en petits enfants à l’école du Grand Dieu

Accueil Pourquoi ce puits ? Que nous sommesLa cruche t’y conduira

BON MERCREDI dans LE SEIGNEUR

Bénis sois-Tu Père pour toutes Tes œuvres – merveilles sur la Terre des vivants. Bénis sois-Tu pour Ta sainte présence Trinitaire dans nos vies et en ce puits. Privés de la communion Eucharistique, et de la Réconciliation en Eglise, Tu es venu T’offrir à nous en Ta Parole. Ains nous demeurons en Toi et Toi en nous pour toujours. Amen †

Que celui qui est arrivé jusqu’à ce puits entende ce qui est dit

‘VENEZ ET VOUS VERREZ’ !

Que celui qui entend dise aussi Venez ! Que celui qui a soif, vienne!

Que celui qui le désire, prenne de l’Eau de la Vie gratuitement!

(Ap.22,17)

«L’amour n’est pas aimé; l’amour dans ce monde est toujours crucifié»

frère François

Méditation : L’ESCROC

Une Nouvelle page : EN ATTENDANT

LA COMMUNION DU JOUR

LE TEMPS DE L’AVENT

Le Temps de L’Avent n’est pas un temps qui passe et revient chaque année ! Il est une promesse d’un état constant d’éveil – le sortir de soi pour rencontrer DIEU en soi – à acquérir d’abord en veillant, en se prêtant au sommeil de reconstruction de soi et du monde autour de soi. Une fois l’éveil acquis, on n’attend plus le petit Jésus. On veille sur Lui tandis qu’Il veille sur le monde qui L’attend toujours.

Seule une vie de piété permet l’éveil ! Dieu EST en chaque prière, chaque oraison, chaque adoration, chaque lecture, chaque méditation, chaque contemplation, chaque discernement, chaque partage de Sa Parole, chaque émerveillement de Sa Grâce, chaque moment passé à parler de Lui…

Dieu est aussi en nos déceptions, nos colères, nos attentes des autres, nos frustrations… Nous sommes nos propres ennemis quand nous attendons trop de nous-mêmes et des autres, alors que TOUT EST GRACE en Celui qui EST GRACE !

Aujourd’hui encore Le Seigneur vient nous demande de VEILLER ! Cessons donc nos vaines attentes puisqu’Il est déjà là, en toute chose, en tout et tous !

TOUT EST GRACE !

« Cherchez et vous trouverez ; frappez et l’on vous ouvrira. » (Mat.7:8)

‘Cherchez en lisant, vous trouverez en méditant. Frappez en priant, vous entrerez en contemplant.’

Au nom du Père par le Fils dans le Saint Esprit – pour la gloire de Dieu et le salut des hommes Amen †

Seigneur, je ne suis pas digne de Te recevoir, mais dis seulement une Parole et mon âme sera guérie, prête à discerner dans la simplicité et l’humilité, Tes Saintes Paroles.

Prends, Seigneur et reçois, toute ma liberté, ma mémoire, mon intelligence et toute ma volonté; Tout ce que j’ai et possède, c’est Toi qui me l’as donné: A Toi, Seigneur, je le rends Tout est à Toi, disposes-en selon Ton entière volonté. Donne-moi, ton amour et ta grâce : c’est assez pour moi. (Ignace de Loyola)

Remplis ma bouche, ô Marie, de la grâce de ta douceur. Éclaire mon intelligence, toi qui as été comblée de la faveur de Dieu. (St Ephrem)

Textes liturgiques du jour

Isaïe 40, 25-31.* Psaume : 103 * Matthieu 11,28-30. « Pourquoi parles-tu ainsi, pourquoi affirmes-tu : «Mon chemin est caché à mon Dieu, le Seigneur néglige mon bon droit ? » Tu ne le sais donc pas, tu ne l'as pas appris ? Ceux qui mettent leur espérance dans le Seigneur trouvent des forces nouvelles » * « Le Seigneur est tendresse et pitié, lent à la colère et plein d'amour ; il n'agit pas envers nous selon nos fautes, ne nous rend pas selon nos offenses. » * «Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »

LE SAINT DU JOUR

SAINT AMBROISE de Milan - vaillant défenseur de la vraie foi, grand évêque, savant docteur, un orateur éloquent, un homme de haute sainteté - (c. 339-397)


