le salut des âmes

Accueil Pourquoi ce puits ? Que nous sommesLa cruche t’y conduira

BON SAMEDI dans LE SEIGNEUR

Bénis sois-Tu Père pour toutes Tes œuvres – merveilles sur la Terre des vivants. Bénis sois-Tu pour Ta sainte présence Trinitaire dans nos vies et en ce puits. Privés de la communion Eucharistique, et de la Réconciliation en Eglise, Tu es venu T’offrir à nous en Ta Parole. Ains nous demeurons en Toi et Toi en nous pour toujours. Amen †

Que celui qui est arrivé jusqu’à ce puits entende ce qui est dit

‘VENEZ ET VOUS VERREZ’ !

Que celui qui entend dise aussi Venez ! Que celui qui a soif, vienne!

Que celui qui le désire, prenne de l’Eau de la Vie gratuitement!

(Ap.22,17)

«L’amour n’est pas aimé; l’amour dans ce monde est toujours crucifié»

frère François

Méditation : LE MENDIANT

Une Nouvelle page : EN ATTENDANT

LA COMMUNION DU JOUR

LE TEMPS DE L’AVENT

Le Temps de L’Avent n’est pas un temps qui passe et revient chaque année ! Il est une promesse d’un état constant d’éveil – le sortir de soi pour rencontrer DIEU en soi – à acquérir d’abord en veillant, en se prêtant au sommeil de reconstruction de soi et du monde autour de soi. Une fois l’éveil acquis, on n’attend plus le petit Jésus. On veille sur Lui tandis qu’Il veille sur le monde qui L’attend toujours.

Seule une vie de piété permet l’éveil ! Dieu EST en chaque prière, chaque oraison, chaque adoration, chaque lecture, chaque méditation, chaque contemplation, chaque discernement, chaque partage de Sa Parole, chaque émerveillement de Sa Grâce, chaque moment passé à parler de Lui…

Dieu est aussi en nos déceptions, nos colères, nos attentes des autres, nos frustrations… Nous sommes nos propres ennemis quand nous attendons trop de nous-mêmes et des autres, alors que TOUT EST GRACE en Celui qui EST GRACE !

Aujourd’hui encore Le Seigneur vient nous demande de VEILLER ! Cessons donc nos vaines attentes puisqu’Il est déjà là, en toute chose, en tout et tous !

TOUT EST GRACE !

« Cherchez et vous trouverez ; frappez et l’on vous ouvrira. » (Mat.7:8)

‘Cherchez en lisant, vous trouverez en méditant. Frappez en priant, vous entrerez en contemplant.’

Au nom du Père par le Fils dans le Saint Esprit – pour la gloire de Dieu et le salut des hommes Amen †

Seigneur, je ne suis pas digne de Te recevoir, mais dis seulement une Parole et mon âme sera guérie, prête à discerner dans la simplicité et l’humilité, Tes Saintes Paroles.

Prends, Seigneur et reçois, toute ma liberté, ma mémoire, mon intelligence et toute ma volonté; Tout ce que j’ai et possède, c’est Toi qui me l’as donné: A Toi, Seigneur, je le rends Tout est à Toi, disposes-en selon Ton entière volonté. Donne-moi, ton amour et ta grâce : c’est assez pour moi. (Ignace de Loyola)

Remplis ma bouche, ô Marie, de la grâce de ta douceur. Éclaire mon intelligence, toi qui as été comblée de la faveur de Dieu. (St Ephrem)

Textes liturgiques du jour

Isaïe 30,19-21.23-26.* Psaume 147* Matthieu 9,35-38.10, 1.6-8 « Jamais plus tu ne pleureras… Celui qui t'instruit ne se dérobera plus et tes yeux le verront…. Voici le chemin, prends-le !»« Le Seigneur rebâtit Jérusalem. Il rassemble les déportés.» « Voyant les foules, il eut pitié d'elles parce qu'elles étaient fatiguées et abattues comme des brebis sans berger. Il dit alors à ses disciples : « La moisson est abondante, et les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d'envoyer des ouvriers pour sa moisson. »

