Homme d’Eglise ô Homme d’Eglise

Le Seigneur DIEU m’enseigne ce que je dois dire pour encourager celui qui n’a plus de force. Chaque matin, il me réveille pour que j’écoute comme un bon disciple. Le Seigneur DIEU m’ouvre l’oreille, et je ne résiste pas, je ne recule pas… (Esaie 50:3-5)

SAINTES LECTURES DU JOUR

Deuxième lettre de saint Paul Apôtre à Timothée 4,10-17b.

Bien-aimé, Démas m’a abandonné par amour de ce monde, et il est parti pour Thessalonique. Crescent est parti pour la Galatie, et Tite pour la Dalmatie. Luc est seul avec moi. Amène Marc avec toi, il m’est très utile pour le ministère. J’ai envoyé Tychique à Éphèse.
En venant, rapporte-moi le manteau que j’ai laissé à Troas chez Carpos. Apporte-moi aussi mes livres, surtout les parchemins.
Alexandre, le forgeron, m’a fait beaucoup de mal. Le Seigneur lui rendra selon ses œuvres. Toi aussi, prends garde à cet individu, car il s’est violemment opposé à nos paroles. La première fois que j’ai présenté ma défense, personne ne m’a soutenu : tous m’ont abandonné. Que cela ne soit pas retenu contre eux. Le Seigneur, lui, m’a assisté. Il m’a rempli de force pour que, par moi, la proclamation de l’Évangile s’accomplisse jusqu’au bout et que toutes les nations l’entendent.

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 10,1-9.

En ce temps-là, parmi les disciples, le Seigneur en désigna encore soixante-douze, et il les envoya deux par deux, en avant de lui, en toute ville et localité où lui-même allait se rendre. Il leur dit : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. Allez ! Voici que je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups. Ne portez ni bourse, ni sac, ni sandales, et ne saluez personne en chemin. Mais dans toute maison où vous entrerez, dites d’abord : ‘Paix à cette maison.’ S’il y a là un ami de la paix, votre paix ira reposer sur lui ; sinon, elle reviendra sur vous. Restez dans cette maison, mangeant et buvant ce que l’on vous sert ; car l’ouvrier mérite son salaire. Ne passez pas de maison en maison. Dans toute ville où vous entrerez et où vous serez accueillis, mangez ce qui vous est présenté. Guérissez les malades qui s’y trouvent et dites-leur : “Le règne de Dieu s’est approché de vous.” »

RÉFLEXION

« le Seigneur les envoya deux par deux, en avant de lui  »

J’aime ce « deux par deux« , – il me dit pourquoi je me suis toujours remariée après mes divorces. En effet, je crois que Dieu n’a pas créé l’être humain pour être seul ! Relisons des Saintes Écritures, – du Livre de Deutéronome (2), – ce que Dieu fit :

« L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise de l’homme, et il l’amena vers l’homme. Et l’homme dit: Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair! on l’appellera femme, parce qu’elle a été prise de l’homme. »

Il me dit aussi pourquoi j’ai du divorcer de 3 maris: parce que je n’étais pas os de leurs os ni chair de leur chair. Je n’étais pas compatible à aucun des 3. Par contre, pour mon époux actuel, mon Maurice, je le suis. Je suis os de ses os et chair de sa chair, et j’ai des preuves ! Dieu Lui-même m’en a données, pour ma défense, parce que l’homme d’Église, en m’interdisant de consommer Jésus-Hostie, me juge du péché d’adultère. Et malgré toutes mes démarches pour attirer son attention sur son péché, malheureusement pour lui, il tient toujours tête. Et pourtant La Volonté de Dieu est claire  :

« Ne jugez pas, afin de ne pas être jugés. Car c’est avec le jugement par lequel vous jugez qu’on vous jugera, et c’est avec la mesure à laquelle vous mesurez qu’on mesurera pour vous. »  (Matthieu 7:1-23)

Peut-être pourrais-Tu nous éclairer Ô Saint-Esprit et nous dire pourquoi l’Église persiste à juger les enfants du Bon Dieu jusqu’à Le refuser à eux. Une Parole de Dieu suffira à prouver à ceux qui font la loi dans l’Église, qu’ils ont tort d’agir ainsi. Et si, c’est moi qui suis en tort, je crois que Tu me le diras aussi. N’est-ce pas ? Mais je sais que je n’ai pas tort Seigneur, car c’est Toi qui me guide depuis l’enfance, et je sais, sans la juger, que c’est l’Église qui a des torts envers moi et ceux qui subissent comme moi son jugement. C’est pourquoi, malgré ma grande tristesse, j’ai dû me retirer de sa société. Tu sais combien elle m’a beaucoup fait pleurer Seigneur, jusqu’au jour où par une Parole, Tu es venu me consoler. Tu m’as dis ceci, et jamais je ne l’oublierai : « Cesse de pleurer. Viens avec Moi dans l’Hostie. Parce que toi aussi tu es comme Moi, un agneau que l’on immole.  » C’était pendant une messe au moment de la Communion. Et cette autre fois, où la donneuse de Communion est venue à moi, sans évidemment savoir qu’aux yeux de la loi d’Église, je n’en avais pas droit, et elle m’a bien gentiment présentée l’Hostie ! T’en souviens-Tu Seigneur ? Et je lui ai dis « Non ! » Étonnée, elle m’a dit : « Non ? » Et je lui ai répondu : « Non ! » Et elle s’en est allée ! Tout de suite après, la chorale a entamé ce chant qui disait : « Et Dieu Lui-même vient pour vous sauver! » Te souviens-Tu combien j’ai fondu en larmes devant tout le monde ? Et rien ni personne, ni tout ce que l’on me disait, n’avait pu me consoler ! Oh ! comme j’ai du Te déplaire Seigneur, en refusant de prendre cette Hostie. Par deux fois j’ai dis : Non ! Pourtant, Tu m’avais fait bien voir que je n’étais pas allée la chercher, mais que c’était Toi qui étais à moi. De plus nous n’avions pas choisis de nous asseoir dans les bancs de l’Eglise, mais sur deux chaises tout au fond, auprès de la porte.  Et Tu as fait tout ce chemin pour venir jusqu’à moi. Et moi, sans réaliser ce qui s’était passé, je T’ai refusé ! Ce sont les paroles du chant qui me l’ont dit. Oui Seigneur, j’ai beaucoup regretté mon geste, et mes larmes n’auraient pas cessé de couler, si, quand je suis rentrée à la maison après la messe, je n’avais pas rallumé mon téléphone portable pour vérifier les messages qui étaient entrés pendant, et vu le premier qui m’a litérallemment scotché : 