Saint Ambroise, fils d’un préfet des Gaules, était gouverneur de Milan, quand le peuple, réuni à l’église, semblait prêt à faire une sédition pour obtenir un évêque, dont il était privé depuis vingt ans par la faute des hérétiques ariens. Le magistrat se rendit à l’église pour calmer la foule ; mais voici qu’un enfant l’interrompit et cria : « Ambroise évêque ! » C’était la voix du Ciel ; celle du peuple y répondit, et le temple retentit de ce cri répété avec enthousiasme : « Ambroise évêque ! Ambroise évêque ! « Ambroise proteste ; il objecte qu’il n’est que catéchumène, il se fraye un passage à travers la foule et s’esquive en son palais ; mais la foule le suit, déjoue tous ses stratagèmes et répète cent fois le même cri. Il s’enfuit à cheval pendant la nuit, mais il perd son chemin, et à son grand étonnement se retrouve le matin à son point de départ. On sait comment le nouvel évêque comprit la mission qu’il avait reçue d’une manière si providentielle. Ambroise fut le fléau des ariens et le vaillant défenseur de la vraie foi. Parmi toutes ses vertus, l’énergie, une fermeté tout apostolique, semble avoir été la principale. Un jour on vient lui apporter un ordre injuste signé par l’empereur Valentinien : « Allez dire à votre maître, répondit Ambroise, qu’un évêque ne livrera jamais le temple de Dieu. » Bientôt il apprend que les hérétiques ariens, soutenus par l’autorité, vont s’emparer de deux basiliques : « Allez, s’écria Ambroise du haut de la chaire sacrée, dire aux violateurs des temples saints que l’évêque de Milan excommunie tous ceux qui prendront part au sacrilège. » Le fait le plus célèbre, c’est le châtiment qu’il osa imposer à l’empereur Théodose. Ce prince, les mains encore souillées du sang versé au massacre de Thessalonique, se présente au seuil du temple. Ambroise est là : « Arrêtez, lui dit-il ; imitateur de David dans son crime, imitez-le dans sa pénitence. » Saint Ambroise fut un grand évêque, un savant docteur, un orateur éloquent, un homme de haute sainteté.

source : Evangile au Quotidien

Ce passage de la vie de St Ambroise – vaillant défenseur de la vraie foi – homme de haute sainteté – où l’enfant crie Son devenir, et où le peuple reconnait en ce cri Le Vœu du Bon Dieu, m’interpelle beaucoup ce matin, car ce cri d’enfant fut le déclic de toute sa vie durant.  Et je me dis tout haut ce que je pensais tout bas, qu’il n’est pas seulement et sans doute vrai de dire que la vérité sort de la bouche des enfants, mais qu’il faut vivre cette Vérité en toute simplicité : VIVRE LA VERITE, vivre CHRIST JESUS dans la vérité, Le dire, proclamer La Bonne Nouvelle qu’Il est venu porter, en venant à Lui à tout moment comme un enfant, avec un cœur d’enfant, puiser à la Source de Ses enseignements.

Aujourd’hui nous venons de nouveau à Lui, avec un cœur d’enfant, reconnaitre pour aujourd’hui, l’enseignement qui nous a été donné hier pour mettre en valeur la Bonne Nouvelle de demain. Aujourd’hui encore nous revenons à l’école de vie, nous revenons à l’école du Bon Dieu.

Jésus nous enseigne que Dieu reconnait chacun de Ses enfants à l’arbre qui l’a produit. Les textes liturgiques choisis pour ce jour, nous invite à notre tour, à Le reconnaitre à Ses œuvres :

Dieu Saint – Dieu Eternel qui a créé la terre entière – Celui qui déploie toute l’armée des étoiles, et les appelle chacune par son nom. Si grande est sa force, et telle est sa puissance qu’il n’en manque pas une. Il ne faiblit pas, il ne se lasse pas. Son intelligence est insondable.

Et maintenant que nous avons reconnu le Dieu Créateur, apprenons comment nous reconnaitre à travers Dieu Père :

Les jeunes gens se fatiguent, se lassent, et les athlètes s’effondrent, mais ceux qui mettent leur espérance dans le Seigneur trouvent des forces nouvelles ; ils prennent leur essor comme des aigles, ils courent sans se lasser, ils avancent sans se fatiguer.

