ME VOICI

Christ Pantracor – icône Zrze monastery

BON VENDREDI !

dans le Souffle de l’Esprit Prophétique !

« Et voici ma prière : que votre charité croissant toujours de plus en plus, s’épanche en cette vraie science et ce tact affiné qui vous donneront de discerner le meilleur et de vous rendre purs et sans reproche pour le Jour du Christ, dans la pleine maturité de ce fruit de justice que nous portons par Jésus-Christ pour la gloire et la louange de Dieu »
(Ph 1, 11).

Aujourd’hui encore, en notre exil, le Seigneur nous invite à COMMUNIER à Sa Parole

Avec bonté Seigneur, Tu nous invites ! Merci de nous lancer cet appel et de nous faire prendre conscience de la course folle dans laquelle nous sommes entraînés.  Aide-nous à nous arrêter, pour respirer, regarder, écouter, faire silence… Te rencontrer et Te prier.  Apprends-nous l’essentiel : non pas la course à l’argent et au bonheur futile, mais une confiance éperdue en Ton amour et en Ta miséricorde.

COMMUNION DU JOUR

« L’homme ne vit pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. »

Jésus-Christ, Luc 4,4

cette rose est pour toi emporte là elle contient l'amour du Christ pour toi

Le vendredi de la 14e semaine du Temps Ordinaire

lisons la Parole

méditons la Parole

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit,  amen +

Viens Esprit Saint embraser mon cœur du feu de Ton amour.  Eclairer mon intelligence d’un rayon de Ta Lumière.  Que je puisse discerner et connaître selon Ta Vérité, ce qu’aujourd’hui Tu veux me dire et partager au monde entier.

« Dieu l’appela dans une vision nocturne : « Jacob ! Jacob ! » Il répondit : « Me voici. »

La réaction est d’emblée. « ME VOICI ! » Nous constatons cette réponse plus d’une fois dans la Bible. A l’appel, l’appelé répond tout de suite !  Non seulement il répond, mais il vient, il accourt, il se place devant la voix qui l’a appelée et il attend !  Car il reconnait non seulement en elle, l’autorité, mais la plus haute Autorité – Celle d’un Maître – d’un Créateur – Celui du Ciel, de la Terre et de tout l’Univers qui se présente à lui : Dieu reprit : « Je suis Dieu…»

Ce Maître là l’appelle par son nom !  Pour Lui, il n’est pas un serviteur, mais un Père qui se présente à lui : « le Dieu de ton père ! »

Le Maître de l’Univers, le Père de tous les enfants qui habitent la Terre, appelle, non parce qu’Il désire qu’une tâche soit accomplie dans Son intérêt, mais parce qu’Il a une Parole à confier, un Enseignement à donner, un Conseil à procurer !  Mais d’abord Il rassure Son enfant : « Ne crains pas de descendre en Égypte … »

A cela, Il ajoute toujours une promesse, non pour appâter, mais pour récompenser.  Tout travailleur mérite un salaire en digne récompense : « car là-bas je ferai de toi un grand peuple. »

Le reste est affaire de celui qui reçoit la Parole, l’Enseignement, le Conseil émis !  S’il est disposé, il écoutera sagement et en fera son profit pour le moment !  S’il est dévoué, il poussera plus loin et exécutera à la lettre tout ce qui a été dit … et recevra sa récompense… en salut éternel : « Jacob partit… Quand ils furent arrivés, Joseph fit atteler son char et monta à la rencontre de son père Jacob. Dès qu’il le vit, il se jeta à son cou et pleura longuement dans ses bras. »

C’est ainsi qu’agissent l’Enfant et le Père qui vivent aux Cieux !  L’Enfant ne craint pas les hommes mais craint de ne pas faire assez pour plaire à Son Père!  Car le Père est toujours avec Ses enfants !  Il les envoie en mission pour Lui, mais ne les laissent jamais seuls !  Il les accompagne jusqu’au bout : « Moi, je descendrai avec toi en Égypte. Moi aussi, je t’en ferai remonter, et Joseph te fermera les yeux. »

Voilà bien La récompense qui vient des Cieux !  Le Fils assure en son obéissance envers le Père, et le Père est assuré de Sa descendance : Jacob dit à Joseph : « Maintenant que j’ai revu ton visage, je puis mourir, puisque tu es encore vivant ! »

