Jour 3 : en dehors du Tabernacle

Faut que je raconte ! Ça s’est passé hier après-midi !

L’heure du dîner approchant, je me demandais ce que j’allais préparer. Comme j’avais du poulet rôti au frigo je me suis dite que ça irait bien avec un bon gratin de giraumon et une salade verte – un plat que je n’avais pas cuisiné depuis un moment. Seulement voilà, je n’avais pas de giraumon. « Qu’à cela ne tienne », j’ai pensé, « dès que Maurice rentrera de son bridge, je lui demanderai d’aller en acheter à la boutique d’en bas. »

Seulement voilà, je n’ai pas eu le temps de le lui demander car il était à peine rentré que j’entendis frapper à la porte. Maurice alla ouvrir, et je l’entendis discuter un moment avec quelqu’un – c’était la voix d’un homme – définitivement une que je ne connaissais pas. Prêtant l’oreille, voici ce que je l’ai entendu dire à Maurice : « excusez-moi de vous déranger, mais j’ai pensé que vous auriez aimé avoir ce morceau de giraumon de mon jardin. »

C’était notre voisin d’un chemin plus bas, et que je n’ai jamais eu le plaisir de rencontrer.

Que penser ? Coïncidence ? Hasard ? Quoi d’autre ? Télépathie ?

Alors la petite voix m’a dit : « va donc piocher une Parole et tu sauras ». Ce que j’ai fais ! Et voici celle que j’ai reçue :

« Le Seigneur est mon berger ; rien ne me manque. »

Psaumes 23, 1

N’est-ce-pas ?

Qui dit mieux ?

Cette histoire peut sembler banale, et tombera sans doute dans les oubliettes. Mais à moi, elle en dit long, et je ne l’oublierai jamais, ça c’est certain !

Merci mon Yeshua. Je T’aime tant. J’annonçerai Ta Bonne Nouvelle dans toutes les villes où je passerai. Je leur dirai : « Venez, écoutez, vous tous qui craignez Dieu : je vous dirai ce qu’Il a fait pour mon âme. Lui, le pain vivant, qui est descendu du ciel ! Si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. »

 

  • (Actes des Apôtres 8, 26-40)
  • Psaume (65 (66)
  • (Jean 6, 44-51)