… et poursuivons notre éducation en apprenant comment maintenir en nous cette espérance de vie, selon l’Ordre reçu du Verbe fait chair, Jésus :

« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »

Je me suis longtemps posée la question sur ce joug facile que Notre Seigneur demande de porter et ce fardeau léger qu’Il offre à tous.  Aujourd’hui après 58 ans de vie terrestre, et toute l’aide divine reçue, je crois avoir ma petite idée personnelle sur le sujet. 

Depuis quelques temps Jésus conduit ma pauvre âme vers des eaux tranquilles – vers un retour dans son enfance ! Ce n’est pas la première fois qu’Il le fait depuis qu’Il a commencé à lui refaire l’éducation. Il est vrai que mon enfance ne fut pas de tout repos de même que les années qui l’ont suivie, mais quand j’y repense très fort, je peux en effet découvrir, presque caché, ce joug facile, ce fardeau léger à porter qu’en fait je ne portais pas, mais que Lui portait pour moi : le repos !

En effet, ma vie n’a pas été facile, comme beaucoup d’autres vies.  Je n’ai rien à envier ni à regretter car je me considère  chanceuse d’être toujours en vie malgré tout ce qui m’a été donné d’épreuves à vivre pour ma petite santé tant physique que spirituelle.  Mais en toutes choses, entre chaque contre temps, chaque dur moment à accueillir et à vivre, pas toujours dans l’abandon, j’avoue humblement et avec joie que Le Seigneur a permis que je souffle, que je me repose, avant de reprendre le combat, avec Lui comme seule épée, aujourd’hui Sa Parole comme seule armure.

Le Seigneur m’a donnée d’arriver à la conclusion que les âmes qui trainent derrière elles de lourds secrets d’enfance jamais dévoilés, qui doivent par la suite supporter de lourdes souffrances tant physiques que morales pendant l’adolescence et d’en porter avec elle une partie sinon la totalité dans leur vie d’adulte, quelques fois même tout au long de leur vieillesse, les âmes qui finissent leurs jours sans avoir jamais rencontré Dieu en Christ Jésus à travers leurs épreuves, auront dans la mort une soif éternelle de vie avec Lui. Elles erreront sans cesse en quête d’âmes terrestres pour leur confier la tâche de compléter leur sainteté en continuant leur vie.

Le Seigneur m’a donnée de comprendre que les âmes qui vivront dans Sa Vérité toute leur vie durant, qui auront eu éternellement faim de Sa Parole, et soif de vivre de Sa Sagesse, malgré les erreurs, les faiblesses, les péchés commis en cours de route, mourront certes mais leurs âmes vivront dans la gloire de Dieu avec Christ pour l’éternité dès leur trépas.

Le Seigneur m’a donnée de vous demander comme Il me l’a Lui-même demandé, de prier pour les âmes, pour toutes les âmes, avec une foi d’enfant de chœur.

Es-Tu d’accord avec ce raisonnement Père ?  Fais-moi la grâce encore une fois d’une Parole qui confirmerait que je suis dans Ta pensée.  Que celui ou celle qui attend de Toi une confirmation trouve en cette communion une aide précieuse.

Homme de peu de foi, pourquoi as-tu douté ?

Matthieu : 14,31

Merci Père.

Chères petites cruches, chers pèlerins, que la Paix de Christ Jésus soit avec vous. En toute confiance, continuons L’Instruction dans l’abandon le plus total et la confiance que Le Saint Esprit nous éclaire en ce moment même.

Apprenons à nous abandonner entre les Mains Puissantes de Dieu, à venir à Lui en Christ Jésus, reposer nos soucis, nos fardeaux, car la vie de l’homme n’a pas été imaginée ainsi.  L’homme n’est pas fait pour porter des fardeaux mais pour vivre dans le repos avec Son Créateur, d’où la sainteté qu’Il réclame de plus en plus de chacun.  Les fardeaux que nous portons sont celles que nous nous inventons, que nous nous créons nous-mêmes simplement parce que nous persistons encore à faire selon notre petite mortalité.

Les gens me disent souvent qu’ils sont fatigués pour autant de prier Le Père, que leur vie ne change pas pour le meilleur.  Et toujours je leur dis, quelques fois même tellement passionnément que certains pensent que je m’emporte, que nous sommes tous des enfants mal élevés, que notre instruction doit être refaite sous le Regard du Seigneur Jésus, parce que nous passons notre temps à demander selon notre volonté au lieu de Le louer – Lui dire chaque matin au réveil avec un cœur d’enfant qui ne sais pas s’il verra tout le jour : ‘Père, je sanctifie Ton Saint Nom, que soit faite en moi aujourd’hui Ton enfant, Ta Sainte Volonté afin que Ton règne vienne… ’

Pourquoi croyez-vous que le Seigneur nous a donné une seule prière à faire dans l’intimité ?  Pourquoi croyez-vous qu’Il demande à ce que viennent à Lui les petits enfants ? 

