« c’est la Pâque du Seigneur »


BON VENDREDI !

dans le Souffle de L’Esprit du Testament Nouveau !

« Quiconque pratique le péché est esclave du péché…Si donc le Fils (de Dieu) vous affranchit, vous serez réellement libres. » Jean 8, 34-36

« L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. »

Jésus-Christ, Luc 4,4

Aujourd’hui encore le Seigneur nous invite à

COMMUNIER à Sa Parole

COMMUNIONS  chers frères et soeurs, chers pèlerins, puisque le Seigneur qui se donne à TOUS, Lui-même nous convie.

Avec bonté Seigneur, Tu nous invites ! Merci de nous lancer cet appel et de nous faire prendre conscience de la course folle dans laquelle nous sommes entraînés. Aide-nous à nous arrêter, pour respirer, regarder, écouter, faire silence… Te rencontrer et Te prier. Apprends-nous l’essentiel : non pas la course à l’argent et au bonheur futile, mais une confiance éperdue en Ton amour et en Ta miséricorde.


lisons la Parole

méditons la Parole

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit,  amen +

Me voici Père, petite cruche vide et nue devant Toi et devant mes frères qui peuplent la Terre, afin que Tu la remplisses de Tes Saintes Paroles – l’Eau Vive de sa pauvre vie.  Viens embraser mon cœur du feu de Ton amour.  Eclairer mon intelligence d’un rayon de Ta Lumière.  Que je puisse discerner et connaître selon Ta Vérité, ce qu’aujourd’hui Tu veux me dire et partager au monde entier.  Viens Trinité Sainte en Dieu Fils et Esprit combler l’Humanité de Tes Saints Projets.

Aujourd’hui en effet, il est question de la pâque du Seigneur !

Aujourd’hui en effet, il est question, en ce Testament des Anciens, du point de départ de la fondation des rites du Testament Nouveau !

Dès les premiers temps à travers la foi de ses pères, l’homme découvre Son Père des Cieux.  Qui est-t-Il et que veut-Il de lui ?

Hier il a été instruit sur Sa Nature.  Maintenant il sait que Dieu EST ; et que pour lui, et tous les habitants de la Terre, Il ne veut que bienfaits : « Je suis Celui qui suis.  Et J’ai décidé de m’occuper de vous et de ce qu’on vous fait subir »

Libéré, l’homme a compris que le Père n’est que bienfaits et Il veut Le louer : « Comment rendrai-je au Seigneur tout le bien qu’il m’a fait ? » Et le Père dont le désir est d’être Vivant pour Son enfant veut avoir avec lui une relation intime, et Il ne tarde pas à lui répondre en lui donnant Ses instructions !  Ainsi la communion de L’Esprit avec  l’esprit est instituée : …c’est la pâque du Seigneur – un mémorial à fêter d’âge en âge dans les maisonnées de toute la communauté ! »

Et le Fils de l’homme vient accomplir ce mémorial en s’offrant Lui-même comme Agneau du Sacrifice !  Son corps et son sang versés sur la Croix, deviennent le Testament Nouveau : « le nouveau mémorial à fêter d’âge en âge dans les maisonnées de toute la communauté ! »  Mais à la différence près que ce mémorial n’est pas une obligation, à fêter un seul jour d’un seul mois d’une année – le sabbat en vérité – mais à n’importe quel moment, mais surtout quand l’homme « a faim » ! « Car le Fils de l’homme est maître du sabbat »

« N’avez-vous pas lu ce que fit David, quand il eut faim, ainsi que ses compagnons ? Il entra dans la maison de Dieu, et ils mangèrent les pains de l’offrande ; or, cela n’était permis ni à lui, ni à ses compagnons, mais aux prêtres seulement. Ou bien encore, n’avez-vous pas lu dans la Loi que le jour du sabbat, les prêtres, dans le Temple, manquent au repos du sabbat sans commettre aucune faute ? « Or, je vous le dis : il y a ici plus grand que le Temple. »

prions la Parole

Père,

Je suis tout à fait désolée et triste de devoir revenir encore une fois sur le sujet qui à mes yeux est classé et en mon cœur réglé, car Tu as bien voulu dans Ta Grande Miséricorde Te pencher sur Ton humble servante et la réhabiliter en Ta Parole !  Mais les Saintes Ecritures reviennent de nouveau remettre d’Elles-mêmes le sujet douloureux sur l’autel de l’immolation et je ne peux  me taire !  Car s’il est vrai que Tu m’as guérie des interdits, il y a encore tant de Tes brebis qui sont égarées, perdues, éparpillées dans le monde entier qui ne le sont toujours pas !  Car elles ont mis leur confiance en la maigre emprise éphémère que le pouvoir de l’homme a sur elles, plus qu’elles ne croient en L’ETERNELLE PUISSANCE de TA PAROLE, seule nourriture capable des les libérer de la famine imposée en interdits !  

