tu as dis : « la mort? »

J’aime beaucoup cette réflexion de saint Paul :

« si la mort a frappé la multitude par la faute d’un seul, combien plus la grâce de Dieu s’est-elle répandue en abondance sur la multitude en un seul homme, Jésus Christ. (Rm 5)

Car je crois en effet, qu’elle révèle parfaitement l’amour que Dieu porte à la race humaine. Et que dire de cette autre réflexion du même saint Paul inspirée du même Souffle :

« là où le péché s’est multiplié, la grâce a surabondé. »

Oui Dieu nous aime tellement qu’Il a tout fait pour nous sauver du péché qui est la mort de l’âme ?

On pourrait ici se demander pourquoi la puissance d’un tel Amour ne s’étend elle pas aussi au corps. Pourquoi le corps doit il mourir ? Il y a une Parole des Saintes Écritures qui me revient à l’instant à l’esprit et qui dit :

 » Comme un oiseau, notre âme s’est échappée du filet de l’oiseleur ; le filet s’est rompu : elle s’est échappée. Notre secours est le nom du Seigneur qui a fait le ciel et la terre. »

Et je me dis : Dieu est tout pour l’Homme. S’il ne devait plus compter sur Dieu, que serait l’Homme ? Il serait pour toujours enfermé, prisonnier de sa tour d’ivoire attendant la mort avec angoisse. Or Dieu dit:

« Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. »(Jn 11:26)

Qu’est ce donc la mort sinon le commencement de La Vie ! Pourquoi la craindre quand on sait qu’elle est la porte qui s’ouvre sur l’Eternité ? Crois et tu vivras quand bien même tu dois mourir !

Tout dépend donc de la foi Seigneur ?

Et Jésus répondit :

« Vous n’êtes plus des étrangers, ni des émigrés : vous êtes concitoyens des saints, vous êtes de la famille de Dieu. » (Ep.2,19)

Amen Alléluia Merci Seigneur Jésus.

Mes biens chers frères et soeurs, chers pelerins, quand on croit qu’on est de la famille de Dieu, on ne craint pas la mort car on appartient, par notre foi, à la famille de l’Eternel. Quelle Bonne Nouvelle en effet ! Gloire au Père, au Fils et au Saint Esprit, aujourd’hui et pour les siècles des siècles. Amen +

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