Christ Pantracor – icône Zrze monastery
BON MARDI !
dans le Souffle de l’Esprit Unificateur !
« Il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu est et qu’Il récompense ceux qui le cherchent. »
Hébreux 11,6
Aujourd’hui encore, en notre exil, le Seigneur nous invite à COMMUNIER à Sa Parole
Avec bonté Seigneur, Tu nous invites ! Merci de nous lancer cet appel et de nous faire prendre conscience de la course folle dans laquelle nous sommes entraînés. Aide-nous à nous arrêter, pour respirer, regarder, écouter, faire silence… Te rencontrer et Te prier. Apprends-nous l’essentiel : non pas la course à l’argent et au bonheur futile, mais une confiance éperdue en Ton amour et en Ta miséricorde.
COMMUNION DU JOUR
« L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. »
Jésus-Christ, Luc 4,4
Le mardi de la 14e semaine du Temps Ordinaire
lisons la Parole
méditons la Parole
Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, amen +
Viens Esprit Saint embraser mon cœur du feu de Ton amour. Eclairer mon intelligence d’un rayon de Ta Lumière. Que je puisse discerner et connaître selon Ta Vérité, ce qu’aujourd’hui Tu veux me dire et partager au monde entier.
« Les foules sont fatiguées et abattues, comme des brebis sans berger. La moisson est abondante, et les ouvriers sont peu nombreux. » Un double constat est fait !
« Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. » Et le moyen d’y remédier est donné !
prions la Parole
Père Miséricordieux, Maître de la moisson, devant les portes des églises qui se ferment non seulement par manque de prêtres (d’ouvriers), mais surtout par manque de moisson (fidèles), daigne avoir pitié d’eux car ils errent sur la Terre, affamés, assoiffés, en quête de la nourriture qui leur est refusée par ceux qui se disent Tes ouvriers mais qui hélas ne retiennent pas Tes paroles en honneur de Ton infaillible Sainteté, mais les laissent s’enfuir de leurs mémoires, oubliant même jusqu’à leurs saveurs salvatrices. Tes enfants Père, errent sur la Terre comme des brebis sans berger, parce qu’elles ne reconnaissent plus en la voix de ces ouvriers, la Voix du Bon Berger qui prend soin de Tes brebis, que Tu leur as Toi-même envoyé afin de les guider selon Ta Volonté. Comme Il nous l’a demandé, nous venons donc humblement Te demander d’envoyer de nouveaux ouvriers à Ton Eglise universellement instituée par les mains du Christ Jésus ; ouvriers justes qui se réfugieront sous Ta droite, et sauront unir leurs voix à Ta Voix, leur esprit à Ton Esprit et connaitre enfin de quoi Ton cœur est fait !
incarnons la Parole
A cette divine requête, le Père en Bon Pasteur, en Bon Berger, est venu nous gratifier de Sa Miséricorde de nouveau ici renouvelée : « Si notre coeur nous accuse, Dieu est plus grand que notre coeur et Il discerne tout. » 1. Jn, 3,20
communions à la Parole
Chers frères et sœurs en Jésus Miséricordieux,
Réjouissons-nous de Cette divine Parole, car le Père a reconnu en la prière d’un esprit uni au Sien, l’assurance de sa foi et Sa Vérité qui s’est en elle, proclamée. OUI, chers frères et sœurs, mon coeur ne m’accuse pas, car je me suis tenue avec assurance devant Dieu afin de recevoir Sa Vérité.
C’est donc avec la même assurance que je viens vous dire que l’heure est grave, et qu’il nous faut agir sans plus tarder ! En nos frères et sœurs dispersés par la faute d’injustices commises contre eux, la récolte ne se fait plus d’une seule moisson comme elle devrait se faire selon Sa Sainte Volonté, par faute d’ouvriers sincères et justes, qui oseraient tout quitter pour se mettre à leur recherche et les ramener vers le Père. Si Son Troupeau est aujourd’hui ainsi dispersé, s’il ne reconnait plus Sa Voix, c’est bien parce qu’il a écouté d’autres voix qui n’ont pas respecté et mis en pratique la règle d’or :
« Soyez miséricordieux comme votre Père est miséricordieux. Ne jugez pas, et vous ne serez pas jugés ; ne condamnez pas, et vous ne serez pas condamnés. Pardonnez, et vous serez pardonnés. Donnez, et vous recevrez : une mesure bien pleine, tassée, secouée, débordante, qui sera versée dans votre tablier ; car la mesure dont vous vous servez pour les autres servira aussi pour vous. »
Enseignement de Jésus-Christ selon Luc 6
Chers tous qui avez en votre cœur le respect de L’Esprit de Dieu, qui avez à cœur Son Désir de voir l’unité se faire non seulement entre les Eglises mais entre tous les enfants du Bon Dieu, vous avez ainsi reconnu votre appartenance à Sa Vérité ! Travaillez donc pour Elle, afin qu’enfin la grande moisson aie toute sa force et vous donne raison !
