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Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean 2,13-25. Comme la Pâque juive était proche, Jésus monta à Jérusalem. Dans le Temple, il trouva installés les marchands de bœufs, de brebis et de colombes, et les changeurs. Il fit un fouet avec des cordes, et les chassa tous du Temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il jeta par terre la monnaie des changeurs, renversa leurs comptoirs, et dit aux marchands de colombes : « Enlevez cela d’ici. Cessez de faire de la maison de mon Père une maison de commerce. » Ses disciples se rappelèrent qu’il est écrit : ‘L’amour de ta maison fera mon tourment.’ Des Juifs l’interpellèrent : « Quel signe peux-tu nous donner pour agir ainsi ? » Jésus leur répondit : « Détruisez ce sanctuaire, et en trois jours je le relèverai. » Les Juifs lui répliquèrent : « Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce sanctuaire, et toi, en trois jours tu le relèverais ! » Mais lui parlait du sanctuaire de son corps. Aussi, quand il se réveilla d’entre les morts, ses disciples se rappelèrent qu’il avait dit cela ; ils crurent à l’Écriture et à la parole que Jésus avait dite. Pendant qu’il était à Jérusalem pour la fête de la Pâque, beaucoup crurent en son nom, à la vue des signes qu’il accomplissait. Jésus, lui, ne se fiait pas à eux, parce qu’il les connaissait tous et n’avait besoin d’aucun témoignage sur l’homme ; lui-même, en effet, connaissait ce qu’il y a dans l’homme. 


Le Cardinal Maurice E. Piat invite nos frères et sœurs divorcés vivant une nouvelle union, à un rassemblement diocésain, le dimanche 4 mars 2018 à 15h00 à la Cathédrale Saint-Louis.

Le père Gerard Sullivan, Vicaire Général, explique cette nouvelle démarche pastorale du diocèse de Port-Louis.

REFLEXION

« Enlevez cela d’ici. Cessez de faire de la maison de mon Père une maison de commerce. »

Purifie mon cœur et mes lèvres, Dieu très saint, pour que je fasse entendre à mes frères Ta Bonne Nouvelle.

Seigneur Jésus Toi qui T’es souvenu de nous selon Ta grande miséricorde (Ne,13,22), c’est Toi notre Pasteur, nous n’en avons pas d’autres, car Toi seul as toujours été juste en tout ce qui nous est advenu, car Tu as montré ta fidélité, alors que nous agissions mal (Ne,9,33) et nous, divorcés et remariés de l’Eglise Catholique Romaine, n’avons jamais oublié.

Toi qui n’as jamais cherché à nous juger et à nous condamner, mais Tu as toujours été là pour nous écouter, nous accompagner, nous accueillir, panser nos blessures et soigner nos chagrins, Tu nous as intégré dans Ta propre famille, nous donnant Marie Ta Mère pour Mère, et Dieu Ton Père comme Père, sans jamais faire de différence entre nous et les autres.

Grâce à Toi Seigneur, nous avons aujourd’hui une famille dans le Ciel, grâce à Toi notre âme est nourrie et s’élève de plus en plus vers Le Père. Merci Ô Jésus. MERCI. Aujourd’hui restaurés et totalement réintégrés au Ciel, nous venons Te supplier de pardonner aux dirigeants de cette Eglise qui a fait tant de mal et de torts à Tes enfants au long des années. En souvenir de leurs souffrances, nous Te prions Père. Prend pitié, O Christ prend pitié, Seigneur prend pitié… Ramasse Ton fouet ! Nous Te le demandons en mémoire de Ta Sainte Croix.

Alors Jésus répondit :

Qui vous accueille M’accueille; qui M’accueille, accueille Celui qui M’a envoyé. Mes amis, J’ai toujours trouvé ma joie à vous faire du bien. Sachez que rien ne pourra nous séparer car en vous comme en Moi coule l’Amour de Dieu. Vous m’êtes très chers. Depuis le commencement Je vous ai posé comme un sceau sur Mon coeur… Ne soyez pas tristes car la tristesse selon Dieu produit un repentir qui conduit au salut et ne laisse pas place au regret. Celle du monde produit la mort. Restez humbles, restez pauvres, restez ces mendiants d’eucharistie que vous êtes – Le Père vous aime ainsi. C’est Lui qui vous a mis au large, et vous a accompagnés pendant ces nombreuses années où Il vous a instruits personnellement. C’est Lui qui, de Son bras très puissant, vous a libérés des charges qui pesaient contre vous. Vous Lui devez la vie et le salut. Ne vous inquiétez pas du lendemain : demain s’inquiétera de lui-même. A chaque jour suffit sa peine. Quant à toi chère petite Epouse, va en paix et que Le Père t’accorde ce que tu lui as demandé. 

Merci Seigneur comme Tu es bon. Je T’aime mon Sauveur et mon Dieu. Amen+

 

Jn,13,20 Jn,13,20 Rm,8,39 Ct,8,6 2Co,7,10 1S,1,17,Mt,6,34 …