attente et rappel

« C’est le moment, l’heure est déjà venue de sortir de votre sommeil. Car le salut est plus près de nous maintenant qu’à l’époque où nous sommes devenus croyants. La nuit est bientôt finie, le jour est tout proche. Rejetons les œuvres des ténèbres, revêtons-nous des armes de la lumière. »

(Romains 13)

Viens, Seigneur,

ne tarde pas! 

“L’Eternel parlait avec Moïse comme un homme parle à son ami”

(Exode 33:11)


Acclamons La PAROLE DE DIEU

« Louange à toi, Seigneur Jésus » 

« Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc 13,33-37. 

Prenez garde, restez éveillés : car vous ne savez pas quand ce sera le moment. C’est comme un homme parti en voyage : en quittant sa maison, il a donné tout pouvoir à ses serviteurs, fixé à chacun son travail, et demandé au portier de veiller. Veillez donc, car vous ne savez pas quand vient le maître de la maison, le soir ou à minuit, au chant du coq ou le matin ; s’il arrive à l’improviste, il ne faudrait pas qu’il vous trouve endormis. Ce que je vous dis là, je le dis à tous : Veillez ! »  « 

MEDITATION

Bien chers frères et soeurs, chers amis pèlerins, comme vous le savez, notre Maître est en voyage. En quittant sa maison, souvenons-nous de ce qu’il a fait : Il a donné tout pouvoir à ses serviteurs, fixé à chacun son travail, et demandé au portier de veiller.

Chers amis, nous n’avons pas d’excuses, chacun a son boulot à faire que La Maitre Lui même a fixé de Son autorité ! C’est Lui qui décide qui fait quoi car il est Le Maître et en tant que tel, Il connaît tout un chacun.

Ainsi notre Fraternité, qui a reçue la mission de prier, ses membres ne s’arrêteront jamais de prier – chacun priera jusqu’à son dernier souffle, et moi, qui suis votre berger, j’ai le devoir d’y veiller. C’est un travail en plus qu’Il m’a confié. Je suis non seulement votre serviteur mais aussi votre portier ! Je dois non seulement prier et m’occuper en même temps du bon déroulement de la maison, je dois aussi veiller sur vous – m’assurer que vous êtes toujours en tenue de service – que Le Maître, à Son retour, qu’Il décide de rentrer le soir ou à minuit, au chant du coq ou le matin ne surprend aucun de vous entrain de dormir ou à faire autre chose que prier.

Mon travail est sans doute différent du vôtre, mais Le Maître à Son retour veut nous voir TOUS en tenue de service. Vis à vis de Lui, et aussi vis à vis de vous, puisque j’ai accepté l’engagement, j’ai un devoir, et je compte bien le remplir.

C’est pourquoi mes biens chers frères et soeurs en Fraternité, je vous demanderai d’être très fidèles à votre poste l’an prochain comme la plupart d’entre vous l’a été cette année qui se termine. Je vous demande de vous efforcer de répondre à l’appel à chaque fois que vous entendrez sonner la cloche.

Je dois a présent vous mettre en garde de quelque chose : Avant de partir, le Maître m’a prévenu qu’en son absence, il surgira de faux bergers qui essaieront de vous détourner du troupeau auquel vous appartenez. Alors si quelqu’un vous dit : “Voilà le Maître ! Il est ici ! Voilà ! Il est là-bas !”, ne le croyez pas. Restez groupés. Il en va de votre propre salut !

N’est ce pas Maître ? Toi qui en fermant les yeux sur les péchés de l’homme lui ouvre les yeux afin qu’il se repente, que dis-Tu Seigneur ?

Et Jésus, par la bouche de saint Paul en sa lettre aux Ephésiens (4), répondit :