L’interdit a été mon joug à porter il est vrai, mais Jésus l’a porté avec moi.  C’est pourquoi je viens légère et disposée, en toute humilité, et avec moi quelques brebis éclairées, exposer de nouveau le sujet à la Lumière Toute Puissante de Ton Esprit Saint, Vérité Incarnée en Jésus Notre Maître et Sauveur, afin qu’une solution soit trouvée en mon désir de les aider, et dans le même Souffle, aider leurs persécuteurs à lâcher prise. 

Père, nous pensons humblement que les dirigeants de l’Eglise qui interdit à certains de Tes enfants, le mémorial du Testament Nouveau, en les jugeant toutes indignes de consommer la chair et le sang de l’Agneau pur, et les condamnant ainsi à perpétuité à l’exclusion de la communauté, n’ont pas compris ce que veut dire Ta parole : « C’est la miséricorde que je désire, et non les sacrifices ! »  Sinon Père, au nom de Jésus Ton Fils dont la chair et le sang sont en cause, et c’est là le plus dur, ne crois-Tu qu’ils auraient levés leur sanction envers ceux de Tes enfants que Tu as jugé Toi-même dans Ta Grande Bonté, dignes de s’approcher de Toi en Ta Parole pour T’adorer et Te louer ?

incarnons la Parole

A cette question, le Père tristement et sans regarder vers le cœur de Son Fils en sang, a répondu : « Mon fils, quand tu es malade ne te révolte pas, mais prie le Seigneur et Il te guérira. » Si. 38,9

communions à la Parole

Chers frères et sœurs, chers pèlerins,

Me voici devant vous, petite cruche, mais pleine d’une Eau Vive à partager  !

A cette Parole Sacrée du Père qui vient ce matin se révéler encore MISERICORDIEUSE à souhait pour nous, chers frères et sœurs, chères brebis égarées et perdues, je n’ajouterai que mon propre témoignage qui prend sa source en Elle.

Chers frères et sœurs, chères brebis, les hommes me donnent tort de m’être remariée, non pas une, mais 3 fois !  Ils me donnent tort parce qu’ils sont incapables de miséricorde, alors que c’est bien à cela que le Maître convie ceux qui se disent Ses disciples : « C’est la miséricorde que je désire, et non les sacrifices! »  Bien sur qu’il y a eu la révolte devant la condamnation à perpétuité ; bien sur que les pieds ont tapés sur le sol, et les poings sur la table ; bien sur que les larmes ont coulé ; bien sur que la plume a écrit; bien sur les doigts sur le clavier continuent à dénoncer, mais il y a eu aussi beaucoup de prières et de demandes de guérison, jusqu’à l’abandon complète devant la Sainte Croix !

La prière des heures est venue tout surpasser, tout effacer, tout guérir !  Le Père en Son Fils a fait selon Sa Volonté !  Je suis morte à la Croix de Jésus Miséricordieux, et Il a agit comme l’a fait envers le bon larron – Il a cru bon que mon âme connaisse avec Lui la joie de la Résurrection, et j’ai été graciée. La suite vous la connaissez …

Néanmoins, la lutte continue, car le Mal rôde à force de voir que nous touchons le but !  Mais Jésus veille.  Il surveille même, car la Parole, en communion chaque jour est devenue le nouveau Testament de notre foi.  En nous, Elle continue à faire progressivement  Son effet Salvatrice !  D’autres en profiteront, nous en sommes convaincus.

C’est pour cette raison que nous ne pouvons que vous conseiller de vous engager dans le chemin de la prière et de l’étude des Saintes Ecritures, sans pour autant forcer quiconque à le prendre.  Le chemin est là, devant vous, offert à TOUS.  Mais, l’Appel doit se faire.  Et le choix de vous y engager ou pas, est le vôtre, comme il a été le nôtre.  Néanmoins, permettez que nous vous donnions ici un petit conseil d’âmes éclairées : n’oubliez pas quand vous ferez votre choix, que Le Père a endurci les cœurs qui instituent les interdits, afin que vous voyiez clair en Sa Parole instituée et que vous reveniez à Elle, car Elle est indéniablement et indiscutablement, LA NOURRITURE des âmes.  En Elles, vous trouverez la Paix, la Paix qui ne se donne pas de la façon du monde !  C’est la seule garantie que nous puissions vous donner d’être un jour libérés de l’oppression des interdits, et plus encore, votre libération causera celle de vos persécuteurs, beaucoup plus à plaindre que vous !  Car chaque matin, elle nous est accordée en une gracieuse et puissante divine bénédiction : le Shalom qui souhaite LA PLENITUDE !

