bubble burst !

 

Un jour que j’étais en classe de catéchisme, mon âme fut bouleversée par une Parole de Dieu et je fus comme transportée. Je me suis retrouvée dans une bulle d’amour avec Lui, que je voyais en esprit, et qui tendrement Se penchait sur moi.

Expérience spirituelle unique et inoubliable, qui me laisse encore, aujourd’hui que j’en parle, toute frissonante et pleine de reconnaissance.

Toutefois, dans cette bulle, je suis demeurée trop longtemps parce que finalement, je m’y suis retrouvée toute seule, ne sachant plus qui j’étais et qui était ce Dieu que je voulais suivre pour L’avoir rencontré, et pourquoi j’avais tant voulu qu’Il devienne la priorité de mes priorités.

Dans ma bulle, j’étais seule au monde… et malheureuse… jusqu’au jour où Le Seigneur, dans Sa grande Misericorde, est venu à mon secours et m’a ouvert les yeux sur le premier et l’unique Commandement : « Aimez Dieu, aimez votre prochain ».

Alors j’ai compris que Dieu, c’est mon prochain ! Et qu’en demeurant dans ma bulle, j’etais non seulement devenue une sauvage, mais une hypocrite et une menteuse : Je disais aimer Dieu…

Alors j’ai réagi… Et le Seigneur Lui même m’a prié ! Il m’a dit:  » Va à présent ! Ne reste pas avec moi. La moisson est grande et les ouvriers sont peu nombreux. Je t’envoie… et je te donne un compagnon de route. Allez deux par deux, et sur le chemin proclamez que le règne de Dieu est là, en vous, Sa Parole incarnée ! »

Aujourd’hui mon âme est remplie de mille mercis pour notre Seigneur qui m’a fait réaliser à temps que si je voulais vraiment L’aimer, ne vivre que pour Lui et par Lui, si je voulais ne suivre que lui, si je voulais qu’Il soit mon number One, je devais avoir ce même desir pour mon prochain. « Car Dieu, » a-t-Il ajouté, « Dieu ne peut être dissocié de Sa créature parce qu’en chacune d’elle Il a mis une parcelle de Lui même: Son propre Souffle ! »

Amen +

Et toi petite soeur, qu’as-tu à dire ?

« Je ne comprends pas les âmes qui ont peur d’un si tendre Ami. […] je prends l’Ecriture sainte,… je vois qu’il suffit de reconnaître son néant et de s’abandonner comme un enfant dans les bras de Bon Dieu. »

Merci petite soeur. Tout est dit.
Amen +

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