« Je vous exhorte à vous conduire d’une manière digne de votre vocation : ayez beaucoup d’humilité, de douceur et de patience, supportez-vous les uns les autres avec amour ; ayez soin de garder l’unité dans l’Esprit par le lien de la paix. Comme votre vocation vous a tous appelés à une seule espérance, de même il y a un seul Corps et un seul Esprit. Il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême, un seul Dieu et Père de tous, au-dessus de tous, par tous, et en tous. (Ne vous laissez pas secouer) et mener à la dérive par tous les courants d’idées, au gré des hommes qui emploient la ruse pour nous entraîner dans l’erreur. Au contraire, en vivant dans la vérité de l’amour, vous grandirez pour vous élever en tout jusqu’à Moi qui suis la Tête, le Christ. Je vous le dis : vous ne devez plus vous conduire comme les païens qui se laissent guider par le néant de leur pensée. Ils ont l’intelligence remplie de ténèbres, ils sont étrangers à la vie de Dieu, à cause de l’ignorance qui est en eux, à cause de l’endurcissement de leur cœur. Mais vous, ce n’est pas ainsi que l’on vous a appris à Me connaître, si du moins l’annonce et l’enseignement que vous avez reçus à Mon sujet s’accordent à la vérité qui est en Moi. Il s’agit de vous défaire de votre conduite d’autrefois, c’est-à-dire de l’homme ancien corrompu par les convoitises qui l’entraînent dans l’erreur. Laissez-vous renouveler par la transformation spirituelle de votre pensée. Revêtez-vous de l’homme nouveau, créé, selon Dieu, dans la justice et la sainteté conformes à la vérité. Débarrassez-vous donc du mensonge, et dites la vérité, chacun à son prochain, parce que nous sommes membres les uns des autres. Ne donnez pas prise au diable. Que le voleur cesse de voler ; qu’il prenne plutôt la peine de travailler honnêtement de ses mains, afin d’avoir de quoi partager avec celui qui est dans le besoin. Aucune parole mauvaise ne doit sortir de votre bouche ; mais, s’il en est besoin, que ce soit une parole bonne et constructive, profitable à ceux qui vous écoutent. N’attristez pas le Saint Esprit de Dieu, qui vous a marqués de son sceau en vue du jour de votre délivrance. Amertume, irritation, colère, éclats de voix ou insultes, tout cela doit être éliminé de votre vie, ainsi que toute espèce de méchanceté. Soyez entre vous pleins de générosité et de tendresse. Pardonnez-vous les uns aux autres, comme Dieu, en Moi, vous a pardonné.

Amen Merci Seigneur.

Mes biens chers frères et soeurs, tout est dit + Rendons Grâce à Dieu pour ce Rappel qui tombe comme toujours a pic ! 

Maurice se joint donc à moi pour vous souhaiter avant toute chose un saint Temps de L’Avent, alors que nous attendons tous et avec grande impatience, de fêter comme Il le mérite, l’anniversaire de la naissance parmi nous de notre Maitre et Sauveur, Le Seigneur Jésus ! Louons Le Père pour Sa Grâce. Et profitons pleinement de ce Temps béni et accordé par Lui, pour revoir comment chacun de nous a vécu sa foi en cette année qui s’achève. Pour ma part, je dirai qu’elle m’a portée jusqu’à encore plus d’intimité avec L’Esprit Saint, ce qui n’est pas du tout pour me déplaire bien au contraire, mon âme exalte encore plus Le Seigneur, exulte mon esprit encore plus en Dieu mon Sauveur ! Car, en fermant les yeux sur mes erreurs, Il a ouvert les miens et je les ai vues, ce qui m’a incité au repentir et permis d’implorer Son Pardon, que par Sa Grâce de Miséricorde, me fut accordé.

N’est ce pas Seigneur ?

Et Le Seigneur répondit:

« Réjouissez-vous de ce que vos noms se trouvent inscrits dans les cieux. »

(Luc 10:20)

Ô Seigneur MERCI.

Chers amis, continons à Lui demander de nous montrer nos défauts, nos erreurs et à faire de nous Ses Instruments. En cette fin d’annee, soumettons nous encore plus à Sa Volonté. Qu’il fasse de chacun de nous ce qu’il Lui plaira ! Amen Alléluia +

Avec humilité,

Prions : 

 

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« Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,

Là où est la haine, que je mette l’amour. Là où est l’offense, que je mette le pardon. Là où est la discorde, que je mette l’union. Là où est l’erreur, que je mette la vérité. Là où est le doute, que je mette la foi. Là où est le désespoir, que je mette l’espérance. Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière. Là où est la tristesse, que je mette la joie.

O Seigneur, que je ne cherche pas tant à être consolé qu’à consoler, à être compris qu’à comprendre, à être aimé qu’à aimer. Car c’est en se donnant qu’on reçoit, c’est en s’oubliant qu’on se retrouve, c’est en pardonnant qu’on est pardonné, c’est en mourant qu’on ressuscite à l’éternelle vie. »

Prière de saint François d’Assises