Chemin de Jésus, mon chemin !

« A qui irons-nous Seigneur? Tu as les Paroles de La Vie Eternelle ! » (Jean 6:68)

PAROLES DE DIEU pour aujourd’hui

J’espère le Seigneur de toute mon âme ; je l’espère, et j’attends sa parole.

  • 1 Corinthiens 2,1-5.

    « que votre foi repose, non pas sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu. » 

  • Psaume 119(118)

    « c’est toi qui m’enseignes. »

  • Luc 4,16-30.

En ce temps-là, Jésus vint à Nazareth, où il avait été élevé. Selon son habitude, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture. On lui remit le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit : ‘L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés, annoncer une année favorable accordée par le Seigneur.’ Jésus referma le livre, le rendit au servant et s’assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui. Alors il se mit à leur dire : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre.» Tous lui rendaient témoignage et s’étonnaient des paroles de grâce qui sortaient de sa bouche. Ils se disaient : « N’est-ce pas là le fils de Joseph ? » Mais il leur dit : « Sûrement vous allez me citer le dicton : “Médecin, guéris-toi toi-même”, et me dire : “Nous avons appris tout ce qui s’est passé à Capharnaüm ; fais donc de même ici dans ton lieu d’origine !” » Puis il ajouta : « Amen, je vous le dis : aucun prophète ne trouve un accueil favorable dans son pays. En vérité, je vous le dis : Au temps du prophète Élie, lorsque pendant trois ans et demi le ciel retint la pluie, et qu’une grande famine se produisit sur toute la terre, il y avait beaucoup de veuves en Israël ; pourtant Élie ne fut envoyé vers aucune d’entre elles, mais bien dans la ville de Sarepta, au pays de Sidon, chez une veuve étrangère. Au temps du prophète Élisée, il y avait beaucoup de lépreux en Israël ; et aucun d’eux n’a été purifié, mais bien Naaman le Syrien.» À ces mots, dans la synagogue, tous devinrent furieux. Ils se levèrent, poussèrent Jésus hors de la ville, et le menèrent jusqu’à un escarpement de la colline où leur ville est construite, pour le précipiter en bas. Mais lui, passant au milieu d’eux, allait son chemin. 

– Acclamons cette Parole de Dieu

Gloire à Dieu qui envoie Sa parole sur la terre: rapide, Son verbe la parcourt. Amen Alléluia +


O R A I S O N

"Mais lui, 
passant au milieu d’eux, 
allait son chemin."

Avoir le courage de ses propres convictions qu’Il avait reçues de Dieu; avoir le courage de se tenir debout pour Lui devant les hommes; avoir le courage de proclamer devant tous que sa consécration Il l’avait reçue non des mains d’hommes, mais par l’onction et des mains de Dieu; avoir le courage au risque de se faire non seulement expulser mais tuer, de dire devant toute une assemblée qu’Il est envoyé par Dieu pour porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés, annoncer une année favorable accordée par le Seigneur’; ce courage qui vous dépasse et vous scotch, Jésus de Nazareth l’avait pleinement.

C’est ce courage qui m’a toujours inspiré et avouons-le sans crainte aujourd’hui, poussé et aidé à prendre mes distances de l’Église qui me juge et me rejette, pour suivre et vivre de et dans La Vérité.

Ce courage là, le courage de Jésus de Nazareth, j’ai toujours senti et je le sens encore aujourd’hui, est ce qui, depuis que je suis toute petite, m’accompagne, me guide, me soutient, me réconforte, me relève et fortifie ma foi, me donne courage de faire ce que je dois : nager contre le courant !

Un jour je le sais, quand le Bon Dieu aura jugé que mon âme sera arrivée à sa maturité pour le faire, je le déclarerai devant toute l’assemblée, sans orgueil de ma part, mais avec foi, reconnaissance et conviction.

Certes, je ne suis pas la seule au monde à dépendre du courage de Jésus pour survivre en notre monde. Oh que non ! Chaque homme, chaque femme de la Terre, devrait en dépendre, et de la même manière. De même, que chaque disciple de La Vérité, devrai pouvoir proclamer son appartenance sans honte au visage, pour transmettre la foi et rendre notre monde meilleur ! Car de nos jours, c’est vrai, porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés, annoncer une année favorable accordée par le Seigneur’; c’est vivre contre courant !

Mais c’est ainsi que vivent les vrais adorateurs de Dieu. Ils sont hélas peu nombreux car ils sont mal vu et mal perçu par la société. Avoir le courage de tout quitter pour vivre du courage de Jésus de Nazareth, que tout le monde voit quevotre foi repose, non pas sur la sagesse des hommes, mais sur la puissance de Dieu ; qu’il s’inspire à son tour de votre langage qui est différent, et découvre eux aussi la soif d’être élevés par Dieu, instruits par Son Saint Esprit, oui cela demande un courage qui n’est pas de ce monde.