C’est ainsi que cela se passe dans les Cieux !  C’est bien ainsi que cela devrait se passer sur la Terre, car la Terre et le Ciel ne font qu’UN en Celui qui leur a insufflé Son Souffle de Vie.

prions la Parole

Père, il y a quelques temps de cela, par l’entremise de notre sainte Patronne, Tu m’as fais connaitre Ton désir de me donner un nom, afin qu’à l’appel de ce nom je Te reconnaisse et réponde comme le font tous ceux que Tu appelles à Ton service !  Je me suis proposée Père en servante « Disposée ».  Mais aujourd’hui, après tout ce temps à me tenir ainsi – disposée, attachée au bon port à T’écouter me parler –  je pense comprendre que Tu m’appelles à pousser plus loin ma disposition : vers le large des actions !  Si ma pensée rejoint la Tienne, Père, fais moi connaître Ta Volonté et je L’exécuterai d’emblée !  Je me choisirai un autre nom à ajouter à Celui que Tu m’as déjà donné par Ta Grâce.  Par Jésus-Christ Ton Fils qui me dit Son épouse, je Te le demande bien humblement.

incarnons la Parole

A cette requête, le Père a tourné vers moi Son visage et d’un signe de la tête, répondit tendrement : « L’Esprit du Seigneur les menait au repos. » Isaïe, 63,14

Alors que je désire agir, Père voilà que Tu me conduis au repos.  Qu’est-ce que cela veut dire ?  Dois-je me contenter de profiter de Tes paroles, en me tenant toujours disposée, et jamais Les partager en actions ? 

Père, par pitié, une autre Parole et je comprendrai ma mission…

« Avant même que tu sois sorti du sein, Je t’ai consacré; comme prophète des nations, Je t’ai établi. »
Jérémie, 1,5

communions à la Parole

Chers frères et sœurs,

Je ne sais quoi dire car je n’osais le dire ! 

Par deux fois, vous le voyez, en Son pain quotidien, j’ai demandé humblement au Père de me confier ce que je dois faire de plus que je ne fais déjà pour Lui, et par deux fois Il a daigné me répondre – par l’entremise même de deux de Ses prophètes, qui ont tous deux, je vous le confie, contribués fortement dans le temps, à me conduire vers Lui – le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob !  Le reste de l’histoire…  vous la connaissez déjà car révélée maintes fois !

Devant autant de considération, je ne sais quoi dire ! 

‘Jamais deux sans trois’, nous dit l’adage !  Devrais-je demander au Père, une autre parole qui viendrait rétablir l’équilibre entre les deux déjà émises en Sa Grande Miséricorde, accomplir une bonne fois mes maigres écritures ?  Serais-je une si grande ingrate à ne pouvoir me contenter de ce qu’Il m’a déjà donné si généreusement ? 

Je ne sais toujours quoi dire, pardonnez-moi mon insistance !

Dis : « ME VOICI » !  me répondit la Voix à l’intérieur de moi !

Alors chers frères et sœurs, chers pèlerins, me voici !  Je me tiens devant le Père, et je me tiens devant vous.  Prophète dans la lignée je le suis, prophète, je ne serai pas plus !  Mais avant de poursuivre ma mission bien définie, je vous livre ce qu’elle est en Vérité, avant que, confondus, vous ne m’en croyiez pas digne !

Prophète je le suis maintenant, au repos de mes années déjà bien entamées, ce n’est pas là ma volonté car je vous assure que je me serai bien passée de la lourde tâche de passer la plupart de mon temps, en ‘dérangée’ de ce temps !  A cette mission j’ai été appelée, sans m’en rendre compte, depuis ma naissance !  Aujourd’hui quand je regarde le chemin fait, je le sais, et je redis : ME VOICI, comme aujourd’hui !

Frères et sœurs, pèlerins, ne me confondez pas, je ne suis guère une voyante !  Je parle, je parle et je parle, mais je ne vois pas la plupart du temps, ce que je dis !  Ce que je dis ne m’appartient pas – il est déjà au passé, et je le dis au présent car il appartient déjà au futur !

