beaucoup donné beaucoup confié beaucoup souffert

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PAROLES DE DIEU

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 12,39-48.
Jésus disait à ses disciples : « Vous le savez bien : si le maître de maison connaissait l’heure où le voleur doit venir, il ne laisserait pas percer le mur de sa maison. Vous aussi, tenez-vous prêts : c’est à l’heure où vous n’y penserez pas que le Fils de l’homme viendra. » Pierre dit alors : « Seigneur, cette parabole s’adresse-t-elle à nous, ou à tout le monde ? » Le Seigneur répond : « Quel est donc l’intendant fidèle et sensé à qui le maître confiera la charge de ses domestiques pour leur donner, en temps voulu, leur part de blé ? Heureux serviteur, que son maître, en arrivant, trouvera à son travail. Vraiment, je vous le déclare : il lui confiera la charge de tous ses biens. Mais si le même serviteur se dit : ‘Mon maître tarde à venir’, et s’il se met à frapper serviteurs et servantes, à manger, à boire et à s’enivrer, son maître viendra le jour où il ne l’attend pas et à l’heure qu’il n’a pas prévue ; il se séparera de lui et le mettra parmi les infidèles. Le serviteur qui, connaissant la volonté de son maître, n’a pourtant rien préparé, ni accompli cette volonté, recevra un grand nombre de coups. Mais celui qui ne la connaissait pas, et qui a mérité des coups pour sa conduite, n’en recevra qu’un petit nombre. A qui l’on a beaucoup donné, on demandera beaucoup ; à qui l’on a beaucoup confié, on réclamera davantage.

MEDITATION

Chers frères et sœurs de la Terre,

Que La Paix soit avec vous en ce matin ensoleillé ! Rendons grâce à Dieu.

Quand j’ai quitté ma petite île pour me rendre en Angleterre et commencer une nouvelle vie avec Maurice, l’époux que Dieu m’a choisi, je me souviens de la crainte qui alors m’habitait car je savais que dans sa famille, j’aurai eu des difficultés à me faire ‘accepter’.

Avant de quitter le pays, j’avais acheté un livre pour me tenir compagnie dans l’avion qui me conduisait jusqu’à lui, et en même temps me changer les idées, me détendre. Ce livre s’intitulait : « Mère Teresa, foi et compassion »

Quand tout fut calme à 13 000 mètres d’altitude, je l’ai retiré de mon sac et ouvert au hasard. La première parole que j’ai lue m’a atteinte en plein cœur ! Elle était comme une révélation – une autre – qui me tombait directement du Ciel ! Mère Teresa l’avait elle-même reçue comme telle de sa mère quand elle l’annonça ‘qu’elle ressentait une profonde joie dans la perspective de servir Dieu’. L’auteur du livre raconte qu’à cette déclaration de mère Teresa, sa mère ‘garda le silence, alla s’enfermer dans sa chambre où elle passa de longues heures dans la prière et la contemplation. Finalement elle sortit, elle étreignit la main de sa fille et lui dit ‘ : « Mets ta main dans la Sienne et fais ton chemin avec Lui ». *

J’ai eu alors la profonde conviction que Le Père Lui-même S’adressait de nouveau à moi pour m’encourager à faire mon chemin avec Maurice. Par cette parole priée, je savais que malgré les difficultés que nous devions encourir, tout se passerait bien.

Savoir que Dieu approuvait notre amour était pour moi un soulagement extrême, une joie indescriptible, une paix parfaite. Et c’est ainsi que j’ai commencé ma nouvelle vie sachant au fond de mon cœur qu’une mission m’attendait au bout.

Je n’ai jamais douté que depuis toute petite Le Bon Dieu était avec moi. Je l’ai toujours ressenti au plus profond de mon cœur. Malgré les nombreuses déceptions amoureuses, je savais qu’un jour je serai heureuse en amour. J’aime à penser et à dire que finalement je suis tombée dans la marmite !

14 ans ont passé depuis ce moment béni vécu entre Ciel et Terre, depuis ce moment où une parole est venue m’encourager, me soutenir, me donner la confiance dont j’avais tellement besoin et que j’avais perdue ! Entre Ciel et Terre, c’est bien là que depuis je vis. Et plus le temps passe et plus je me rends compte que je m’attarde au Ciel. Quand je redescends sur Terre c’est pour accomplir la mission, mais bien vite après, je m’évade pour retrouver le Ciel.