Ce retour dans mon enfance qu’Il me donne de vivre en ce moment je le sais est un Appel à revenir comme j’étais quand Il m’a créée : innocente et sans connaissance !

Souvenons-nous chers tous que Le Père n’a jamais désiré que nous devenions nous-mêmes par nous-mêmes ; que nous nous construisions par nous-mêmes, que nous bâtissons notre vie sans Lui, que nous prenions des décisions sans Son Aide et Son Accord, que nous vivions sans Sa Présence Vivante et Agissante au milieu de nous et en nous.  Le Seigneur Dieu n’a jamais voulu que nous aimions sans d’abord connaitre Son Amour.

Souvenons-nous combien Il n’a jamais désiré que nous goûtions du fruit de L’Arbre de la Connaissance : «  Tu peux manger de tous les arbres du jardin; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras certainement. » Là est le seul interdit qu’Il nous a imposé.  Et nous connaissons la suite : l’homme a désobéi à la Volonté du Père et le voilà devenu créateur bidon : se créant des fardeaux qu’ils chargent lui-même sur ses propres épaules tout en maugréant contre Dieu.  A cause de cela, et à cause de Son grand Amour pour Ses enfants, Il a eu pitié de l’homme.  Son cœur fut rempli de compassion à sa vue trainant sa charge jour et nuit.  Alors Il lui envoya Son Fils unique, non pour l’enseigner un art de vivre, mais comment vivre selon Lui – L’Artiste, Le Créateur de Vie.

Ce matin pendant l’oraison, Le Seigneur Dieu nous a fait connaitre Son instruction en ces quelques Paroles de Vérité de Paul aux Théssaloniciens (4 :7-8) : « Car Dieu ne nous a pas appelés à l’impureté, mais à la sainteté. Celui donc qui méprise ces préceptes, ce n’est pas un homme qu’il méprise, mais Dieu, qui a aussi donné son Esprit-Saint pour habiter en vous. »

Chers tous, L’Esprit Saint habite en chaque enfant du Bon Dieu.  Chez certains Il dort toujours et là n’est pas bon signe car Son rôle est d’être constamment éveillé. Ne L’attristons pas mais réveillons-Le en faisant un pas en avant vers Lui, et Lui fera le reste !  Il suffit de se reposer en Celui qui L’a révélé au monde, en Celle qui L’a porté dans le monde, et en toutes les âmes qui vivent maintenant dans la Gloire de Dieu – toute la Cour Céleste qui a vécue de Sa Lumière sur la terre – et les laisser nous aimer, nous aider, nous conduire, nous guider vers une vie de piété, afin que par nos prières et nos dévotions à La Sainteté, nous libérions les âmes qui errent encore hors de Sa Lumière.

 » La vie est ton navire et non pas ta demeure !…  » La sagesse aussi ne dit-elle pas que  » La vie est comme le vaisseau qui fend les flots agités et ne laisse après lui aucune trace de son passage rapide ?…

Avec l’aide de notre sainte patronne Thérèse la petite, qui vient à notre rencontre, dès maintenant, plongeons-nous dans l’infini amour de Jésus et une fois sur le chemin de sainteté, prions pour nos ennemis beaucoup plus que pour nous et pour nos amis.  Touchons dès aujourd’hui le rivage éternel de la Vie Eternelle avec Jésus.

Soyons saints, soyons miséricordieux les uns envers les autres. Bénissons-nous les uns les autres.  Faisons de nos prières non pas des demandes constantes pour nous-mêmes – Le Père voit ce dont nous avons besoin et pourvoira en même temps que nous Le louons tout simplement, dans la chaleur de nos maisons, la rencontre fraternel entre amis, l’accueil miséricordieux de ceux qui viennent à nous, même en ennemis.  Et je vous prie ne poussons pas de hauts cris à leur vue d’agneaux déguisés, mais croyons en leur devenir de tendres agneaux baptisés dans le Saint Esprit. 