LE SAINT DU JOUR

SAINT FRANÇOIS XAVIER

Prêtre, Jésuite, Apôtre des Indes et du Japon, (1506-1552


François Xavier naquit en Navarre. Après de brillantes études au collège Sainte-Barbe, à Paris, il enseigna la philosophie avec un succès qui, en lui attirant les applaudissements, développa l’orgueil dans son cœur. Ignace de Loyola, converti, étant venu à Paris pour perfectionner ses études et cherchant à recruter des compagnons pour jeter les bases de la Compagnie de Jésus, s’éprit d’amitié et d’admiration pour ce jeune homme. Le 15 août 1534, sept jeunes gens, parmi lesquels Ignace et Xavier, prononcèrent leurs vœux dans une chapelle souterraine de l’église de Montmartre. La Compagnie de Jésus était fondée. Quelques années plus tard, Xavier, devenu prêtre était prêt pour sa mission. Quelle fut sa joie quand Ignace le désigna pour la mission des Indes ! Xavier commença par la conversion de Goa. Une mission finie, une autre l’appelait ; l’ambition du salut des âmes était insatiable dans son cœur. Il rencontra des difficultés incroyables, l’ignorance des langues, l’absence de livres en langues indigènes, les persécutions, la défiance et la rivalité des ministres païens. Xavier, par son énergie et le secours de Dieu, triompha de tout ; Dieu lui donna le don des langues, le pouvoir d’opérer des miracles sans nombre. Il évangélisa, en onze années, cinquante-deux royaumes et baptisa une multitude incalculable. Son plus beau et son plus difficile triomphe fut la conquête du Japon. Il aspirait à convertir la Chine, pour rentrer en Europe par les pays du Nord, quand Dieu appela au repos cet incomparable conquérant des âmes, qu’on a justement surnommé l’apôtre des Indes et du Japon.

source : Evangile au Quotidien

 

Il y a quelques temps de cela, mon père décédé tragiquement voici 3 ans, m’est venu en rêve. Il était désespéré.  J’en ai parlé à ma mère qui s’est chargée de faire dire des prières et des messes pour le repos de son âme.

Hier, pendant que je méditais, une photo de mon père s’est échappée de mon bréviaire.  Je l’ai mise devant moi et je l’ai regardé un long moment… puis mon cœur s’est attristé et mes larmes ont coulées… entre deux sanglots que j’arrivais à peine à retenir, j’ai dis tout haut : ‘papa tu es parti si vite, sans avoir eu le temps de nous dire au revoir… où es-tu maintenant ?’

Ce matin pendant l’oraison j’ai reçu ces instructions du livre de Ben le Sirac le Sage (38 :23) : « N’abandonne pas ton cœur au chagrin, écartes-le et souviens-toi de la fin. N’oublie pas qu’il n’y a pas de retour, tu ne seras d’aucune utilité au mort et tu te feras du mal. Souviens-toi que son sort sera aussi le tien : moi hier, toi aujourd’hui. Dès qu’un mort repose, cesse de songer à lui.  Console-toi de lui dès qu’il a rendu l’âme. » 

Je crois que le Bon Dieu veut me dire que l’âme de mon papa est aujourd’hui auprès de Lui, et que pour lui je n’ai plus de souci à me faire, ni de chagrin à avoir.  Je crois aussi qu’Il me demande en même temps de ne pas oublier les âmes qui ne sont pas encore revenues vers Lui, et celles qui sont encore sur la Terre à souffrir dans leur cœur et dans leur chair.

Ah comme Il est grand ce Bon Dieu qui a le souci des âmes !  Comme Il sait attirer notre miséricorde par les épreuves qu’Il nous confie.

La vie de saint François Xavier animée par Son Saint Esprit, était toute dévouée à ce Divin Projet.  On dit de lui qu’il avait ‘l’ambition du salut des âmes’, et que Dieu l’aidait dans ses démarches : l’ambition du salut des âmes était insatiable dans son cœur. Il rencontra des difficultés incroyables, l’ignorance des langues, l’absence de livres en langues indigènes, les persécutions, la défiance et la rivalité des ministres païens. Xavier, par son énergie et le secours de Dieu, triompha de tout ; Dieu lui donna le don des langues, le pouvoir d’opérer des miracles sans nombre. Il évangélisa, en onze années, cinquante-deux royaumes et baptisa une multitude incalculable.

Déjà les conseils prophétiques d’Isaïe annonçaient ce Divin Désir : Jamais plus tu ne pleureras. Quand tu crieras, le Seigneur se penchera vers toi. Dès qu’il t’aura entendu, il te répondra. Dans l’angoisse, le Seigneur te donnera du pain, et de l’eau dans la détresse. Celui qui t’instruit ne se dérobera plus et tes yeux le verront. Quand tu devras aller ou à droite ou à gauche, tes oreilles entendront celui qui te dira : Voici le chemin, prends-le ! Le Seigneur te donnera la pluie pour la semence que tu auras jetée en terre, et le pain que produira la terre sera riche et nourrissant. Ton bétail ira paître, ce jour-là, sur de vastes pâturages. 