Depuis ce jour béni où Il S’est penché sur moi, Dieu m’a fait grâce de beaucoup d’autres Paroles de Bénédiction qui me soutiennent en la mission de salut et de guérison des âmes qu’Il m’a assignée. Aujourd’hui encore Il revient pour me rappeler à Son bon souvenir :

« N’aie pas peur ! Ouvre toutes grandes les portes à Mon Fils » *

C’est pourquoi, je n’arrête pas de venir vers vous mes chers frères et sœurs, pour vous offrir les mêmes Grâces que je reçois, dans l’Espérance que vous saurez les accueillir humblement et dans le repentir s’il le faut. Vous êtes Ses fils, vous êtes Ses filles ! N’ayez pas peur d’ouvrir les portes de vos cœurs, celles que vous avez verrouillées, cadenassées, celles dont vous avez même jeté les clefs, par dépit, par orgueil, par fierté mal placée, par esprit de vengeance, ou alors de contradiction, de jugement, de condamnation aussi, que sais-je ! N’ayez pas peur de vous laisser toucher par La MISERICORDE ! N’ayez pas peur de faire miséricorde. Ce sera peut-être l’unique bonne chose que vous aurez accomplie de toute votre vie ici-bas, mais ce sera sans aucun doute la meilleure qui vous obtiendra votre passeport pour celle à venir.

Chers amis, nous savons que c’est LA MISERICORDE que Dieu veut. Là est Sa Volonté, nous le savons. C’est pourquoi notre Seigneur de nouveau en Son Evangile ce matin attire notre attention sur un fait que nous ne devons jamais ignorer mais toujours nous rappeler pour Sa plus grande gloire et notre salut ! Ecoutons Le quand Il dit que « le serviteur qui, connaissant la volonté de son maître, n’a pourtant rien préparé, ni accompli cette volonté, recevra un grand nombre de coups. Mais celui qui ne la connaissait pas, et qui a mérité des coups pour sa conduite, n’en recevra qu’un petit nombre. »

Oui les amis, à vous que l’on a beaucoup donné, on demandera beaucoup ; à vous que l’on a beaucoup confié, on réclamera davantage !

Cette Parole est de Vérité et elle vous libèrera si vous apprenez à bien la discerner. Ce n’est certes pas pour rien que notre Seigneur Jésus nous a appelés comme jadis Il a appelé les 12 en leur donnant l’autorité sur les esprits impurs pour qu’ils les chassent et qu’ils guérissent toute maladie et toute infirmité. (Mt.10) Mais, n’ayez pas peur de faire Ses œuvres et plus encore ! Il vous a promis qu’Il sera avec vous jusqu’à la fin, et Il tient toujours Ses promesses. Notre bonne mère Teresa et son œuvre, en sont la preuve ! Bien sur que la charge de travail était lourde, bien sur qu’elle a souffert pour l’accomplir chaque jour, mais le joug était léger, je suis certaine qu’elle ne l’a jamais oublié et qu’elle s’en est servi à chaque difficulté qu’elle rencontrait !

Chers amis, quand j’ai commencé ma mission pour Le Royaume, Le Seigneur Jésus m’a dit : Mon épouse, sois sans crainte ! Charité bien ordonnée commence par soi, tu va donc commencer par le commencement, c’est-à-dire par toi d’abord ! Un aveugle ne peut conduire un autre aveugle, les deux tomberont dans le fossé ! (Lc.7) Laisse-Moi t’instruire de La Bonne Nouvelle que Je suis venu porter au monde entier. Ouvre-Moi toutes ces portes que tu as verrouillées, et laisse-Moi pénétrer tes ténèbres ! Comme Le Père a dit, dis toi aussi : « Que La Lumière soit ! » (Gn.1) Et La Lumière en toi Se fera, et tu deviendras, comme l’œuvre de ta bonne mère Teresa, une lumière vive et brillante dans une sombre époque *, une époque où la chair est reine et l’impiété est roi ! Fais-moi confiance.

Et je Lui ai fait confiance. Me voici aujourd’hui, devant vous à vous confier tout ceci afin que vous aussi vous vous abandonniez à Lui et Lui fassiez entière confiance. C’est Lui votre Sauveur. Confiez Lui tout et Il se chargera de tout. C’est ce qu’à voulu dire le saint patron de ce puits quand il a dit : N’ayez pas peur d’ouvrir toutes grandes les portes au Christ !

Chers frères et sœurs, priez maintenant avec moi.