Avec les conseils précieux du Bienheureux Jean Paul II qui nous parle déjà depuis quelques temps, attendant bravement au ciel que soit déclarée officiellement sur la terre son heure de sainteté,  développons notre foi encore balbutiante !  Nourrissons là par le discernement de la Parole de Dieu. Laissons-nous guider par Le Maître. Que nos petites personnes soient entièrement pénétrées de Sa Lumière. Rayonnons notre foi en Dieu. 

Certains croyants et pratiquant de surcroit, me reproche souvent de trop parler de Lui, me disant même que la foi est une affaire privée, et moi je leur dis dans mes mots encore timides mais avec force et fermeté de ma foi de jour en jour fortifiée, et en les renvoyant à la leur : ‘Excusez-moi, mais si vous dites croire en Dieu et pratiquer votre foi, comment pouvez-vous ne pas parler de Lui ?  Si vous dites croire en Dieu, vous devez savoir qu’Il est en tout et tous ! D’ailleurs ne Le reconnaissez-vous pas en vos prières, adorations, jeunes et méditations ? Par conséquent, la foi est une affaire de tous et pour tous.  De plus, ne sommes-nous pas dans le même navire – tous concernés par lui qui nous supporte jour et nuit ?  Quant à la foi privée, ne savez-vous pas qu’il n’y a rien de privée ici-bas qui ne sera révélée ? C’est La Lumière qui a été créée la première.  N’est-ce pas Elle qui est venue sur la terre pour éclairer tout mât, tout cœur, toute âme ? ’

Avec la petite sœur Josefa qui est venue en premier posséder mon petit cœur encore fragile des choses du Ciel, elle qui n’attend plus depuis longtemps que soit consacrée sa vie là-bas, car elle l’a vécue déjà pleinement et saintement avec Jésus dès ici-bas, vivons dans la simplicité notre rôle de messagers de Jésus-Christ, portant en nous Sa Bonne Nouvelle.  Vivons sans peur du quand dira-t-on, mais avec l’innocence bon enfant, vivons sans complexe et ouvertement notre vie de piété.  Ignorons jusqu’à notre propre existence afin que vive L’Esprit en nous.  Soyons par nos prières et dévotions, les communicateurs du Ciel pour la Terre, les Sceaux Divins qui portent en eux les Signes de Sa Vérité révélée dans la simplicité de nos mots d’enfants.

Ne demandons plus au Ciel un Signe pour commencer à vivre.  N’allons pas étudier Sa pensée avant de commencer à Le louer.  Encore moins, n’allons pas consulter les astres et les charlatans pour comprendre qui l’on est et où l’on va, ce que nous devons faire et ne pas faire. Nous savons tout cela du moment que nous savons qui est Celui qui en nous créant nous a aimés LE PREMIER, s’est fait chair afin d’accomplir en nous Son Verbe.  Nous devenons croyants au moment où nous pratiquons notre foi dans l’abandon à Sa Divine Parole.  Mieux, nous devenons saints au moment où nous reconnaissons la Fidélité de Sa Divine Parole agissante en nous.

Que Le Dieu d’Amour se révèle à nous tous les jours, alors nous ferons ce que nous devons faire avec foi, force et l’énergie débordante que nous avions quand nous étions tendres et innocents ! Et même si nous sommes instruits de Sa Nature, que nous La révélons par Sa Grâce,  ne négligeons pas pour autant nos cœurs d’enfants !  Le Bon Dieu a besoin de nous enfants afin qu’Il puisse agir pour notre bien en Père.  Ne Lui gâchons pas ce plaisir !

Chers frères et sœurs,

N’attendons pas plus longtemps pour nous abandonner à L’Enfant Jésus de la crèche avec humilité et confiance !  Lui a déjà fait tout cela pour que tout cela arrive… à La Multitude !  Il est grand temps que nous reposions en Son Esprit, que nous nous laissions consoler par Lui dans le repentir de nos mauvaises actions.  Il est grand temps que nous nous abritions à l’ombre de Sa Puissante Main. Il est grand temps que nous commencions à écouter Sa Parole et La mettre vraiment en pratique.

Nous Te rendons grâce Père, au nom de Jésus Christ Sauveur pour ce bel enseignement, pour ce monde étonnant, plein de drames mais aussi tellement riches de Tes merveilles.  Nous Te bénissons et Te prions.