Aujourd’hui, les divorcés remariés punis du pain de la réconciliation, invente un nouveau rite, voire deux : celui de la consolation, de la purification de leurs âmes à travers la miséricorde obtenue directement  des Mains du Seigneur et Maître et la communion à la Sainte Parole qui vient définir de nouveau le Testament :« C’est la miséricorde que je désire, et non les sacrifices! »

Courage donc, chers pèlerins fatigués !  Vous êtes plus grands et plus avertis que les cœurs endurcis dans leurs interdits !  Car si vous êtes arrivés à lire et comprendre ces quelques lignes, c’est parce que le Père Lui-même vous y a conviés sans peut-être que vous ne le remarquiez !  C’est Lui qui vient à votre rencontre, comme Il est venu à la nôtre!  N’ayez pas de crainte à mettre votre main dans La Sienne si MISERICORDIEUSE, et de faire votre chemin avec Lui.  Il a déjà, en l’eucharistie et la réconciliation qui vous sont refusés, commencé en vous Son œuvre excellente de Miséricorde. Il l’achèvera, soyez tranquilles et rassurés. C’est Lui qui décide, Lui le Tout-Puissant qui avec Sa Grande Sagesse,  est venu vous donner Ses instructions à suivre pour commencer : « Mon fils, quand tu es malade ne te révolte pas, mais prie le Seigneur et Il te guérira. » Si. 38,9 

Priez donc le Seigneur dans le secret de vos cœurs, en vos maisonnées. « Retirez-vous au fond de vos maisons, fermez la porte, et priez votre Père qui est présent dans le secret ; Il voit ce que vous faites dans le secret : Il vous le revaudra. » (Jésus-Christ, en Matthieu 6, 6&7)  Il ne nous a jamais demandé plus que cela !

Chers tous,  si donc vous ne pouvez en communauté vivre le mémorial du pain et du vin consacrés, ne vous inquiétez pas.  Faites ce qu’Il vous dit dans le silence de vos maisons transformées en monastère, et votre âme n’en sera pas plus dépourvue.

Sil est vrai néanmoins que le péché rend l’homme malade et malheureux, qu’il le retient même prisonnier,  et que dévoilé injustement au grand jour, il l’incite à la révolte, sachez que la Sagesse est là, qui veille.  Elle se tient aux côtés du pécheur, comme une Lumière dans le jour comme dans la nuit, l’éclairant en tout temps ; l’obligeant au repentir, bras en Croix devant Son Père, implorant sa guérison en Son pardon. Alors de Lui, le pécheur repenti de sa révolte, reçoit de Ses propres Mains, non en punition, des récitations, mais en récompense, le don du discernement !  Alors en l’autre, vous ne verrez plus l’homme, ni la femme, qui vous inflige ce jugement !  Car vous aurez compris qu’avec lui, ou elle, vous formez partie d’un TOUT dans la Lumière, pour la seule Gloire du Plan de Notre Créateur à TOUS.

Vivre dans cet esprit, créer autour de soi l’atmosphère d’unité, voilà bien le témoin de LA MISERICORDE en Vérité.  Car La Sagesse est bien un don de Dieu, mais elle nécessite un dur labeur de notre part pour l’obtenir.  Mais finalement, ce qui est rassurant c’est que nous l’obtenons, car bras en croix, nous nous tenons sans faillir !

rendons grâce à la Parole

Père,

Nous savons, parce que Tu as dévoilé dans le temps aux touts petits, et aujourd’hui encore à Tes pauvres serviteurs dont tu brisas les chaînes et qui T’ont fait la promesse de toujours Te servir, combien Il T’en coûte de voir mourir l’âme de Tes enfants affamés.  Permets que nous reprenions en chœur en prière d’action de grâce pour notre guérison, et celles des âmes qui prendront la décision de se mettre sous Ton Regard, la belle musique libératrice de notre père David qui de Toi, l’Eternel, a reçu la vraie libération.

« Comment rendrai-je au Seigneur tout le bien qu’il m’a fait ? J’élèverai la coupe du salut, j’invoquerai le nom du Seigneur. Je t’offrirai le sacrifice d’action de grâce, j’invoquerai le nom du Seigneur. Je tiendrai mes promesses au Seigneur, oui, devant tout son peuple. »

Au nom du Père du Fils du Saint Esprit Amen +


communion humblement partagée par votre soeur Doris, en union avec votre frère Maurice, en la maison de David, Ses serviteurs.
cliquer sur la flamme pour déposer une intention de prière – elle sera portée en union avec celle de la communauté et déposée aux pieds de la Croix de la Sainte Face de Jésus-Christ Miséricorde.
« Que le Seigneur te bénisse et te garde ! Que le Seigneur fasse pour toi rayonner son visage et te fasse grâce ! Que le Seigneur te découvre sa face et t’apporte la paix ! » 
(Nb 6, 23-27).