Accueil Pourquoi ce puits ? Que nous sommesLa cruche t’y conduira
BON DIMANCHE dans LE SEIGNEUR
Bénis sois-Tu Père pour toutes Tes œuvres – merveilles sur la Terre des vivants. Bénis sois-Tu pour Ta sainte présence Trinitaire dans nos vies et en ce puits. Privés de la communion Eucharistique, et de la Réconciliation en Eglise, Tu es venu T’offrir à nous en Ta Parole. Ains nous demeurons en Toi et Toi en nous pour toujours. Amen †
Que celui qui est arrivé jusqu’à ce puits entende ce qui est dit
‘VENEZ ET VOUS VERREZ’ !
Que celui qui entend dise aussi Venez ! Que celui qui a soif, vienne!
Que celui qui le désire, prenne de l’Eau de la Vie gratuitement!
(Ap.22,17)
Méditation : L’ENFANT DE L’AMOUR
Une Nouvelle page :BIENTOT NOEL – LA CRECHE
LE SAINT DU JOUR
Saint Edmond
Roi d’Est-Anglie et Martyr
(841-870)
Edmond était le roi d’Est-Anglie, un petit royaume de l’est de l’Angleterre. Il fut capturé lors d’une bataille dans le Suffolk qu’il livra contre les Danois qui ne cessaient d’envahir son pays. Ceux-ci lui proposèrent la liberté et la vie contre un pacte dont les conditions étaient contraires au bien-être et à la religion chrétienne de son pays. Il refusa. Les Danois l’attachèrent alors à un arbre et le criblèrent de flèches avant de lui trancher la tête et de la jeter dans un fossé. Elle fut retrouvée intacte, entre les pattes d’un loup qui l’avait défendue contre les rapaces. De nombreuses églises anglaises sont dédiées à ce jeune martyr.
Sources : Evangile au Quotidien & Nominis
LA COMMUNION DU JOUR
« Cherchez et vous trouverez ; frappez et l’on vous ouvrira. » (Mat.7:8)
‘Cherchez en lisant, vous trouverez en méditant. Frappez en priant, vous entrerez en contemplant.’
Au nom du Père par le Fils dans le Saint Esprit – pour la gloire de Dieu et le salut des hommes Amen †
Seigneur, je ne suis pas digne de Te recevoir, mais dis seulement une Parole et mon âme sera guérie, prête à discerner dans la simplicité et l’humilité, Tes Saintes Paroles.
Prends, Seigneur et reçois, toute ma liberté, ma mémoire, mon intelligence et toute ma volonté; Tout ce que j’ai et possède, c’est Toi qui me l’as donné: A Toi, Seigneur, je le rends Tout est à Toi, disposes-en selon Ton entière volonté. Donne-moi, ton amour et ta grâce : c’est assez pour moi. (Ignace de Loyola)
Remplis ma bouche, ô Marie, de la grâce de ta douceur. Éclaire mon intelligence, toi qui as été comblée de la faveur de Dieu. (St Ephrem)
Textes liturgiques du jour
«Maintenant, j’irai moi-même à la recherche de mes brebis, et je veillerai sur elles.»
« Le Seigneur est mon berger : je ne manque de rien. »
« Tout sera achevé, quand le Christ remettra son pouvoir royal à Dieu le Père, après avoir détruit toutes les puissances du mal. C’est lui en effet qui doit régner jusqu’au jour où il aura mis sous ses pieds tous ses ennemis. »
« Et ils s’en iront, ceux-ci au châtiment éternel, et les justes, à la vie éternelle. »
Cela fait un moment déjà qu’en ce puits, nous ressentons la vive colère de Dieu envers les dirigeants de Son Eglise qui font la pluie et le beau temps et ne prennent pas soin de Ses enfants. Cela fait un moment déjà que nous disons haut et fort la déception du Bon Dieu devant la mal gérance de Son troupeau confié jadis entre des mains sanctifiées par les 5 plaies de Son Fils en Croix, aujourd’hui dispersé, sans repaire ! Cela fait un moment déjà que nous crions aux disciples du Seigneur de ne pas se boucher les yeux et nier que l’unité n’a pas été respectée, la miséricorde bafouée et les brebis errent sans pasteurs.
Bien évidemment, nos cris sont peu entendus car l’ennemi est puissant dans les rangs ! Nos avertissements ne sont pas bien vus, pas bien accueillis, nous sommes mêmes ignorés, laissés pour compte dans une indifférence qui toucherait le plus dur des cœurs et le ferai verser, à contre cœur, toutes les larmes de son âme blessée. Car l’heure n’est pas aux larmes mais à l’épée qu’il faut à tout prix dégainer : L’Eglise du Seigneur, dont les têtes sont tombées entre les mains des impies qui se sont infiltrées au fil des années et ont pris le pouvoir pour ne plus le lâcher, ne peut ni ne doit leur être abandonnée car là n’est pas la Volonté du Bon Dieu, tout comme Elle fut dans le temps passé qui revient au présent, car là est La Loi de l’Univers : Dieu en tout et en tous.