Seigneur, fais de nous des ouvriers de reconstruction

En Ta Maison …

Là où nous verrons la tiédeur, que nous réchauffions

Là où nous verrons le manque, que nous remplissions

Là où nous verrons le laisser aller, que nous redressions

Là où nous verrons la lâcheté, que nous bravions

Là où nous verrons les fermetures, que nous ouvrions

Là où nous verrons les fractures, que nous réparions

Là où nous verrons les blessures, que nous pansions

O Seigneur, que nous ne cherchions pas tant

à détruire qu’à reconstruire,

à diviser qu’à rassembler,

à perdre qu’à ramener

Car c’est en vivant pleinement tout cela, que nous Te ferons plaisir,

Et sauverons Ton Eglise !

C’est en ramenant à Toi Tes enfants que tous vivront éternellement

Endormis dans la piété et le recueillement !

Prière inspirée par frère François à notre Fraternité
Ce 18.11.2011

Prions donc, avec Marie et Thérèse et les autres saints de la Cour Céleste qui nous visitent et nous encouragent, pour la guérison des âmes. Que nous devenions de vrais croyants et de vrais pratiquants, suivant notre foi selon ce que nous avons reçus et fais de bons comme de mauvais, tout en sachant discerner le bon du mauvais.  Car tout est grâce Seigneur, tout est grâce, pour celui qui croit en Toi et parle de Toi avec ses mots d’enfants.  Au nom du Père par le Fils dans le St Esprit Amen +

LA PLUIE DE ROSES DE PETITE THERESE

 » La vie est ton navire et non pas ta demeure !…  » La sagesse aussi ne dit-elle pas que  » La vie est comme le vaisseau qui fend les flots agités et ne laisse après lui aucune trace de son passage rapide ?…  » Quand je pense à ces choses mon âme se plonge dans l’infini, il me semble déjà toucher le rivage éternel… Il me semble recevoir les embrassements de Jésus… Je crois voir ma Mère du Ciel venant à ma rencontre avec Papa… Maman… les quatre petits anges… Je crois jouir enfin pour toujours de la vraie, de l’éternelle vie en famille…

(Ste Thérèse de L’Enfant Jésus et de la Sainte Face)

 (Extrait de « Œuvres Complètes » aux Ed. du Cerf P 135, § 1) – source « Foi et contemplation »

LE MESSAGE POUR DEMAIN RECU AUJOURD’HUI DU BIENHEUREUX JEAN PAUL II

Le but précis de la catéchèse est de développer une foi encore balbutiante et de nourrir, jour après jour, la vie chrétienne du croyant.  Il s’agit de donner à la semence de foi semée par L’Esprit-Saint une possible croissance, dans la connaissance et dans la vie.  La catéchèse veut développer la compréhension du mystère du Christ, dans la lumière de la Parole de Dieu, de sorte que la personne entière soit pénétrée de cette Parole

ET CELUI DE JESUS A SR JOSEFA HIER RECU AUJOURD’HUI EN CE PUITS

Le Sceau de Dieu – décembre 1923

« Le Signe Je le donnerai en toi. »



communion humblement partagée en Jésus Miséricorde, par votre soeur Doris, en union bénie par L’Amour avec votre frère Maurice, en la maison de David, Ses serviteurs, pour la gloire de Dieu et le salut des hommes.

« Passe par le milieu de la ville, par le milieu de Jérusalem, et marque d’un Tau le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s’y commettent. »

(Ezekiel 9:4)

Par Ta Croix Seigneur Jésus, par qui le monde a été crucifié, et nous pour le monde, Tu nous appelles à être des ‘crucifix vivants’ dans le monde et des âmes miséricordieuses en Eglise, reflétant comme en un miroir, la bonté divine. Reçois notre joie de n’être rien d’autre que cela. Amen

Cher pèlerin,

« Que le Seigneur te bénisse et te garde. Qu’Il te montre Sa face Et te fasse Miséricorde. Qu’il tourne vers toi Son visage et te donne la Paix. »

Amen.

Nous remerçions ceux qui sur leur site donnent gratuitement accès aux visiteurs à leurs photographies et images diverses//nous en avons usées librement sur ce blog //merci de nous informer si par pur hasard nous en avons abusées sans votre consentement

Fraternité DIEU MISERICORDE chrétienne catholique & apostolique, au Puidamour, Ile Maurice engagée sur le chemin de L’Amour qui se veut pour TOUS pour montrer à tout homme qu’«il est aimé de Dieu et sauvé»

‘Venez et vous verrez’ – tout ce que est est pour la gloire de Dieu et le salut des hommes