En vos œuvres, souvenez-vous toutefois, qu’il ne peut y avoir d’unité tant qu’il y aura, en vos communautés, jugement des uns envers les autres, exclusions des uns et faveur des autres. En effet, tant que vous vous donnerez des noms qui vous différencient au lieu de vous rassembler, tant que vous demeurerez soumis aux ouvrages des hommes qui interdisent d’autres hommes aux mêmes droits, vous serez leurs prisonniers et votre âme ne pourra aspirer à la divinité à laquelle elle est appelée à s’élever afin d’être vraiment les fils de votre Père qui est dans les cieux ! Que vos actions soient donc en accord avec vos cœurs charitables, compréhensifs, miséricordieux, doux, et humbles, c’est-à-dire, unis à Celui du Christ ! Soyez pour autant certains de vos convictions et faites tout en votre devoir pour les appliquer selon la règle divine, afin de pouvoir vous tenir en tout temps et en tout lieu, la tête haute et avec grande assurance, devant Sa Sainte et Unique Face : La Miséricordieuse en Jésus Christ Sauveur! Ainsi Son coeur miséricordieux demeurera en vos cœurs, tout comme Son Esprit habitera le vôtre ! Ainsi vous pourrez discerner avec clarté entre Sa Voix qui vient vous donner la Paix, contre l’autre qui vient pour disperser, écarter, détruire !
Maintenant et il n’est plus que temps, de passer à l’action ! Reprenez courage et espoir dans votre lutte avec Jésus notre Maître qui a su imprégner en vous, Son enseignement de compassion, afin que vous alliez, flambeau du Bon Berger à la main, à la recherche de Ses brebis égarées et perdues, sans vous soucier de ce qui est dit et fait contre vous pour vous en empêcher, barrer votre route déjà toute tracée par Ses soins.
Nos prières vous accompagnent afin que, non seulement il vous est donné une abondante moisson ouvrière en votre tâche, mais pour que ces pauvres ouvriers qui sont encore attachés au pouvoir et au contrôle de l’homme, aient la force de venir en avant puiser en votre assurance, le courage de délier leurs liens et ainsi prendre libre part à votre lutte qui est aussi la leur – hélas ils tardent à le reconnaitre ! Rien n’est impossible à Dieu, souvenez-vous-en toujours surtout dans vos moments de tentations et de découragements !
Avant de vous quitter, chers tous, je vous offre ma louange, en action de grâce de la Vérité qui ce matin m’a été révélée en oraison silencieuse devant la Sainte Face exposée de notre Seigneur !
rendons grâce à la Parole
Je T’ouvre mon coeur, mon Dieu mon Seigneur. Je Te donne mon être tout entier. J’écoute en contemplation à l’aube de mes matins, Ton Verbe qui m’instruit afin que j’en instruise d’autres. J’ouvre mes bras Père, à la dimension de Tes bras en croix, et j’apprends à mieux aimer mon prochain en lui communiquant Tes demandes et directives ! Fais de moi ce qu’Il t’a plut ce matin encore de révéler en vérité au monde entier, que mon coeur uni à Ton Fils et à Sa mère a reçu avec humilité reconnaissant en Elle Ta Parole implantée qui a la puissance de sauver les âmes : pour chaque porte d’église qui se fermera, Dieu le Père en ouvrira d’autres en des maisons de maître ! Va dire au monde entier que mon vœu est que les cœurs se convertissent en saints sanctuaires, et leurs maisons, leurs salons, petits ou grands, en maisons de prières ! Et de leurs frères et sœurs, des membres de leur famille, de leurs amis proches ou lointains, des habitants de leur quartier, de leurs villes et du monde entier, qu’ils fassent de nouveaux ouvriers pour la moisson du Père !
Au nom du Père, du Fils, du Saint Esprit, amen +
communion humblement partagée par votre soeur Doris, en union avec votre frère Maurice, en la maison de David, Ses serviteurs.
