L’avis… de Johnny

« C’est le moment, l’heure est déjà venue de sortir de votre sommeil. Car le salut est plus près de nous maintenant qu’à l’époque où nous sommes devenus croyants. La nuit est bientôt finie, le jour est tout proche. Rejetons les œuvres des ténèbres, revêtons-nous des armes de la lumière. »

(Romains 13)

Viens, Seigneur,

ne tarde pas! 

“L’Eternel parlait avec Moïse comme un homme parle à son ami”

(Exode 33:11)


Acclamons La PAROLE DE DIEU

« Louange à toi, Seigneur Jésus » 

Evangile de Jesus Christ selon saint Matthieu (18:12-14) En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Quel est votre avis ? Si un homme possède cent brebis et que l’une d’entre elles s’égare, ne va-t-il pas laisser les quatre-vingt-dix-neuf autres dans la montagne pour partir à la recherche de la brebis égarée ? Et, s’il arrive à la retrouver, amen, je vous le dis : il se réjouit pour elle plus que pour les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées. Ainsi, votre Père qui est aux cieux ne veut pas qu’un seul de ces petits soit perdu. »

MEDITATION

Mes biens chers frères et soeurs, bien chers amis, pèlerins de passage en ce Puits, j’ai fais pour vous, tôt ce matin, un petit résumé de La Volonté de notre Bon Dieu pour aujourd’hui à travers les Saintes Lectures choisie par Le Saint Esprit. Nous en parlerons après si cela vous dit, je vous donnerai mon avis et vous me donnerez le votre après avoir lu ce que Jésus aura répondu. Voici donc, pour aujourd’hui, ce résumé :

« Quel est votre avis ? … Votre Père qui est aux cieux ne veut pas qu’un seul de ces petits soit perdu. » (Mt 18) « Parlez donc au cœur des hommes, consolez mes enfants! Dites leur que Le Seigneur vient – dites : « Le voici le Seigneur Dieu ! Il vient avec puissance ; Comme un berger, il fait paître son troupeau : son bras rassemble les agneaux, il les porte sur son cœur, il mène les brebis qui allaitent. » (Is 40)

A présent je voudrai vous donner mon avis sur ce résumé qui dit en premier lieu ce que Dieu ne veut pas et ensuite ce qu’Il veut par rapport à ce qu’Il ne veut pas. J’aimerai souligner toutefois que j’ai pris en grande considération que toute Volonté de Dieu est indiscutable, et qu’une fois énoncée, il faut s’y soumettre et l’exécuter, tout comme on exécuterait les dernières volontés d’un homme qui, en s’apprêtant à mourir, a fait son testament et dicté ses dernières volontés en demandant à ses proches de bien veiller à ce qu’elles soient exécutées.

Ceci dit, ceci introduit en quelque sorte le sujet sur lequel je souhaite vous donner mon avis ce matin mes biens chers frères, en espérant qu’il ouvrira entre nous un dialogue.

Dieu s’adresse ce matin directement aux bergers de Son troupeau. Devant ce constat, j’avoue humblement ne pas avoir pu m’empêcher de faire une étroite relation à celui qui vient de perdre le sien en la personne de Johnny Hallyday. Et oui mes amis, il semblerait que même si sa dépouille repose ce matin en paix dans un petit coin de paradis dit saint Barthélemy, on ne cessera pas de parler de son âme qui vit désormais au grand Paradis dit Royaume des Cieux.

Johnny Hallyday est, comme tant d’autres avant lui, entré dans la légende des grands qui ont foulé notre Terre et y ont laissé des traces indélébiles à cause de leur bonté et de leur générosité de coeur, il n’y a rien que l’on ne puisse faire. Il a sans doute et sans le préméditer,  tout fait pour qu’il en soit ainsi.  

Chers amis, si je n’ai pas pu m’empêcher de faire cette étroite relation, c’est parce que Dieu Lui même me pousse à le faire. Il a parlé, j’ai écouté, et maintenant je vous en fais part, en vous partageant ce qu’il m’a donné de voir hier quand j’ai visionné à nouveau ‘l’adieu à Johnny‘.

Chers amis, j’ai vu une foule – « désemparée et abattue » – larmes aux yeux de chacun, non seulement de chagrin mais portant lourdement une question, que chacun mais tous unanimement portait dans le regard, sans même se rendre compte et sans doute par pudeur, en essayant désespérément de le cacher : « qu’allons nous devenir sans Johnny ? »

Cette foule que j’ai vu, est aujourd’hui comme celle qui suivait Jésus hier partout où Il allait. Une foule de gens avides, sans cesse affamés et assoiffés de Ses Paroles. Cette foule que j’ai vu à ‘l’adieu à Johhny’ est aujourd’hui elle aussi affamée et assoiffée de la voix qui s’est tue pour toujours et que chacun écoutera toujours, car tous l’ont toujours considéré comme un père, un frère, un ami, quelqu’un qui leur faisait du bien.