Ceux du psautier Le chantait : Le Seigneur rebâtit Jérusalem, il rassemble les déportés d’Israël ; il guérit les cœurs brisés et soigne leurs blessures. Il compte le nombre des étoiles, il donne à chacune un nom ; il est grand, il est fort, notre Maître : nul n’a mesuré son intelligence. Le Seigneur élève les humbles et rabaisse jusqu’à terre les impies… 

Et Le Maître, Le Verbe Lui-même fait chair, Notre Seigneur Jésus-Christ dans Sa grande Miséricorde, vient de nouveau nous inviter à continuer à supplier le Père pour qu’Il nous donne les moyens de l’accomplir en Son nom et pour Sa Gloire : « La moisson est abondante, et les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. »

Dieu veut sauver les âmes !  Et Il compte sur Ses serviteurs et servantes pour L’aider dans Sa tâche.  En Son commandement, nous sommes tous responsables les uns des autres.  En Sa Loi, nous sommes tous responsables du salut des âmes des uns et des autres.  Faisons monter vers Lui notre prière :

Père,

A la demande de Jésus notre Sauveur, nous Te prions.  A cause de notre foi en Lui, Tu nous as dispensé de nos péchés et fais grâce de la mission de ramener à Toi les âmes perdues et égarées qui offensent le cœur sacré de Jésus.  Que celles que Tu nous envoies et que nous accompagnons selon Ta Sainte Volonté, en petits bergers disposés, deviennent elles-mêmes, selon Ta Sainte Puissance, ‘pécheurs d’âmes’.  Ainsi Père, le nombre d’ouvriers augmentera. Dans l’attente de Ton messager qui doit venir pour préparer la route à leur baptême, accorde à Tes serviteurs en ce puits, un petit pain de vie, qu’ils transformeront en eau vive pour eux-mêmes et pour les âmes qui viendront en demander :

 

« Cherchez-Moi et vous vivrez. »

Amos. 5,4

 

 

Merci Père, sois loué, sois béni, sois adoré pour Ton immense Bonté.

Chères petites cruches, chers pèlerins,

Cherchez Dieu est ce que nous devons faire, cherchez Dieu est ce que nous devons conseiller aux brebis égarées et perdues, et non les renvoyer dans l’oubli d’où elles sont sorties et retournerons si nous les rejetons !

Nous n’avons d’autre enseignement à donner que celui qui nous avons-nous-mêmes reçus, et le moyen mis en pratique pour y arriver :

« Celui qui s’applique à la loi du Très-Haut et qui la médite, cherchera à connaître la sagesse de tous les anciens et se consacrera à la lecture des prophètes. Il s’appliquera de tout son cœur à servir dès le matin le Seigneur qui l’a créé. Il présentera sa supplication devant le Très-Haut, il ouvrira la bouche pour la prière et il suppliera pour ses péchés.

Si le Seigneur tout-puissant le veut, il sera rempli de l’esprit d’intelligence, il répandra comme une ondée ses paroles de sagesse, et dans la prière il rendra grâce au Seigneur.

Il suivra le droit chemin dans ses décisions comme dans son savoir, et il méditera sur les secrets de Dieu.  Il fera connaître l’enseignement qu’il a reçu et mettra sa fierté dans la loi de l’Alliance prescrite par le Seigneur.

Beaucoup feront l’éloge de son intelligence ; et jamais on ne l’oubliera. Son souvenir ne disparaîtra pas, son nom vivra de génération en génération.  Les nations raconteront sa sagesse, l’assemblée proclamera ses louanges. » (Si.39)

Toutefois, nous ajouterons ceci en conseils fraternels : ne vous attardez pas sur les éloges que le monde vous fera quand vous serez parvenus à l’intelligence des Saintes Ecritures et à la sagesse qu’elle vous procurera.  Le monde est flatteur et tout flatteur dépend de celui qui l’écoute.  Hier le Bon Dieu nous a mis en garde contre la grosse tête et la folie des grandeurs.  Ne vous attardez pas non plus sur les critiques et les persécutions qui parviendront à vos oreilles pour vous déstabiliser et vous empêcher d’ouvrer. 

Chers tous, continuons à vivre de La Divine pensée en notre mission de ‘pécheurs d’âmes.’ Que nous soyons artisans ou scribes, demeurons humbles dans nos travaux, unis au côté transpercé de Jésus, et sous les manteau de Marie Sa mère.  Que nous travaillons de nos mains ou de notre intelligence, soyons pleinement chrétiens : prions en travaillant les uns pour les autres. 

Bientôt nous fêterons dans l’intimité de nos maisons intérieures et extérieures, cette sainte et douce nuit où Le Salut, dans la plus stricte humilité, est entré dans le monde.  Des humbles bergers comme des sages l’ont visité et l’ont adoré dans la simple foi qui leur disait : aujourd’hui un Sauveur vous est né ! Chers appelés, chers audacieux du salut des âmes, selon leur exemple, que tout ce que nous ferons pour ramener les âmes au Bon Dieu, nous le fassions dans l’oubli de nous-mêmes, pour Sa plus grande Gloire et leur salut.

Que Sa Paix demeure avec nous, au nom du Père, par le Fils dans le Saint Esprit Amen. T.