C’est pour cela que, malgré le mal qui nous est fait dans le milieu, nous ne sommes pas partis, nous n’avons pas abandonné le navire car nous avons ressenti la responsabilité de tenir bon et de lutter ! C’est pour cela que, malgré les critiques, nous redirons encore une fois, unis dans le Souffle de L’Esprit de Dieu accordé à tous les baptisés de Son Eglise : Brebis qui êtes restées, ne songez pas au départ car l’unité doit être préservée. Revenez à Dieu. Revenez à Christ ! Il est encore temps de nous ressaisir et de prendre notre Eglise en main. Il est grand temps de se reposer enfin la question : ‘Seigneur, quand est-ce que nous t’avons vu avoir faim et soif, être nu, étranger, malade ou en prison, sans nous mettre à ton service ? ‘
Notre service est d’écouter la Parole du Seigneur qui vient de nouveau nous aviser de ce qu’Il compte faire bientôt :
« Maintenant, j’irai moi-même à la recherche de mes brebis, et je veillerai sur elles. Comme un berger veille sur les brebis de son troupeau quand elles sont dispersées, ainsi je veillerai sur mes brebis, et j’irai les délivrer dans tous les endroits où elles ont été dispersées un jour de brouillard et d’obscurité. C’est moi qui ferai paître mon troupeau, et c’est moi qui le ferai reposer, déclare le Seigneur Dieu. La brebis perdue, je la chercherai ; l’égarée, je la ramènerai. Celle qui est blessée, je la soignerai. Celle qui est faible, je lui rendrai des forces. Celle qui est grasse et vigoureuse, je la garderai, je la ferai paître avec justice. Et toi, mon troupeau, déclare le Seigneur Dieu, apprends que je vais juger entre brebis et brebis, entre les béliers et les boucs. »
Notre service est de L’AIDER dans ce projet comme d’autres l’ont jadis fait : « Frères, le Christ est ressuscité d’entre les morts, pour être parmi les morts le premier ressuscité. C’est lui en effet qui doit régner jusqu’au jour où il aura mis sous ses pieds tous ses ennemis. »
Oui, c’est Le Christ qui doit régner et non pas l’ennemi qui s’est emparé de Son Eglise ! S’Il a vaincu la mort par Sa Résurrection d’entre les morts, si nous sommes Ses brebis qui avons acceptées de mourir à l’ennemi afin de vivre pour Lui, pour que Son règne arrive dans le cœur de chacun des enfants du Bon Dieu, alors posons-nous les bonnes questions et réfléchissons :
Pourquoi donc tant de méchancetés, tant d’indifférences, entre nous ? Pourquoi tant de jalousies et de mépris ? Pourquoi tant de discordes ? Pourquoi tant de haine dans le monde, tant de vengeance et de guerre ? Pourquoi tant de brebis égarées et perdues, errantes dans un monde sans foi ni Loi ? Ne croyez-vous pas que l’exemple vient d’en haut ? Ne croyez-vous pas que les fardeaux imposés ont finalement pesé lourds dans la balance de notre quotidien déjà exagéré par une trop haute demande humaine ? Est-ce cela que vous suivez ? Est-ce cet exemple que vous donnez à vos propres enfants ? Christ, en Se donnant à vous, ne vous a-t-Il pas libérés ? Pourquoi donc demeurez-vous enchainés à leurs pieds ? Aux pieds de ceux qui se sont laissés prendre par le mal jusqu’au point où Dieu veuille Lui-même reprendre les choses entre Ses mains en Se tournant vers les plus petits et les plus démunis de Son Royaume pour vous passer Son message ?
Ce matin, pendant l’oraison, nous avons prié le Père pour vous, brebis et pasteurs de l’Eglise romaine. Nous avons discuté de votre cas, et le Père dans Sa Miséricorde nous a donné cette instruction de la bouche du premier des pasteurs appointés,* afin que nous venions vous la remettre :
« Frères, vous savez bien comment Dieu a manifesté son choix parmi vous dès les premiers temps : c’est par moi que les païens ont entendu la parole de l’Évangile et sont venus à la foi. Dieu, qui connaît le coeur des hommes, leur a rendu témoignage en leur donnant l’Esprit Saint tout comme à nous ; sans faire aucune distinction entre eux et nous, il a purifié leurs coeurs par la foi. Alors, pourquoi mettez-vous Dieu à l’épreuve en plaçant sur les épaules des disciples un joug que nos pères et nous-mêmes n’avons pas été capables de porter ? Oui, c’est par la grâce du Seigneur Jésus, nous le croyons, que nous avons été sauvés, de la même manière qu’eux. »
C’est donc avec grande humilité que nous revenons vers vous. S’il vous plait, ne voyez pas en cette instruction, un fardeau de notre part, un nouveau fardeau que nous viendrions ajouter à vos pauvres épaules déjà bien lourdes par ceux que l’ennemi vous impose ! Vos interdits – fardeaux jadis lourds à porter – sont aujourd’hui notre sainteté. Nous n’avons donc aucun intérêt personnel en cette démarche que le profond désir de sauver notre famille et faire plaisir au Bon Dieu. Voyez donc en Son instruction, Son voeu le plus cher d’affranchir Ses pasteurs apeurés et angoissés et libérer en même temps tous Ses enfants, en refaisant l’unité en Son Eglise.