Je suis depuis ma naissance, ce que mes parents appellent ‘un beau parleur’ !  J’ai ‘la jappe’, comme me dit encore ma maman !  Ne croyez pas que cela me plaise tout le temps.  Il y a dès fois où je me dis après avoir parlé, que j’ai perdu l’occasion de me taire, car je vois dans le regard des gens qui écoutent que j’ai saisi leur attention au-delà, et je crains de déranger plus que ça !  Mais cela est plus fort que moi.  Les paroles sortent de ma bouche et interpellent ceux qui écoutent !  Croyez que ce n’est pas de ma faute. J’ai par maintes fois demandé au Seigneur de me rendre muette car je suis loin d’être ce que je désirais être : une douce épouse, mère et grand-mère, qui passe dans la vie en s’occupant de sa maisonnée et de son jardinet !  Or tout cela m’a été donné, et je rends grâce pour l’amour reçu et rendu. Mais, les années passant, je me suis rendue compte que l’appel ne me gardait pas près d’eux mais au contraire m’en éloigner peu à peu.  J’en ai souffert, croyez-moi, car je ne comprenais pas le sens ni la tournure que prenait ma vie, pensant que j’étais moi-même une malchance,  jusqu’au jour où Il s’est penché sur Son humble servante déjà bien disposée et en a fait une épouse pour Son Fils Bien Aimé.  Depuis lors, depuis qu’Il est entré dans ma vie Il n’en est jamais ressorti !  Parlez moi de malchance aujourd’hui, et je vous assure que j’agirai : je vous interdirais l’accès !

Car, chers tous, maintenant je comprends tout car je sais tout ! 

Je sais ce que je dois connaitre et pas plus !  Pour moi, c’est tout, c’est toute une vie, passée, vécue, et vivante !  Que je le veuille ou non, que les autres veuillent me fassent taire, moi je sais que je me dois de parler, de témoigner, d’annoncer aussi quelques fois !  Oui cela m’arrive d’annoncer, quitte à passer pour une dérangée, parce que tout prophète vous dira qu’il est au devant de son temps parce qu’il vit déjà avec le Temps – il en est le rapporteur !  C’est comme cela que je me sens la plupart de mon temps… C’en est bien  là une souffrance bien plus qu’autre chose, croyez moi, mais une douce souffrance qui est partagée, un joug léger à porter, car alors… quelle récompense après la souffrance ! 

Cette récompense est un repos dans la paix, qui vient de Dieu en Christ, et qui ne se donne pas de la façon que le monde donne !  La paix de Dieu se mérite à travers la souffrance, et ne se donne jamais avant l’accomplissement du devoir bien fait !  C’est comme cela que le Bon Père traite Son enfant !  Il ne lui dit pas : ‘si tu fais, tu auras’ !  Mais : ‘voilà ce que Je te propose de faire et tu sais que Je suis Le Bon Berger, Je ne te mènerai pas en enfer !  Mais Je t’aime et Je te laisse libre de faire comme tu veux !  Sache toutefois que si ta liberté de choix n’a mené là où ne doit pas, tu auras de Moi,  ta récompense, parce que Je ferai de sorte que, pas aujourd’hui mais demain, tu connaisses et reconnaisses tes erreurs, et fasses ce que Je t’avais proposé dans le passé !’ 

Le Père ne laisse jamais Son enfant sur sa faim surtout quand ce dernier Lui a désobéi et en a besoin !  A tous Ses enfants prodigues, Il les mène aux soins intensifs afin qu’ils apprennent à Le découvrir, apprécier ce qu’IL EST en Vérité pour mériter intensivement, la récompense divinement prévue, toute achetée, toute emballée depuis le premier cri poussé, déjà prête à être délivrée au moment venu, choisi par Lui ! 

A l’Ecole du Père tout s’apprend parfaitement, tout se donne parfaitement, tout est PARFAIT ! 

Cet espace inter net, dont la gérance est confiée à l’Esprit Parfait, avec l’appui considérable d’un époux choisi par Lui, en est la preuve vivante !  Il est comme les autres œuvres instituées : un cadeau béni des Cieux. 