 

Seigneur, fais de nous des ouvriers de reconstruction

En Ta Maison …

Là où nous verrons la tiédeur, que nous réchauffions

Là où nous verrons le manque, que nous remplissions

Là où nous verrons le laisser aller, que nous redressions

Là où nous verrons la lâcheté, que nous bravions

Là où nous verrons les fermetures, que nous ouvrions

Là où nous verrons les fractures, que nous réparions

Là où nous verrons les blessures, que nous pansions

O Seigneur, que nous ne cherchions pas tant

à détruire qu’à reconstruire,

à diviser qu’à rassembler,

à perdre qu’à ramener

Car c’est en vivant pleinement tout cela, que nous Te ferons plaisir,

Et sauverons Ton Eglise !

C’est en ramenant à Toi Tes enfants que tous vivront éternellement

Endormis dans la piété et le recueillement !

Prière inspirée par frère François à notre Fraternité
Ce 18.11.2011

Chers pèlerins, priez avec nous à ces intentions – soyez bénis.

O Sainte Famille, en ce temps où en nos maisons, nous remplaçons La Sainte Croix par La Crèche de l’Humilité, venez nous visiter et combler le vide de la Passion par la Paille de la Joie.  Que ce temps où nous changeons de décor soit un temps de grâce qui nous encourage à nous humilier et reconnaitre nos torts.  Nous vous le demadons pour la plus grande gloire de Dieu et le salut des âmes. Amen. T


LA PLUIE DE ROSES DE PETITE THERESE

… ; je sentis naître en mon cœur un grand désir de la souffrance et en même temps l’intime assurance que Jésus me réservait un grand nombre de croix, je me sentis inondée de consolations si grandes que je les regarde comme une des grâces les plus grandes de ma vie. La souffrance devint mon attrait, elle avait des charmes qui me ravissaient sans les biens connaître. Jusqu’alors j’avais souffert sans aimer la souffrance, depuis ce jour je sentis pour elle un véritable amour.

(Ste Thérèse de L’Enfant Jésus et de la Sainte Face)

STEJ (Extrait de « Œuvres Complètes » aux Ed. du Cerf P 127, § 2) – source « Foi et contemplation »

LE MESSAGE POUR DEMAIN RECU AUJOURD’HUI DU BIENHEUREUX JEAN PAUL II

Notre espérance quotidienne nous dit que la vie est marquée par le péché et menacée par la mort, en dépit du bien qui bat dans nos cœurs et de l’aspiration à la vie qui court dans nos veines.  Nous découvrons que tout en nous entrave notre volonté de surmonter la tentation d’en rester à la surface, la tentation du désespoir.  C’est alors que nous sommes appelés à devenir les disciples de Celui qui, infiniment, transcende tout

ET CELUI DE JESUS A SR JOSEFA HIER RECU AUJOURD’HUI EN CE PUITS

« Pendant ces jours où Je suis tant offensé, Je veux que tu sois mon Cyrénéen.  Oui, tu M’aimeras à porter ma Croix.  C’est la Croix de l’Amour, la Croix de mon Amour pour les âmes !  Tu Me consoleras et tous deux nous souffrirons pour elles ! »


 

communion humblement partagée en Jésus Miséricorde, par votre soeur Doris, en union bénie par L’Amour avec votre frère Maurice, en la maison de David, Ses serviteurs, pour la gloire de Dieu et le salut des hommes.

« Passe par le milieu de la ville, par le milieu de Jérusalem, et marque d’un Tau le front des hommes qui soupirent et qui gémissent à cause de toutes les abominations qui s’y commettent. »

(Ezekiel 9:4)

Par Ta Croix Seigneur Jésus, par qui le monde a été crucifié, et nous pour le monde, Tu nous appelles à être des ‘crucifix vivants’ dans le monde et des âmes miséricordieuses en Eglise, reflétant comme en un miroir, la bonté divine. Reçois notre joie de n’être rien d’autre que cela. Amen

Cher pèlerin,

« Que le Seigneur te bénisse et te garde. Qu’Il te montre Sa face Et te fasse Miséricorde. Qu’il tourne vers toi Son visage et te donne la Paix. »

Amen.

Nous remerçions ceux qui sur leur site donnent gratuitement accès aux visiteurs à leurs photographies et images diverses//nous en avons usées librement sur ce blog //merci de nous informer si par pur hasard nous en avons abusées sans votre consentement

Fraternité DIEU MISERICORDE chrétienne catholique & apostolique, au Puidamour, Ile Maurice engagée sur le chemin de L’Amour qui se veut pour TOUS pour montrer à tout homme qu’«il est aimé de Dieu et sauvé»

‘Venez et vous verrez’ – tout ce que est est pour la gloire de Dieu et le salut des hommes