O Père ! Nous avons fait notre devoir. Nous avons délivré en ce puits Tes instructions. Nous avons même demandé que tous reviennent à Toi en Christ. Que pouvons-nous faire de plus que Te demander d’accorder en ce puits une autre Parole qui confirmerait Ton désir de reprendre tout entre Tes mains ! Par pitié Père, parlent à Tes pasteurs qui ont les pieds et les mains liés à cause de leur engagement envers leurs responsables, et non envers Christ, la Tête !
A ce cri, à cette supplication, le Père a de nouveau réagit ! De toute Sa Stature, Il s’est penché sur la Terre et d’une voix forte, lui a fait de nouveau ce discours :
« Celui qui demeure en Moi, et Moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruit ; car hors de Moi vous ne pouvez rien faire. »
Jean. 15,5
A cela quoi ajouter de plus ? Sauf peut-être ce petit témoignage : A l’évêque un jour, alors que je souffrais encore terriblement des interdits, j’ai écris ma douleur et lui ai officiellement demandé de répondre à la question que mon âme hurlait vers sa mère : ‘EGLISE M’AIMES-TU ?’ Dans ma lettre, en lui citant La Parole du Seigneur, je lui confirmais mon désir de demeurer dans l’Amour du Père malgré ma souffrance de ne pouvoir accéder aux sacrements d’Eucharistie et de Réconciliation. Au cours d’une courte lettre, il a totalement approuvé cette démarche, allant jusqu’à admettre le manque de compassion et d’humilité de l’Eglise pour laquelle il travaille à plein temps, et je cite : ‘ J’entends votre souffrance, vos interpellations. Je comprends votre profonde tristesse et votre désir profond de voir une Eglise pleine de compassion et d’humilité. Vous avez raison de croire en un Dieu qui n’est qu’amour et de citer 1 Jean 4 :16 « Dieu est Amour, celui qui demeure dans l’amour demeure en Dieu et Dieu demeure en lui ». Toutefois … »
… et le reste de sa lettre n’était qu’une série de citations papales et conseils administratifs dont voici un extrait : « Avec le Synode, j’exhorte chaleureusement les pasteurs et la communauté des fidèles dans son ensemble à aider les divorcés-remariés. Avec une grande charité, tous feront en sorte qu’ils ne se sentent pas séparés de l’Eglise, car ils peuvent et même ils doivent, comme baptisés, participer à sa vie. On les invitera à écouter la Parole de Dieu, à assister au sacrifice de la messe, à persévérer dans la prière, à apporter leur contribution aux œuvres de charité et aux initiatives de la communauté en faveur de la justice, à élever leurs enfants dans la foi chrétienne ». Je vous suggère de prendre contact avec … ‘
Lequel ‘contact’ s’est révélé un total fiasco ! Et tout ceci ne faisant que confirmer que l’Eglise n’a nullement l’intention de lever le petit doigt pour ne serait-ce que consoler ses enfants divorcés-remariés en levant l’injustice qui les qualifie et les différencie de leurs frères et sœurs !
Pour la petite histoire, depuis nous avons offert nos services à L’Eglise et toutes les portes jusqu’à ce jour sont demeurées closes. Une seule demeure ouverte et nous la savons pour toujours : la porte étroite que prennent les plus petits et plus démunis du Royaume du Père. Malgré notre totale déception, nous tenons fermes dans notre foi en tant que témoins de la Miséricorde de Dieu en Christ et savons qu’Il intercèdera auprès du Père à cause de nos prières en ce puits, afin que Son Eglise se purifie et redevienne ce qu’elle était alors entre Ses mains.
Cependant, à ce même évêque, aujourd’hui, 4 ans après, le Bon Dieu Lui-même vient demander : « Et toi Mon fils, es-tu demeuré en Moi ? Et Moi suis-je en toi ? Parce que vois-tu, J’ai du personnellement tout quitter pour aller à la recherche de Ma brebis qui se perdait dans la souffrance du rejet que tu lui infliges, et panser Moi-même ses plaies !»