Mais savez-vous combien de fois j’ai désiré le fermer, histoire de craindre de déranger les gens ? Mais s’il est toujours vivant, ce n’est par mes moyens ni mon vœu, ni le vôtre par-dessus le marché, croyez-le bien ! Mais bien parce qu’il y a un Souffle qui le pousse en avant … vers le large du plus fort que moi, que vous et moi : Celui de notre Père des Cieux.  C’est devant Lui que je m’incline chaque matin pour recevoir de Ses mains le pardon de trop attendre des autres, ce qu’Il peut me donner ici-même en satiété !

La preuve ce matin encore m’a été donnée ! Alors qu’hier j’étais de nouveau tentée de tout abandonner, d’aller ailleurs pour recevoir, car je suis fatiguée de donner, c’est bien vrai, Jésus m’a dit en Son nom : « Cet espace est un Puits d’Amour !  Ta maison porte ce nom, tout autour de toi porte ce nom, c’est l’œuvre du Père, non le tien !  Alors pourquoi aller chercher ailleurs ce que tu n’as jamais trouvé à force d’expérimenter ?  Contente toi de le remplir, ton puits, avec tout l’Amour qu’Il te donne  jour après jour ! »

Si je vous rapporte ces mots, croyez que c’est en toute humilité que je le fais, car là est aussi une branche de ma mission : rapporter ce qui m’est dit dans l’intimité de mes oraisons !  Je ne le fais pas souvent, je m’en excuse devant Dieu et devant vous !  J’ai encore en moi la peur de choquer les gens, et cette peur me retient !  Mais, aujourd’hui est un nouveau jour, demain aussi le sera !  Alors on verra jusqu’où l’Esprit m’enverra – certainement au dépassement de mon moi – imbécile et inconscien !

Mais en attendant que sonne le glas de demain, chers tous, me voici, devant vous, comme je suis, fille prodigue, rescapée en sa pleine conscience, de l’enfer de la crainte du monde !

Me voici, mais je ne suis pas seule !  Avec moi est Lui qui aura toujours sur moi, sur vous, sur eux, sur nous tous, le dernier mot ! 

A Lui donc la dernière Parole que j’attendais, que je n’osais demander par crainte de passer pour ingrate vis-à-vis du Père !  Elle était là déjà prête, toute emballée !  Elle est de Lui – VERBE INCARNE,  qui vient de la part de Notre Père, pour nous sauver de notre humanité. Laissons donc parler le plus grand des prophètes que toute l’Humanité n’aie jamais porté en Son Sein.  Son  nom est Christ, Jésus de Nazareth, Messie non reconnu de Son propre peuple, Fils du Dieu vivant en Son incarnation et en Sa Résurrection.  Celui-là même en qui nous avons mis toute notre confiance ! 

Chers amis c’est bien de Lui que nous vient ce que nous n’avons pas besoin de demander, mais simplement à recevoir en miséricordieuse gratuité !

Ecoutons-Le en Sa Divine Intégralité ! Il y a là un témoignage non seulement pour moi et pour vous, mais pour eux, et pour les païens ! 

« Jésus disait aux douze Apôtres :  » Voici que je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc adroits comme les serpents, et candides comme les colombes. Méfiez-vous des hommes : ils vous livreront aux tribunaux et vous flagelleront dans leurs synagogues. Vous serez traînés devant des gouverneurs et des rois à cause de moi : il y aura là un témoignage pour eux et pour les païens. Quand on vous livrera, ne vous tourmentez pas pour savoir ce que vous direz ni comment vous le direz : ce que vous aurez à dire vous sera donné à cette heure-là. Car ce n’est pas vous qui parlerez, c’est l’Esprit de votre Père qui parlera en vous. Le frère livrera son frère à la mort, et le père, son enfant ; les enfants se dresseront contre leurs parents et les feront mettre à mort. Vous serez détestés de tous à cause de mon nom ; mais celui qui aura persévéré jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé. Quand on vous persécutera dans une ville, fuyez dans une autre. Amen, je vous le dis: vous n’aurez pas encore passé dans toutes les villes d’Israël quand le Fils de l’homme viendra. » Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 10,16-23.  

Le travail du prophète est fait !  Il n’ajoutera rien à ce qui est dit aujourd’hui, car tout est dit, de ce que le monde doit savoir, connaitre et reconnaitre, pour toujours !