A présent Père très Saint, puisque Tu m’as accordée le droit et l’autorisation d’accéder auprès de toi en toute confiance, je viens audacieusement mais humblement Te demander de bénir cet écrit qui contient mes propres souffrances, mes propres blessures passées, et que Tu as Toi-même cicatrisées, guéries. Sans cesse mon âme T’exaltera et mon esprit exultera en Toi, mon Dieu mon Sauveur. Qu’en Le Saint Nom de Jésus-Christ et dans le Saint Esprit qui vous uni, il touche en temps voulu, un ou plusieurs cœurs encore emprisonnés des ténèbres de l’impiété et de la malveillance. Qu’il devienne pour eux, comme il est pour mes amis ici présents, leur part de blé : grâce et vérité. Amen +

A cette prière, Le Père fit ouvrir Son Ciel, qui laissa tomber une Parole ! Cette Parole vint se reposer sur le rebord de ce puits, et en Elle, contenait une Divine Bénédiction :

« Sois sans crainte, que tes mains ne défaillent pas. Le Seigneur ton Dieu est au milieu de toi en héros, en vainqueur. Il est tout joyeux à cause de toi, dans son amour, il te renouvelle, il jubile et crie de joie à cause de toi ! »

Sophonie 3 :16-17

 

Merci mon Dieu, j’exulte de joie !

Soyez bénis frères et sœurs, vous qui avez la primeur, vous qui êtes au premier rang de quelque chose de grand en un si petit puits ! Car à chaque fois que La Parole de Dieu S’incarne ainsi, c’est Lui qui Se tient au milieu de vous. Quelle chance que nous avons en ce puits de jouir chaque jour de Sa Présence Vivante et Agissante. Bénissons Le Seigneur qui nous aime et nous conduit.

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Et toi petite sœur, que nous me dis-tu aujourd’hui ?

Elle me parla de la lettre d’un prêtre qui disait que la Sainte Vierge ne connaissait pas par expérience les souffrances physique. En regardant la Sainte Vierge ce soir, j’ai compris que ce n’était pas vrai ; j’ai compris qu’elle avait souffert non seulement de l’âme, mais aussi du corps. Elle a souffert beaucoup dans les voyages, du froid, de la chaleur, de la fatigue. Elle a jeûné bien des fois… Oui, elle sait ce que c’est que de souffrir… **

Amen ! ALLELUIA ! Merci petite sœur chérie de mon cœur.

Frères et sœurs, si notre petite sœur du Ciel nous parle de notre sainte Mère Marie, Mère de notre Seigneur Jésus-Christ, si elle nous parle de ses souffrances non seulement spirituelles mais aussi physiques, c’est afin que celui ou celle d’entre vous qui recevrez cet écrit au moment d’une souffrance quelconque, spirituelle ou physique, soit encouragé à tenir bon.

Dieu n’abandonne pas Ses enfants. Il n’a pas abandonné Marie, Il ne vous abandonnera pas non plus. Parce que Marie, et il est bon que vous le sachiez ou que vous vous le rappeliez, parce que Marie, au Ciel où elle vit aujourd’hui dans le bonheur, la joie et la paix, Marie prie pour vous, pour chacun de vous ! Rendez grâce pour elle qui se donne tant de peine alors que trop souvent, vous l’ignorez. Rendez-lui sa place dans votre cœur et dans votre vie. Marie est présente en même que Jésus-Christ. A chaque fois qu’Il EST, elle EST aussi ! De même qu’à chaque fois qu’Il EST, elle EST aussi. Ces deux cœurs unis ne se sépareront jamais. Ils sont inséparables ! En Dieu, ils font une Sainte Trinité que L’Ennemi ne pourra jamais détruire. Aimez Marie ! Rendez-lui sa place chez vous ! Ouvrez-lui votre cœur et laissez-la entrer et faire pour vous les mêmes merveilles que Dieu a faites pour elle. Elle en a reçu l’autorisation !

Notre Père qui est aux Cieux…
Réjouis-toi Marie comblée de grâces…
Gloire au Père au Fils et au Saint Esprit…

Mes amis, tout est dit pour aujourd’hui. Allons en paix et dans la joie du Christ Ressuscité par Le Père en Sainte Trinité, un seul Dieu en Esprit et en Vérité.

Amen +
pour la gloire de Dieu et le salut des hommes

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* Navin Chawla et Raghu Rai * Malcolm Muggeridge : Something beautiful for God

** Pensée de Thérèse de L’Enfant Jésus et de la Sainte Face

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