C’est à se demander ce qu’il Lui répondrait en toute honnêteté.
Seigneur, prends pitié de Ton Eglise, au nom du Père par le Fils dans le Saint Esprit. Amen +
(Pierre, actes 15)(1 Jean 4 :16)(1 Jean 4 :16)
Seigneur, fais de nous des ouvriers de reconstruction
En Ta Maison …
Là où nous verrons la tiédeur, que nous réchauffions
Là où nous verrons le manque, que nous remplissions
Là où nous verrons le laisser aller, que nous redressions
Là où nous verrons la lâcheté, que nous bravions
Là où nous verrons les fermetures, que nous ouvrions
Là où nous verrons les fractures, que nous réparions
Là où nous verrons les blessures, que nous pansions
O Seigneur, que nous ne cherchions pas tant
à détruire qu’à reconstruire,
à diviser qu’à rassembler,
à perdre qu’à ramener
Car c’est en vivant pleinement tout cela, que nous Te ferons plaisir,
Et sauverons Ton Eglise !
C’est en ramenant à Toi Tes enfants que tous vivront éternellement
Endormis dans la piété et le recueillement !
Prière inspirée par frère François à notre Fraternité
Ce 18.11.2011
La Fraternité Te prie O Roi du Ciel et de la Terre, et de tout Univers, par le Saint nom de Jésus, et avec Marie et tous les anges, les saints, toute la Cour Céleste, de prendre entre Tes mains le destin de Ton troupeau.
Au nom du Père par le Fils dans le Saint Esprit, Amen +
LA PLUIE DE ROSES DE PETITE THERESE
« … Tout à coup la Sainte Vierge me parut belle, si belle que jamais je n’avais vu rien de si beau, son visage respirait une bonté et une tendresse ineffable, mais ce qui me pénétra jusqu’au fond de l’âme ce fut le » ravissant sourire de la Ste Vierge « .
(Ste Thérèse de L’Enfant Jésus et de la Sainte Face)
STEJ (Extrait de « Œuvres Complètes » aux Ed. du Cerf P 116, § 2)
LE MESSAGE POUR AUJOURD’HUI DU BIENHEUREUX JEAN PAUL II
«Nous sommes des témoins. Témoins d’une foi qui éclaire ; témoins d’une charité active, patiente et généreuse ; d’un service des diverses formes de pauvreté qui affectent l’humanité d’aujourd’hui. Témoins de l’espérance qui ne déçoit pas et de la profonde communion qui reflète la vie de Dieu, témoins de la Trinité, de l’obéissance et de la Croix. Bref, témoins de la sainteté, peuple des Béatitudes, appelés à être parfaits comme le Père du Ciel est parfait .»
communion humblement partagée en Jésus Miséricorde, par votre soeur Doris, en union bénie par L’Amour avec votre frère Maurice, en la maison de David, Ses serviteurs, pour la gloire de Dieu et le salut des hommes.
Nous, qui sommes insensés, avec la médiocrité de notre intelligence, et avec l’aide de Dieu, avons écrit cela comme un rappel à nous-mêmes et aux autres qui partagent un esprit similaire… S’il se trouve ici quelque chose qui ne plaise pas à Dieu et qui ne soit pas utile aux âmes, à cause de notre bêtise et de notre ignorance, qu’il n’en soit pas ainsi, mais que la volonté de Dieu rende cela parfait et agréable. Nous vous demandons pardon ou vous prions, si quelqu’un trouvait autre chose de plus pratique et de plus utile, alors de le laisser faire et nous serons heureux et récompensés. Si quelqu’un doit trouver à partir de ces écrits un peu d’aide, qu’il prie pour nous pécheurs afin que nous puissions obtenir grâce devant Dieu. (inspirés de la prière de Saint Nil Sorsky)
« Passe par le milieu de la ville, par le milieu de Jérusalem, et marque d’un Tau le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s’y commettent. »
(Ezekiel 9:4)
Par Ta Croix Seigneur Jésus, par qui le monde a été crucifié, et nous pour le monde, Tu nous appelles à être des ‘crucifix vivants’ dans le monde et des âmes miséricordieuses en Eglise, reflétant comme en un miroir, la bonté divine. Reçois notre joie de n’être rien d’autre que cela. Amen
Cher pèlerin,
« Que le Seigneur te bénisse et te garde. Qu’Il te montre Sa face Et te fasse Miséricorde. Qu’il tourne vers toi Son visage et te donne la Paix. »
Amen.
Nous remerçions ceux qui sur leur site donnent gratuitement accès aux visiteurs à leurs photographies et images diverses//nous en avons usées librement sur ce blog //merci de nous informer si par pur hasard nous en avons abusées sans votre consentement
Fraternité DIEU MISERICORDE
chrétienne catholique & apostolique, au Puidamour, Ile Maurice