lui demande) me portent vers Lui, je vois que Lui seul est immuable, que Lui seul peut remplir mes immenses désirs… »
Merci petite sœur.
Et Toi mon Seigneur et mon Maître, que dis-Tu ?
N’est-ce pas Lui ton Père, qui t’a procréé, Lui qui t’a fait et par qui tu subsistes ?
Deutéronome: 32,6
Oui Seigneur. Merci Seigneur.
Amen +
Je ne suis qu’un serviteur quelconque – en relatant tout cela, je n’ai fait, envers Lui, que mon devoir, pour La Gloire de Dieu et le Salut des hommes.