Une seule louange néanmoins est permise au prophète, pour terminer !  Elle suffira, au nom du Père, du Fils, du Saint Esprit, à rétablir la situation commencée !

rendons grâce à la Parole

Le monde est exigeant – Le monde est extravagant

Son cœur est bien souvent compliqué

Il est si malade de ses pensées !

Le prophète qui lui vient de Dieu – a envers Lui, la lourde tâche

De l’en signaler, l’en dissuader !

Dénonçant ainsi le constat – il fait à ses dépens,

L’expérience du néant :

Un jour il sait, Demain il doute,

Parce que dans son passé

Il s’est laissé tenter !

Il est né vermisseau Un grain de poussière sur la Terre

Un abri sans refuge Une arme sans couteau

Le prophète n’est qu’une larme dans un grand océan de MISERES

Sa vie se passe à analyser le présent pour en faire le futur qui est déjà vécu

Le prophète est bien souvent en dehors du présent !

Mais pour en être un Parfaitement et dignement, selon le Bon Dieu qui le désigne

Il doit se résigner à grandir,

Quitter le monde exigeant, extravagant

Où rien ne lui est conté que tentations en tous genres ! 

Qu’apprendrai-t-il au monde s’il reste dedans ?

Le prophète vit en exilé, la plupart de son temps !

Ses journées se passent en silence,

Parler est sa mission,  

Dévoiler ce qui n’est pas perçu !

Qui aurait pensé, en le voyant ?

Le prophète de Dieu vit, pense et ressent – Il n’est ni devin ni voyant !

En son exil, lui parviennent la plupart de ses sens

Ce qu’il doit lire, écouter, écrire, dire et proclamer

En libres paroles divinement  instituées !

Quelles sont-elles ?  Que contiennent-elles ?

Sinon bien évidemment Les Vérités qui parlent de Dieu !

D’un Dieu miséricordieux

Qui n’abandonne jamais Ses enfants

Sur la route de la faim

Mais fait route avec eux !

Tel est le prophète de Dieu Lui-même miséricordieux

Il accepte maintes fois de tomber Et de se relever pour la mission confiée !

Tel est le prophète de Dieu Lui-même humble et miséricordieux

Aujourd’hui consacré, il accepte de se laisser dire : bouffon !

Car demain il sait qu’il aura mérité ce qu’hier lui a été promis !

Tel est le prophète de Dieu Qui a la foi plus petite qu’une graine de moutarde

Elle roule parfois là où on ne la voit pas ! Mais jamais ne se perd !

Car Dieu ne tarde pas à la retrouver ! Pour Lui la mission doit continuer !

Là est sa destinée,

Et aussi sa récompense !

Proclamer la Vérité est son lot  : Un Dieu tout miséricordieux  en Jésus-Christ le Seigneur

Offre aux exigeants et méchants Un monde renouvelé à bâtir et vivre sans tarder

Sous le Grand Chapiteau des Sens ! Là où tout se dit, s’adore et se vit En Esprit  … Comme en Vérité !

Laissez faire le prophète, ne lui barrez pas la route, laissez le faire, laissez le parler… Il ne sait faire que ça… Il a été créé pour ça… Il n’invente rien… Tout lui vient… d’Un Esprit plus fort que lui… qui le conduit !  Un prophète ne meurt pas ! Il en est incapable car il vient de la Vie, pour la Vie ! 

Le prophète est incapable de dire autre chose à l’Esprit qui l’habite, que ces paroles archi dites ME VOICI Seigneur, parle Ton serviteur écoute !

Au nom du Père, du Fils, du Saint Esprit, Amen +


communion humblement partagée par votre soeur Doris, en union avec votre frère Maurice, en la maison de David, Ses serviteurs.

« Que le Seigneur te bénisse et te garde ! Que le Seigneur fasse pour toi rayonner son visage et te fasse grâce ! Que le Seigneur te découvre sa face et t’apporte la paix ! » 
(Nb 6, 23-27).

Une réflexion au sujet de « ME VOICI »

  1. Jetons-nous dans les bras du Seigneur…

    Si,2,18

    Quoi que l’on fasse dans la vie, faisons le avec le Seigneur dans notre coeur qui agira en nous avec douceur et nous protegeras de notre enemi, le Mal, tel un bouclier impenetrable

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