Oh Seigneur ! Je ne trouve toujours pas de mots pour décrire ce qu’alors j’ai ressenti, et ressens toujours. Je n’ai que mes témoignages qui racontent ce que je vis avec Toi, et disent combien envers ceux qui T’aiment et Te recherchent, Tu Te revèlent si gracieusement, si gratuitement, si miséricordieusement. Malheureusement, je ne suis qu’une voix qui crie dans le désert, et elle n’a jamais porté bien loin, – jusqu’à l’Homme d’Église qui juge Tes enfants et leur interdit de s’approcher de Toi. Sinon il aurait vu combien il a tort car Toi Tu Te déranges pour aller vers eux, plus encore : Te donner à eux ! Et ce n’est pas faute d’avoir essayé depuis longtemps et durant de longues années Seigneur. D’ailleurs,  comme Tu peux le constater, je continue à dénoncer ce péché, et je continuerai tant que l’Homme d’Église n’enlèvera pas cette loi. Chaque occasion que Tu me donneras, je le ferai ! Il n’y a pas longtemps de cela, j’ai du renvoyer un courrier que j’avais été personnellement lui remettre, mais là encore je fus victime des lois d’hommes, et je n’ai pas eu le droit de m’approcher de lui, donc j’ai fais confiance à un chef de protocole qui est venu prendre mon courrier et m’a promis de le lui remettre. N’ayant jamais reçu d’accusé de réception, j’ai renvoyé mon courrier par un autre préposé. J’attends toujours… Mais comme je Te dis Seigneur, je vais persévérer jusqu’à mon dernier soupir, et même si je ne vois pas de mes yeux de chair, la Terre Promise, d’autres la verront, et Tu me donneras de la voir en esprit quand Tu m’ouvriras les portes de Ton Paradis, du moins je l’espère. 

Alors du Haut du Ciel une Voix se fit entendre et dit :

Voici ce que dit l’Éternel: Maudit soit l’homme qui fait confiance à ce qui est humain, qui prend des créatures pour appui et qui détourne son cœur de l’Éternel ! Il est pareil à un genévrier dans la plaine: il ne voit rien venir de bon, il habite les endroits brûlés du désert, une terre salée et sans habitants. Béni soit l’homme qui fait confiance à l’Éternel et qui place son espérance en lui ! Il ressemble à un arbre planté près de l’eau et qui étend ses racines vers le cours d’eau: il ne s’aperçoit pas de la venue de la chaleur et son feuillage reste vert. Lors d’une année de sécheresse, il ne redoute rien et il ne cesse pas de porter du fruit. Le cœur est tortueux plus que tout, et il est incurable. Qui peut le connaître ? Moi, l’Éternel, j’explore le cœur, j’examine les reins pour traiter chacun conformément à sa conduite, au fruit de ses agissements. (Jérémie 17:5-10) J’encourage donc avant tout à faire des demandes, des prières, des supplications, des prières de reconnaissance pour tous les hommes, pour les rois et pour tous ceux qui exercent l’autorité, afin que nous puissions mener une vie paisible et tranquille, en toute piété et en tout respect. (1 Timothée 2:1-2)

Oh Seigneur, merci. Tout ce que je peux faire c’est poster ici ces Paroles de Dieu, et garder espoir dans la prière, qu’un jour, poussé par Ton Souffle, l’homme d’Eglise viendra la puiser ici et changera son comportement de même que sa loi. Quant à moi, tout ce que j’espère c’est que Tu vois ce que je fais pour l’aider à sortir de son péché, et qu’au jour du Jugement, Tu Te souviennes de moi. 

Et de nouveau La Voix du Ciel se fit entendre et dit:

« Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec Moi dans le paradis.»

Jésus de Nazareth
(Luc 23:43)

Mon âme exalte Le Seigneur, exulte mon esprit en Dieu mon Sauveur. Merci merci merci Seigneur Jésus. Sois certain qu’en attendant je dirai Tes exploits, même si le monde ne m’écoute pas, même s’il se moque de moi, même s’il me boufonne et dit de moi que je suis folle ! Même si  je suis seule à le faire, je le ferai. Car comme Tu l’as dis : «J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie; celles-là, il faut que je les amène; elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger.» (Jean 10:16)  ❤ Amen Alléluia Alléluia Alléluia !

Et de nouveau La Voix du Ciel se fit entendre et dit: 

«Quand l’Éternel approuve les voies d’un homme, il dispose même ses ennemis à faire la paix avec lui.»

Proverbes 16 : 7

J’attends Seigneur, j’attends ce jour où je pourrai dire à l’Homme d’Église : Je me réjouis que Le Règne de Dieu s’est approché de vous