Cette foule est aujourd’hui « comme des brebis sans berger » (Mt.9) pour reprendre les Paroles du Maitre Lui même.

Le restera-t-elle pour toujours ? Là est la question ? Et mon âme crie: « Impossible, car ‘toujours’ rime avec ‘amour’ et Johnny qui aimait la rime, ne l’accepterait pas! »

Que faire donc pour aider ses brebis sans berger ? En bon disciple je dirai ce que mon Maître et aussi celui de Johnny, a conseillé à Ses disciples quand Il se trouva devant ces mêmes foules qui Le suivaient sans arrêt. Il a dit :

« La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. » (Mt.9)

N’est ce pas Seigneur Jésus ? Que dis-Tu ?

Et Jésus répondit :

« Le Seigneur a essuyé les pleurs sur tous les visages. Le soleil de justice se lèvera portant la guérison dans ses rayons. Une fois guérie, que cette foule rende grâce pour lui à son Père des Cieux qui a voulu votre Johnny ainsi, en l’épurant, l’éprouvant tant de fois « au creuset du malheur », et il en est sorti grand vainqueur. Que ceux qui l’aiment avec vous – foule aujourd’hui désemparée – demande à Dieu d’envoyer un autre de Ses messagers, afin que jamais Ses enfants de la Terre ne soit en manque de consolation, d’affection et d’amour ! Un autre grand de Ses enfants qui ont foulé votre Terre, a dit un jour ceci sous l’inspiration du Saint Esprit : « A Noël, ce prodige d’amour s’accomplit : Dieu est devenu l’un de nous pour nous aider à retrouver le chemin qui conduit au bonheur et au salut. » (JP11) Croyez ! Croyez que cette foule ne restera pas longtemps sans berger. J’y veille personnellement. La Terre est mon territoire. J’y suis venu, j’ai vu et j’ai conquis son ennemi. De l’amour toujours… Voilà ce que je dis aujourd’hui. Croyez ! Et ne pensez pas à votre Johnny comme étant le premier, l’unique, qui a fait battre votre coeur, ne pensez pas qu’il n’y en aura pas d’autre, car alors vous lui oteriez ses chances à lui d’être le premier là où Je Suis né. De l’amour, de l’amour, de l’amour, c’est ce qu’il aimait vous chanter… Alors ne le décevez pas, mais ouvrez votre coeur à celui qui viendra. Voilà.

Amen Alléluia MERCI Seigneur. Gloire à Dieu eu plus haut des Cieux.

Et Jésus ajouta :

Quant à toi fille rebelle dès le sein de ta mère, Je t’ai fait entendre dès maintenant des choses nouvelles, secrètes et inconnues de toi. C’est maintenant qu’elles sont créées et non depuis longtemps. « 

Oui Seigneur, merci Seigneur. Toutefois que dois je en faire ? Le proclamer, le garder pour moi ? Pour ne pas me tromper je ferai ce que Tu me diras…

Et Jésus répondit :

« C’est à la liberté que tu as été appelée. » Fais ton choix librement. Toutefois si j’étais toi, je demanderai à Johnny lui même son avis !

Oui Seigneur Merci Seigneur Jésus.

Johnny, que me dis-tu ? 

Et Johnny répondit :

 » Il faut que Lui grandisse et que moi je décroisse. »

(Jean 3,30)

Amen Alléluia, merci Johnny – humble amoureux de l’Amour jusqu’au bout, je te salue ! 

 

*(Is.25)(Ml.3)(Lc.13) (Is.48)(Ga.5)

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« Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,

Là où est la haine, que je mette l’amour. Là où est l’offense, que je mette le pardon. Là où est la discorde, que je mette l’union. Là où est l’erreur, que je mette la vérité. Là où est le doute, que je mette la foi. Là où est le désespoir, que je mette l’espérance. Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière. Là où est la tristesse, que je mette la joie.

O Seigneur, que je ne cherche pas tant à être consolé qu’à consoler, à être compris qu’à comprendre, à être aimé qu’à aimer. Car c’est en se donnant qu’on reçoit, c’est en s’oubliant qu’on se retrouve, c’est en pardonnant qu’on est pardonné, c’est en mourant qu’on ressuscite à l’éternelle vie. »

Prière de saint François d’Assises