La première à l’avoir reçu de Dieu, la première sur ce Chemin de foi, a été Marie – la Mère de Jésus de Nazareth, suivi de très près par Joseph – son père adoptif, ensuite est arrivé Jean – son cousin – envoyé lui aussi par Dieu pour préparer sa propre venue en Jésus de Nazareth – son unique Fils ! De Lui, de Jésus de Nazareth, sont nés plusieurs adorateurs, qui ont appris de Lui Le Métier, et ont reçu du Saint Esprit le courage de le pratiquer. De sorte qu’aujourd’hui, nous, en ce puits et en d’autres, nous en sommes les héritiers, par la foi !

Voilà comment cela s’est passé, comment le courage et la foi se propagent. Toutefois, pour reprendre les Paroles de notre Seigneur :

« la moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux ».

En effet, qui voudrait de nos jours passer ses journées à louer et à prier Dieu, à ne travailler que pour avoir l’essentiel – de quoi se nourrir, se vêtir, se soigner, afin d’avoir du temps pour se consacrer à Dieu en aidant son prochain, en travaillant pour que la Terre qu’Il nous a donnée soit un Paradis où il fait bon vivre, afin que tous les hommes soient heureux ? Hélas, le Mal gagne du terrain faute de valeureux guerriers pleins de courage et de foi ! L’homme abdique, il rend les armes.

Prends pitié de nous Seigneur. Souviens-toi de nous, mon Dieu, selon Ta grande miséricorde.

Et du haut du Ciel une Voix se fit entendre :

« A celui qui aujourd’hui désespère et perd courage, tu diras de la part de Dieu son Père des cieux :  »Ephphata », c’est-à-dire :  »Ouvre-toi ! » Ouvre moi ton coeur. Dis moi ce qui ne va pas. J’ai vu ta conduite, J’ai vu ce que tu as voulu faire par désespoir, parce que tu n’as plus la force de lutter, le courage de résister. Mais Je te guérirai, Je te conduirai et te prodiguerai le réconfort.  Je ne te condamne pas. Va, désormais, ne pèche plus, ne recommence plus ce jeu entre la vie et la mort. Choisis la vie ! La vraie ! L’éternelle vie avec Moi comme Rocher sur lequel tu me construiras une nouvelle Maison pour habiter. Avec Moi comme Papa que tu aimeras de tout ton coeur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. Avec Jésus de Nazareth Mon Fils bien aimé pour Berger qui te montrera à Me chercher avec simplicité de coeur parce que, au cas où tu ne le sais pas, Je me laisse trouver ! Plus tu Me rechercheras, plus Tu me demanderas sans relâche de te donner Ma force, plus Je me ferai encore plus proche que Je ne suis déjà de toi, et plus mon Esprit t’habitera. Alors tu sauras comment Me plaire, comment aimer et être aimé en retour, tu connaitras l’Amour qui surpasse tout, brave tout, conquiert tout, et plus jamais, par désespoir, tu n’attenteras à ta vie, pour Mon plus grand bonheur, le tien et celui de tous ceux qui verront les merveilles d’amour que J’aurai accomplies en toi et pour toi.

Oui Seigneur je lui dirai. Que Ton amour et la Vérité de Tes paroles le garde sans cesse ! Et Le Seigneur du Ciel répondit :

Tu lui diras encore ceci : « Le Seigneur sauve le pauvre par sa pauvreté. Il l’avertit de sa misère. » Si au’jourd’hui Je te montre ton péché, ce n’est pas pour prendre avantage de ta faiblesse ni pour me moquer de toi, mais afin de provoquer chez toi l’horreur de ton geste – que jamais plus tu ne voudras recommencer – que ton regret nécessaire et essentiel soit sincère pour t’obtenir la guérison ! Moi Je suis un Père, ton Père, c’est Moi qui t’a procréé, qui t’a fait et par qui tu subsistes. Je ne veux pas te perdre. Je veux que tu vives. Va ! 

Oui Seigneur je lui dirai. Je ferai même plus : au nom de l’Agneau que Tu nous as donné et qui enlève les péchés du monde, sous Ton ordre je lui imposerai les mains et chasserai ce démon. Oui Père, pour lui qui est mon frère dans le besoin, je le ferai si Tu me donnes Ta force, Ta puissance, Ton autorité, Ta lumière, Tes Paroles. Merci Papa. Amen +

Et Le Père se souvenant de son alliance, s’émut selon son grand amour et répondit :

MISERICORD ! Nul ne tiendra devant toi, tant que tu vivras. Je serai avec toi, comme j’ai été avec Moïse; je ne te délaisserai point, je ne t’abandonnerai point. Amen + Va ton chemin faire ce que tu dois. 

*Ne,13,22 *Mc,7,34 *Jn,8,11 *Is,57,18 *Mt, 22:37*Sg,1,2 *1Ch,16,11*Jb,36,15*Dt,32,6*Mt.18:14*Ps,106,45*Js 1:5